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September 26, 2018 | International, Aerospace

US F-35 fighter jet poised for combat debut

By Barbara Starr and Zachary Cohen, CNN

Washington (CNN)The US Marine Corps' stealth F-35B Lightning fighter jet could fly its first combat mission within days, according to several US defense officials, who told CNN that the fifth-generation aircraft are currently aboard the USS Essex amphibious assault ship and should soon be in a position to conduct airstrikes over Afghanistan.

The USS Essex has already sailed from the Gulf of Aden into the North Arabian Sea and is expected to move into the Persian Gulf in coming days, one official said.

F-35 pilots have been conducting intelligence and surveillance missions in Somalia while on standby to conduct air support for US troops on the ground there if needed.

While available for support, the advanced fighter jet was not used in an airstrike over Somalia on Saturday that killed 18 militants after US and local forces came under attack.

In May, Israel Defense Forces said they were using their version of the F-35 in operational missions, striking at least two unspecified targets in the region.

Full article: https://www.cnn.com/2018/09/25/politics/us-f-35-combat-missions

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  • Europe de la défense: entre Paris et Berlin, des ambitions et de la méfiance

    May 24, 2019 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security, Other Defence

    Europe de la défense: entre Paris et Berlin, des ambitions et de la méfiance

    Char, avion de combat du futur: Paris et Berlin travaillent sur d'ambitieux projets industriels communs dans la défense, mais les rapports restent teintés de méfiance et marqués par des divergences de vue autour de la question des exportations d'armement. Face au Brexit, au rel'chement des liens transatlantiques sous l'ère Trump, et malgré une mauvaise passe dans la relation franco-allemande, Emmanuel Macron a fait de l'Europe de la défense l'un de ses grands chevaux de bataille, qui figure en bonne place dans le programme des candidats de son camp aux élections européennes de dimanche. Réunis par un même besoin de renouveler leurs capacités militaires à horizon 2035-2040, Français et Allemands ont convenu à l'été 2017 de développer main dans la main deux programmes d'équipements majeurs: le système de combat aérien du futur (SCAF), sous leadership du français Dassault, pour remplacer les Rafale et les Typhoon, et le char de combat du futur ayant vocation à remplacer les Leclerc et les Lepoard, sous leadership allemand. Concernant le SCAF, dont le premier contrat d'architecture a été notifié à Dassault et Airbus en janvier, Paris et Berlin comptent annoncer "cet été" le lancement des études de recherche et développement destinées à jeter les bases des démonstrateurs, pour un montant de 150 millions d'euros sur deux ans, selon des sources concordantes. - pas d'annonce au Bourget? - Il n'est toutefois pas certain que l'annonce soit faite mi-juin au salon aéronautique du Bourget comme initialement prévu, admet Paris. Objectif: développer un démonstrateur d'ici 2026 -- pour un coût estimé entre 2 et 3 milliards d'euros -- avant une entrée en service en 2040 de ce système associant avion de combat, drones, futurs missiles de croisière et drones évoluant en essaim. Pour le char, "les industriels préparent une offre pour l'étude d'architecture à horizon de l'été", indique-t-on de source gouvernementale française. Pour continuer à avancer, reste à venir à bout des inquiétudes et grincements de dents de part et d'autre du Rhin. Parmi les motifs de friction figure le partage des compétences de pointe censées alimenter ces grands programmes communs d'armement. En France, où le groupe Dassault a conduit seul le programme-phare du Rafale, certains ne cachent pas leur méfiance. "Il ne faudrait pas que les Allemands profitent de cette coopération pour chiper notre savoir-faire stratégique", glisse-t-on de source proche du dossier. En Allemagne, des parlementaires de la coalition au pouvoir reprochent au gouvernement d'Angela Merkel d'avoir mal négocié la répartition industrielle du projet SCAF et critiquent les exigences françaises en matière de propriété intellectuelle, affirme jeudi le quotidien allemand Die Welt. "Au regard des enjeux industriels et économiques du projet, j'attends de Mme Merkel et de Mme von der Leyen (ministre allemande de la Défense) qu'elles prennent en main ce dossier et en fassent une priorité, comme l'a fait le président Macron", déclare au journal le responsable défense du parti social-démocrate allemand (SPD), Thomas Hitschler. - ventes d'armes aux Saoudiens - "Des débats sur le partage des technologies, les questions de propriété intellectuelle peuvent exister mais ils sont en train de se résoudre. C'est normal que ça tiraille, derrière il y a des enjeux financiers et de compétences industrielles", relativise-t-on à Paris, où l'on préfère vanter "la rapidité" avec laquelle un projet de cette ampleur s'est mis en route. Autre obstacle à franchir: la question des conditions d'exportation des armements, objet de frictions ouvertes entre Paris et Berlin. Depuis l'assassinat fin 2018 du journaliste saoudien Jamal Khashoggi à Istanbul, le gouvernement allemand a décidé de geler les exports d?armes à destination de l'Arabie Saoudite, client controversé de l'industrie française de défense. Une décision vertement critiquée par Emmanuel Macron, puis par l'ambassadrice de France en Allemagne, qui a déploré fin mars "la politisation croissante du débat allemand sur les exportations d'armements", susceptible selon elle de "faire peser un risque sur la coopération de défense européenne". "On ne peut pas se mettre d'accord sur des projets d'une telle envergure sans trouver une position commune sur les conditions d'exportation", renchérit un haut responsable français. Or le sujet est politiquement ultra-sensible en Allemagne. "L'opinion publique allemande est vent debout contre les exports d'armement. Quel est l'homme politique allemand qui se risquera à aller contre ça?", souligne Gaëlle Winter, chercheuse associée à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS). Paris accuse en outre Berlin de pratiquer un double jeu en feignant d'ignorer la livraison d'armement à Ryad par l'industriel allemand Rheinmetall, via ses filiales à l'étranger. "J'entends dans certaines capitales les protestations de vertus offusquées lorsqu'il s'agit d'exportations françaises, mais j'observe que les mêmes responsables ignorent volontiers ce que font les filiales ou les joint ventures de leurs champions nationaux de l'armement", s'est récemment agacée la ministre française des Armées Florence Parly. Sollicité par l'AFP, le ministère allemand de la Défense n'a pas donné suite. https://www.courrierinternational.com/depeche/europe-de-la-defense-entre-paris-et-berlin-des-ambitions-et-de-la-mefiance.afp.com.20190523.doc.1gt4y7.xml

  • Pentagon spending could lead to consolidation of cybersecurity industry

    September 18, 2018 | International, C4ISR

    Pentagon spending could lead to consolidation of cybersecurity industry

    By: Justin Lynch Spurred in part by Russia's campaign of hybrid warfare in Ukraine, the Pentagon will purchase more electronic warfare equipment, a move that could lead to consolidation in the cybersecurity industry, an analyst said in a new report. Russia's use of electronic warfare combined with conventional combat tactics during its 2015 invasion of Ukraine exposed how the Department of Defense needed to increase its spending on cybersecurity, Brad Curran, an analyst at Front & Sullivan told Fifth Domain. Greater use of offensive cyber and electronic weapons by Russia means that the U.S. is expected to boost defense of its communications systems, and possibly look to increase its own offensive weapons. A September report from Frost & Sullivan projected a 2.9 percent compound annual growth rate in cybersecurity spending from the Pentagon through 2023. Securing electronic communications “is a high priority,” Curran said. The Defense Department is “just getting started” and it will be “a continuous effort to make sure our combat networks are secure.” The focus could benefit firms like Raytheon, which have invested heavily in electronic warfare, Curran said. Curran said that government purchases of enterprise systems will likely stay the same or even shrink because many of the acquisitions are meant to boost efficiency. One example is the government's investment in the cloud. But he predicts an increase in purchases of electronic warfare and offensive cyber capabilities, which will favor larger defense firms. The result will be consolidation of the cybersecurity industry among the biggest companies. During the Black Hat conference, one cybersecurity firm described the industry as “cut-throat” and added they expected industry consolidation because of purchases from the largest contractors. In 2017, the Pentagon awarded more than $1.22 billion to cyber contractors. That money went to 69 prime contractors and 50 different companies. The Pentagon's 2019 budget request for cybersecurity totals $3.6 billion, according to the report, half of which is dedicated to operations and management. The Air Force has the largest share of cybersecurity programs, at $2.19 billion. Booz Allen Hamilton was the top recipient of public contracts from the Pentagon in 2017 with a total of $115.4 million in awards, according to the report. In August, the Pentagon awarded Booz Allen Hamilton a $91 contract to manage cybersecurity for the Ballistic Missile Defense System. But while artificial intelligence will be an area that the U.S. government focuses its investments on the future, Curran said it is not currently a major factor in acquisition. “The future is AI but right now it is more of a concept," he said. https://www.fifthdomain.com/industry/2018/09/17/pentagon-spending-could-lead-to-consolidation-of-cybersecurity-industry

  • Space Force releases plan for testing satellites, ground systems

    May 13, 2022 | International, Aerospace

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    The Space Force signed off on the new test enterprise vision in March, which calls for an integrated test force and a more robust space test and training range infrastructure.

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