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November 12, 2023 | International, Aerospace

US Air Force's new B-21 Raider "flying wing" bomber takes first flight | Reuters

The U.S. Air Force's B-21 "Raider" bomber shaped like a flying wing took its first flight on Friday, the next step in rolling out a new fleet of long-range nuclear-capable stealth bombers built by Northrop Grumman , according to a Reuters witness.

https://www.reuters.com/business/aerospace-defense/us-air-forces-new-b-21-raider-flying-wing-bomber-takes-first-flight-reuters-2023-11-10/

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  • Fin d'une 5eme campagne d'essais pour le Neuron, structurante pour le SCAF

    February 24, 2020 | International, Aerospace

    Fin d'une 5eme campagne d'essais pour le Neuron, structurante pour le SCAF

    Une nouvelle campagne d'essais en vol du démonstrateur technologique de drone de combat furtif nEUROn vient de s'achever à DGA Essais en vol (Istres). Le drone furtif de Dassault Aviation s'est essayé au combat collaboratif. A Paris ce 20 février, la ministre Florence Parly recevait les délégations allemandes et espagnoles pour la signature du contrats de développement des démonstrateurs du SCAF. Ci-dessus: une vue d'artiste datant de plusieurs années montrant un drone de combat aux côtés du Rafale - Dassaut Aviation La DGA (Direction générale de l'armement) a annoncé la fin de la cinquième campagne d'essais en vol du démonstrateur nEUROn. Mandatée par elle-même au profit de l'Etat, elle "a été menée en coopération avec Dassault Aviation pour la mise en œuvre du vecteur aérien et avec la participation des forces. Un de ses objectifs était d'étudier l'utilisation d'un drone de combat furtif dans un contexte opérationnel, impliquant également une réflexion sur les tactiques de défense face à un tel vecteur." L'information principale concernant cette nouvelle campagne est la réalisation d'un vol d'essai en ambiance de combat collaboratif réalisé avec 5 Rafale et 1 Awacs, "dans des configurations tactiques multiples". Les résultats sont en cours d'analyse approfondie. Ils apporteront selon la DGA des éléments majeurs pour aiguiller les choix d'architecture et de technologie du SCAF. Programme à - seulement - 450 millions d'euros entamé il y a une douzaine d'années, le Neuron prouve une nouvelle fois toute la pertinence d'une politique active dans le domaine des démonstrateurs. Et si l'on parle aujourd'hui surtout des "remote carriers" dans le cadre du SCAF (système de combat aérien futur), il ne fait pas de doute qu'un drone de combat furtif aura toute sa place dans cette architecture, aux côtés du Rafale, du futur chasseur européen, et autres effecteurs déportés... Signature du contrat de démonstrateur du SCAF Et ce 20 février à Paris, près d'une semaine après l'aval du Bundestag (voir lien ci-dessous), la ministre des Armées Florence Parly recevait les autres parties au programme SCAF, à savoir les Allemands et les Espagnols, pour la signature du contrat de démonstrateurs. Lire aussi: Lancement de la phase de démonstrateur du SCAF Comme convenu, Dassault Aviation (qui pour l'occasion exhibait des maquettes du "NGF") hérite de la maîtrise d'ouvrage pour le futur chasseur, avec Airbus DS comme "main partners". Airbus est maître d'oeuvre pour les remote carriers, avec la collaboration de MBDA, collaboration qui était déjà affichée au Bourget en juin 2019, et est également en charge avec Thalès du "Air combat cloud" (ACC), à savoir l'architecture numérique du SCAF. Safran et MTU s'occuperont de la motorisation, mais le démonstrateur du chasseur utilisera lui vraisemblablement les moteurs M88 du Rafale. Le tout est chapeauté par la DGA, manager du programme. Si les démonstrateurs, dont l'avion, doivent voler en 2026, et qu'environ 150 millions d'euros ont été apportés au programme pour ces études préliminaires, il s'agira de trouver 4 milliards d'euros d'ici 2025, et 8 au total d'ici 2030. S'agissant de la participation espagnole, qui doit se clarifier durant les prochains mois, trois entreprises s'ajoutent à la participation de Madrid, principalement sur les drones. Il s'agit de GMV, SENER Aeroespacial et Tecnobit Grupo Oesia, qui ont annoncé ce 17 février un accord dans le cadre du plan industriel coordonné par le ministère espagnol de la Défense. La problématique Indra, que l'Espagne insiste pour intégrer au développement de l'ACC en dépit des réticences d'Airbus, reste à régler cependant. http://www.paxaquitania.fr/2020/02/fin-dune-5eme-campagne-dessais-pour-le.html

  • US Army floats the option of fielding high-altitude balloons

    November 10, 2020 | International, Aerospace

    US Army floats the option of fielding high-altitude balloons

    By: Jen Judson WASHINGTON — The U.S. Army is now carving out a path to field high-altitude balloons to provide an additional but less expensive layer of communications, connectivity, range extension and surveillance capabilities, adding resiliency to the service's existing architecture of space assets and aircraft supporting multidomain operations. Recent tests and experiments with high-altitude balloons at White Sands Missile Range, New Mexico, left an impression on the head of the Army's Space and Missile Defense Command. “It's just phenomenal what we're able to do with high-altitude balloons,” Lt. Gen. Daniel Karbler told Defense News in an interview ahead of the Association of the U.S. Army's annual conference, which took place virtually Oct. 13-16. “I don't have the cost analysis but, in my mind, pennies on the dollar with respect to doing it. If I had to do it via a [low-Earth orbit] or some satellite constellation, what we are able to provide with high-altitude balloons, it's tactically responsive support to the war fighter,” he added. Karbler said he sees the balloons supporting the Army's Multidomain Task Force in the future. “Conceptually, with the types of missions that the Multidomain Task Force is working, the high-altitude balloons would be a key capability enabler,” Brent Fraser, concept development division chief at SMDC's Space and Missile Defense Center of Excellence, told Defense News in an Oct. 29 interview. “[The balloons would] be able to provide some beyond-line-of-sight capability, whether it's communications, extended distances, to be able to provide the ability to enable sensing of targets deep in the adversary's areas, to be able to reinforce and complement existing sensing systems other than the aerial layer as well as the space layer,” Fraser added. In terms of war games and experiments conducted with high-altitude balloons, “as we look at a number of emerging concepts and capabilities and formations,” he explained, “I think we still have a ways to go, but I think we're on a positive path to continue.” SMDC has been working on high-altitude balloons — basically dirigibles that can camp out roughly 60,000-90,000 feet in the air — for a long time, but recently the technology has improved, particularly through the commercial market. Google, for instance, used high-altitude balloons to help Puerto Rico after Hurricane Maria to help establish internet connectivity. Duration is one of the areas that has greatly improved. High-altitude balloons can now stay aloft for weeks, if not months, rather than just hours or days. Users can also command and navigate the balloons better than before, and the platforms can more easily be recovered after missions. “The technology readiness levels have really come a long way,” Fraser said. SMDC has partnered with Army Futures Command to advance the technology, particularly involving the latter's Assured-Positioning, Navigation and Timing cross-functional Team as well as Training and Doctrine Command, the Army Intelligence Center, and cyber and special operations personnel. Several years ago, the Army developed a high-altitude concept that established a foundation on which to build, Col. Tim Dalton, Army capability manager for space and high altitude within the SMDC's center of excellence, said in the same interview. After integrating the concept into a variety of war games with Futures Command and other entities, the Army is starting to develop requirements. “We're in the initial stages of defining what those requirements would be,” Dalton said. “There's kind of two aspects to the high-altitude piece: the high-altitude platform, so it's the balloon, and then whatever it's carrying on there for a payload.” The Army has created initial documents for staffing through Futures Command, and over the next couple of years the service will run those requirements through the Joint Capabilities and Integration and Development System process, which will lead to review by the Army Requirements Oversight Council. The service is in the early stages of figuring out what a program of record would look like, but it has some options, Dalton said. “What we're kind of hoping to do over the next couple of years as part of our campaign of learning is to help define what that looks like and the best way to resource those requirements for the Army.” https://www.defensenews.com/digital-show-dailies/ausa/2020/11/09/us-army-floats-the-option-of-fielding-high-altitude-balloons/

  • Le drone "Patroller sera armé, l'armée de Terre le souhaite" (Chef d'état-major de l'armée de Terre)

    November 15, 2019 | International, Aerospace, Land

    Le drone "Patroller sera armé, l'armée de Terre le souhaite" (Chef d'état-major de l'armée de Terre)

    Par Michel Cabirol Le nouveau chef d'état-major de l'armée de Terre, le général Thierry Burkhard, a annoncé que le Patroller "sera armé". En 2023, l'armée de Terre disposera d'environ 1.200 drones couvrant plusieurs segments capacitaires. L'armée de Terre va armer le drone Patroller, comme l'a récemment écrit La Tribune. C'est aujourd'hui officiel. Le nouveau chef d'état-major de l'armée de Terre, le général Thierry Burkhard, l'a annoncé lors de son audition le 16 octobre au Sénat. "Le Patroller sera armé parce que l'armée de terre le souhaite mais sa mission première ne sera pas d'appuyer nos troupes", affirme-t-il. En outre, selon nos informations, Safran a d'ailleurs récemment obtenu la notification d'un contrat d'une durée de 18 mois pour une étude de levée de risques pour l'armement du Patroller. "Nous faisons aussi preuve d'imagination et d'anticipation en armant le Patroller alors que ce n'était pas prévu au départ. Le Patroller sera donc armé parce que l'armée de terre le souhaite mais sa mission première ne sera pas d'appuyer nos troupes. Cependant, il bénéficiera de cette capacité. Par conséquent, si un Patroller découvre un poste de commandement ennemi à détruire, il doit pouvoir le faire", explique le général Thierry Burkhard. Le choix de l'armement s'est porté sur la roquette guidée laser de 68mm de Thales, qui équipe déjà l'hélicoptère Tigre. Elle a été préférée à la version sol-air du MMP (Missile moyenne portée), le MHT de MBDA. Pourquoi ? La roquette guidée laser est dimensionnée aux besoins de l'armée de Terre en étant parfaitement adaptée à des objectifs rencontrés par le Patroller lors de ses missions de surveillance pour réaliser des tirs sur des cibles d'opportunité (pick-up, sniper...). La roquette est également beaucoup moins chère et plus légère que le MMP. 1.200 drones en service dans l'armée de Terre L'armée de Terre aura mis d'ici à la fin de l'année, quatre nouveaux types de drones en opération : le drone tactique Patroller (Safran), les mini-drones NX70 (Novadem) et Spy Ranger (Thales) et, enfin, le nano-drone Black Hornet 3 (l'américain FLIR). L'armée de Terre disposera "à terme de 1.300 drones, allant du nano drone de quelques grammes au drone tactique dont les performances permettront d'appuyer l'engagement d'une unité au combat dans la durée et sur de fortes distances", avait expliqué le prédécesseur du CEMAT, le général Bosser. Le projet de LPM prévoit la livraison d'ici à 2025 des trois premiers systèmes de drone tactique Patroller ainsi qu'une commande pour équiper l'armée de terre à hauteur de cinq systèmes à l'horizon 2030. L'armée de Terre souhaite disposer de cinq systèmes et vingt-huit drones tactiques de ce type en 2030. close volume_off Le général Thierry Burkhard marche bien évidemment dans les pas de son prédécesseur dans le domaine des drones. "Dans cet environnement aéroterrestre, les drones ont déjà toute leur place", observe-t-il. D'autant que comme il le rappelle elle a été "précurseur dans l'emploi des drones". L'armée de Terre renouvelle son segment tactique avec le Patroller et élargira sa capacité jusqu'aux plus bas échelons des thé'tres d'opérations avec les nano-drones. "L'armée de Terre possède aujourd'hui environ 160 drones. En 2023, elle en comptera environ 1.200", précise le général Thierry Burkhard https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/le-drone-patroller-sera-arme-l-armee-de-terre-le-souhaite-chef-d-etat-major-de-l-armee-de-terre-833107.html

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