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November 30, 2022 | International, Aerospace

US Air Force must ‘automate more’ to maintain advantage, CIO says

More than 600 AI projects, including several related to major weapons systems, were underway at the Department of Defense as of April 2021.

https://www.c4isrnet.com/artificial-intelligence/2022/11/30/us-air-force-must-automate-more-to-maintain-advantage-cio-says/

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  • Slower-than-expected economic growth to help Canada's defence spending numbers

    December 16, 2019 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Slower-than-expected economic growth to help Canada's defence spending numbers

    Lee Berthiaume OTTAWA -- The federal government is predicting Canadian defence spending will inch closer to its NATO promises in the coming years than originally expected -- though not because Ottawa is planning to send new money the military's way. All NATO members, including Canada, agreed in 2014 to work toward spending the equivalent of two per cent of their gross domestic products on defence within the next decade as the military alliance sought to share the burden of defending from new threats like Russia and China. Two years ago, when they unveiled their defence policy, the Liberals said the government would hit 1.4 per cent by 2024-25. But Defence Minister Harjit Sajjan this week said, without providing details, that defence spending would instead reach 1.48 per cent of GDP. An increase of that size could represent close to $2 billion more per year for the military. However, the Department of National Defence told The Canadian Press that there are no new investments on the horizon for the Canadian Armed Forces beyond what's already in the Liberals' policy. Instead, Defence Department spokesman Daniel Le Bouthiller attributed the change to slower-than-expected economic growth over the next few years and more spending on non-military specific activities like veterans' benefits and the Canadian Coast Guard. The government has included such activities in its calculations since 2017 to try to address complaints from the U.S. and other NATO allies that Canada was not investing enough in its military. NATO approved the change. "Approximately two-thirds of the increase from 1.40 to 1.48 per cent is due to increased (other government department) forecasts and one-third due to fluctuating GDP forecasts," Le Bouthillier said in an email. Canada currently spends about 1.31 per cent of GDP -- a common measurement of a country's economic output -- on defence and has no plan to reach NATO's two per cent benchmark, a fact that has made it a target for U.S. President Donald Trump. Trump labelled Canada "slightly delinquent" on defence spending during a meeting in London last week in which he publicly grilled Prime Minister Justin Trudeau about Canada's number before subsequently stepping up his calls for the government to meet the NATO target. "He's not paying two per cent and he should be paying two per cent," Trump said during a meeting with German Chancellor Angela Merkel on Dec. 4. "It's Canada. They have money and they should be paying two per cent." The Liberal government has in fact refused to say whether it believes in the two-per-cent target and has instead repeatedly pointed to Canada's contributions of forces and equipment to NATO missions in Latvia, Iraq and other places as a better measurement of its contributions to the military alliance. The spending target is an imperfect way of measuring how much individual countries are contributing, said Stefanie von Hlatky, an expert on NATO and the military at Queen's University in Kingston, Ont. But all allies are facing pressure to show Trump that they are stepping up on defence spending, she said, which is doubly true for Trudeau after his meeting with the U.S. president in London. "I think there's a little bit of pressure now to maybe update those numbers and probably some rejoicing that it looks better on paper," von Hlatky said. "If we're looking to impress Trump with these minor adjustments, maybe it's all for naught. But there is definitely added pressure with every NATO meeting and NATO summit. And we know it's going to come up as long as Trump is president." Conservative defence critic James Bezan accused the Liberal government of playing a numbers game to make Canada look better rather than investing in the Armed Forces. "It's a sad state of affairs for our military heroes when Justin Trudeau can only improve defence spending figures by engineering a made-in-Canada recession and playing a shell game with other departments' budgets to inflate the numbers," he said. This report by The Canadian Press was first published on Dec. 13, 2019. https://www.ctvnews.ca/politics/slower-than-expected-economic-growth-to-help-canada-s-defence-spending-numbers-1.4728602

  • Pourquoi le salon de défense Eurosatory a finalement été annulé

    March 27, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Pourquoi le salon de défense Eurosatory a finalement été annulé

    Par Michel Cabirol Comment et pourquoi l'organisateur d'Eurosatory ont pris la décision d'annuler l'édition 2020 du plus grand salon d'armements terrestres au monde. Voici les coulisses de cette décision. C'est bien la mort dans l''me que le Coges a dû annuler l'édition 2020 d'Eurosatory, le plus grand salon international de défense et de sécurité terrestres et aéroterrestres. Car jusqu'à peu la ligne tenue par l'organisateur d'Eurosatory était le déroulement normal du salon, qui aurait été "à l'équilibre" en dépit de quelques annulations d'exposants et de réduction de la voilure (annulation des démonstrations dynamiques...). Toutefois, cette position "n'est plus tenable", estime le Coges dans une note datée du 23 mars que La Tribune s'est procurée. Et de conclure qu'il recommande au bureau exécutif du GICAT l'annulation d'Eurosatory 2020 sans report du salon. Au final, il y avait plus de risques que d'avantages à maintenir le salon. Son annulation ne devrait pas coûter de l'argent au Coges. Ce denrier a dépensé au 24 mars près de 11 millions d'euros dans la préparation du salon. L'organisateur "fait tout depuis un mois pour différer ses engagements de dépense et a cessé tout engagement depuis le passage au stade 3", explique-t-il dans cette note. Il a également souscrit avec une grande sagesse en décembre 2019 une assurance annulation du salon comprenant une extension "maladies infectieuses", à concurrence de 13 millions d'euros sur un budget de dépense estimé à 20,6 millions. Au 30 avril, les prévisions d'engagement pour la préparation du salon doivent d'élever à 14,3 millions. Cela montre "bien tout l'intérêt d'annuler aujourd'hui", estime le Coges, qui devrait s'en sortir relativement bien au contraire du GICAT, qui ne pourra pas percevoir de dividendes. Les raisons de l'annulation Pourquoi Eurosatory ne peut plus tenir ? Après plusieurs annulations de salons comme Dimdex au Qatar (16-18 mars), LAAD Security au Brésil (14-16 avril) et ILA Berlin (13-17 mai), les premières annulations de salons prévues en juin aux mêmes dates que celui d'Eurosatory ont commencé à mettre sous forte pression les organisateurs : Viva Technology (11-13 juin) et Interschutz (salon mondial des pompiers à Hanovre). Mais l'annulation du salon britannique de l'aéronautique de Farnborough, prévu pourtant du 20 au 24 juillet, a été le coup de gr'ce. Mais là n'est pas la seule raison. Au-delà des quelques annulations d'exposants déjà reçues, le Coges recevait de plus en plus d'appels de sociétés exposantes qui ne souhaitaient plus engager de frais de préparation de leur stand et qui s'interrogeaient sur la présence de visiteurs au salon. Par ailleurs, des sociétés étrangères, qui représentent 65% des exposants à Eurosatory, avaient déjà commencé à annuler le transit de leurs matériels. Par ailleurs, le Coges ne recevait plus de demande de badge de visiteurs depuis plusieurs jours. Et en même temps, les fournisseurs qui permettent de réaliser le salon sont "quasiment tous à l'arrêt et auront des difficultés à redémarrer fin avril pour un salon début juin", explique le Coges. Il faut à minima cinq semaines de montage. Enfin, et surtout, le ministère des Armées qui invite les hautes personnalités étrangères venant de tous les pays du monde (240 délégations en 2018 représentant près de 1.000 VIP), a d'autres chats à fouetter en ce moment avec la crise du Covid-19 et le lancement de l'opération Résilience. "Nous sommes en contact avec le ministère des armées qui ne pourra sans doute pas lancer ces invitations dans le contexte actuel", estime le Coges dans sa note. "La tenue du salon en juin 2020 n'est aujourd'hui plus envisageable", conclut-il. La piste d'un report a été écartée Le Coges a étudié un report du salon à la condition de retrouver la disponibilité des exposants et d'un parc d'exposition. Pas facile quand la majorité des exposants sont aussi présents sur d'autres salons de défense dans le monde et très peu sont capables de mener de front deux salons. Des études lancées par le Coges ont trouvé une seule et unique solution : reporter Eurosatory au parc des exposition du Bourget, pendant Euronaval (du 20 au 23 octobre 2020). Mais cette piste a été abandonnée. Car d'une part, les exposants américains qui participent au salon AUSA début octobre risque de faire défaut, selon le Coges. Surtout, une cinquantaine d'exposants, présents sur les deux salons (Euronaval et Eurosatory), ne réaliseront plus qu'un seul stand. Pas sûr que le Gican voyait cette opération d'un bon œil... D'autant que le Coges estime dans sa note que "sur le plan financier, les chiffres d'affaires des deux salons ne vont pas s'ajouter". https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/pourquoi-le-salon-de-defense-eurosatory-a-finalement-ete-annule-843347.html

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