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March 12, 2019 | International, Aerospace

Turkey is building a new attack helo. Here are the weapons that will arm it

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ANKARA, Turkey — Turkey's procurement authorities have officially launched the country's first indigenous program to build a heavy helicopter gunship in the 8- to 10-ton category.

A contract was signed between the procurement authority, Presidency of Defence Industries, and the country's top aerospace company, the government-controlled Turkish Aerospace Industries, or TAI. Officials from both entities said they expect the new chopper will take its maiden flight within five years.

They officials also said the new attack platform will feature an advanced target-tracking system, imagery technology, electronic warfare suites, a cruise system, and communications and weapons systems. Other features include a high-caliber gun system, new-generation 2.75-inch rockets with different guidance systems, long-range anti-tank missiles and air-to-air rockets.

The attack helicopter is expected to perform all-weather missions at high altitude and have twin turboshaft engines as well as a 1,200-kilogram payload.

TAI already makes the T129, a 5-ton attack helicopter based on its predecessor, the A129 Mangusta. The T129 is a twin-engine multirole attack helicopter produced under license from the Italian-British AgustaWestland.

The T129 is powered by two LHTEC T800-4A turboshaft engines. Each engine can produce 1,014 kilowatts of output power. The T800-4A is an export version of the CTS800 engine. LHTEC, the maker of the engine, is a joint venture between the American firm Honeywell and the British company Rolls-Royce.

In 2018, TAI signed a $1.5 billion to sell a batch of 30 T129 helicopter gunships to Pakistan. TAI officials say they also want to export the heavy attack platform, specifically to the Asia-Pacific and Middle Eastern markets.

However, as is the case with the T129, TAI will have to win U.S. export licenses for any export deal with a third country.

https://www.defensenews.com/industry/techwatch/2019/03/07/turkey-is-building-a-new-attack-helo-here-are-the-weapons-that-will-arm-it

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  • Ce qu’est l’Europe de la défense. Ce qu’elle n’est pas

    November 7, 2018 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Ce qu’est l’Europe de la défense. Ce qu’elle n’est pas

    (B2) Alors que le serpent de mer de l'armée européenne ressurgit par la gr'ce d'Emmanuel Macron (*), il n'est pas inutile de revenir sur terre. Ce qui existe aujourd'hui ... et ce qui n'existe pas en matière de défense au niveau européen. La réalité inscrite dans les Traités européens actuels est la politique (européenne) de sécurité et de défense commune (PeSDC). Ou en langage commun, l'Europe de la défense. Elle n'est cependant pas comparable à ce qui se définit au plan national comme une politique de défense. Que ce soit dans le langage des pro ou des anti-intégrations européennes, cet aspect est bien souvent gommé. Or, il est primordial d'avoir une vue ‘honnête' et ‘objective' de la situation actuelle. Une politique nationale de défense D'un point de vue national, une politique de défense se définit tout d'abord par une autorité qui imprime sa marque et un circuit décisionnel court (comme en France avec un président de la république acteur principal) ou plus long (comme en Allemagne avec une décision du gouvernement, une approbation du parlement). Elle répond à une stratégie de défense, qui est élaborée par strates successives, en répondant à des antécédents historiques et une logique politique. Elle se développe ensuite dans un budget d'investissement d'une armée, des équipements militaires, des troupes, une logique d'action et une légitimité dans l'opinion publique qui accepte, plus ou moins, un engagement militaire intérieur ou extérieur, à risque ou non. L'Europe de la défense : un projet politique L'Europe de la défense est tout d'abord un projet politique, qui vise à affirmer la place de l'Europe dans le monde, au service d'une politique étrangère. Elle ne consiste pas ainsi à assurer la défense du territoire ni la protection des citoyens (malgré les déclarations politiques en ce sens). Elle ne procède que d'une coordination des efforts des États membres. Son circuit décisionnel repose ainsi toujours, à toutes les étapes, de l'initiative à l'approbation puis au commandement et au contrôle, sur un accord de tous les États membres, de façon collégiale. Mettre tout le monde d'accord au même moment sur un enjeu commun est un véritable ‘challenge'. Elle a comme objectif unique d'avoir une capacité d'intervention, limitée, dans des missions ou opérations de paix ou de consolidation de l'état de droit. Elle n'est pas ainsi une force d'intervention tout azimut, n'a pas de commandement militaire direct (national) ou intégré (comme l'OTAN), ni de troupes ou de forces disponibles en permanence ni en propre. Elle ne peut intervenir qu'à l'extérieur des frontières, avec le consentement des États concernés (ou au moins de leurs gouvernements) et de la communauté internationale. On est ainsi très loin des ‘fondamentaux' d'une armée européenne. Quand on met face à face ainsi les principes d'une défense nationale et ceux de l'Europe de la défense, il est inévitable que la seconde soit moins efficace que la première. On peut considérer qu'il s'agit d'une faiblesse temporaire, due aux personnalités politiques du moment. Ce peut être le cas parfois. Mais il ne faut pas minorer les faiblesses structurelles dû à un fait principal : l'Europe n'est pas un État mais une structure juridique et économique de concertation et de coopération avant tout. Si on veut donner un aperçu plus mathématique, j'ai évalué, sous forme d'une note — sur une échelle de 0 à 3 — quels points remplit l'Union européenne, une fois mis en place tous les projets évoqués ces derniers temps. On va ainsi d'une note de 0 à 3 selon les thèmes : de 0 pour les équipements et les forces disponibles à 2 pour le budget de recherche, en passant par le mode de décision et le consensus politique que je cote à 1 sur 3. Article complet: https://www.bruxelles2.eu/2018/11/07/ce-quest-leurope-de-la-defense-ce-quelle-nest-pas/

  • Space Reverse Industry Event

    January 9, 2024 | International, Aerospace

    Space Reverse Industry Event

    NATO is expanding its space radar to build closer relations with space industries. NATO is inviting the commercial space sector to its Space Reverse Industry Event on 20 February 2024 in Brussels to give a new impetus to dialogue and engagement with this growing sector.

  • DARPA head resigns, moving on to industry

    December 17, 2019 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    DARPA head resigns, moving on to industry

    By: Jill Aitoro WASHINGTON — Steven Walker, the 21st director of the Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), today announced his resignation, effective Jan.10, 2020, Defense News has learned. Walker will move on to a position in industry, though a DARPA spokesman did not reveal where. DARPA deputy director Peter Highnam, a former director of research at the National Geospatial-Intelligence Agency, will assume the role of acting director until a permanent director is appointed. Highnam is also a former director of the Intelligence Advanced Research Projects Activity (IARPA). DARPA is responsible for driving development of emerging technologies for use by the military. Walker and Vint Cerf, inventor of the Internet, spoke to Defense News about that role in March, and how DARPA can support engagement with the tech community. Among the key efforts launched under Walker's tenure at DARPA was development and fielding of the Long-Range Anti-Ship Missile, which was accomplished in half the time of a normal development program, DARPA noted in an email. Walker also reinvigorated the agency's hypersonic weapons and space efforts, with major programs in boost-glide and air-breathing missile development and distributed low Earth orbit satellite constellations. Also noted by the agency: Under Walker's leadership, DARPA launched the three-year, $1.5 billion Electronics Resurgence Initiative (ERI) as well the five-year $2 billion AI Next program. Walker also “made pivotal investments in the realm of engineered biology, resulting in several breakthroughs, chief among them a program that has helped reduce Ebola fatality rates by more than 70 percent,” the email stated. Walker succeeded Arati Prabhakar, who left the Agency in January 2017. https://www.defensenews.com/breaking-news/2019/12/17/darpa-head-resigns-moving-on-to-industry

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