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May 19, 2021 | International, Aerospace

Teledyne-FLIR Merger Creates Tactical Drone Powerhouse

The combined company will offer a wide range of unmanned vehicles (mostly small ones) for air, land, sea, and underwater, said exec Roger Wells.

https://breakingdefense.com/2021/05/teledyne-flir-merger-creates-tactical-drone-powerhouse

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  • Saab signs support contract with South Korea for Arthur systems

    November 30, 2023 | International, Aerospace

    Saab signs support contract with South Korea for Arthur systems

    Saab will carry out the work with its local support team in South Korea, in cooperation with a team in Gothenburg, Sweden for spare parts supply  and back-office support. http://presscentre@saabgroup.com

  • Leonardo DRS awarded up to $462 million contract to provide U.S. Navy Advanced Combat Networking Hardware

    May 1, 2020 | International, C4ISR

    Leonardo DRS awarded up to $462 million contract to provide U.S. Navy Advanced Combat Networking Hardware

    Arlington, VA, April 28, 2020 - Leonardo DRS, Inc. announced today that it has received a contract from the U.S. Navy to produce advanced consoles and display systems to support the Navy's future surface ship combat system. The awarded contract is worth more than $62 million with options that could be worth up to $462 million. The Leonardo DRS Naval Electronics business unit will provide a suite of Common Display System (CDS) consoles, thin client displays, multi-mission displays, and support equipment. The CDS consoles are a set of open-architecture watch station display consoles comprised of two different console variants: water-cooled and air-cooled. The common display hardware provides the interface between the sailor and the ship's combat systems. “Building these advanced systems gives U.S. Navy sailors the latest in combat networking hardware and provides mission-critical fleet modernization and readiness requirements today and into the future,” said Tracy Howard, senior vice president and general manager of the Leonardo DRS Naval Electronics business. “We are proud to be a trusted partner with the Navy and this contract builds on our long relationship supplying reliable products, from computing hardware infrastructure for combat systems to tactical networks and common shipboard processors,” he said. The Common Display System consoles are the next-generation of hardware infrastructure representing the latest technology available on the market. Leonardo DRS has a long history of producing reliable advanced hardware for all Navy surface and subsurface platforms for uses in combat systems, tactical networks, processing and machinery control. Work will be performed at the Leonardo DRS Naval Electronics facility in Johnstown, PA. About Leonardo DRS Leonardo DRS is a prime contractor, leading technology innovator and supplier of integrated products, services and support to military forces, intelligence agencies and defense contractors worldwide. Its Naval Electronics business unit provides leading naval computing infrastructure, network and data distribution and middleware enterprise services, as well as world-class manufacturing and support capabilities. Headquartered in Arlington, Virginia, Leonardo DRS is a wholly owned subsidiary of Leonardo S.p.A. See the full range of capabilities at www.LeonardoDRS.com and on Twitter @LeonardoDRSnews. For additional information please contact: Michael Mount Senior Director, Public Affairs +1 571 447 4624 mmount@drs.com View source version on Leonardo DRS: https://www.leonardodrs.com/news/press-releases/leonardo-drs-awarded-up-to-462-million-contract-to-provide-us-navy-advanced-combat-networking-hardware/

  • AIR2030: A la rencontre de Dassault et du Rafale

    October 18, 2018 | International, Aerospace

    AIR2030: A la rencontre de Dassault et du Rafale

    Alexis Pfefferlé Une industrie de la défense en Suisse ? Existe-t-il une industrie de la défense en Suisse ? Cette question, pertinente, fut posée par certains parlementaires à l'heure de décider si le programme AIR 2030 devait être conditionné à des affaires compensatoires. La réponse à cette question en Suisse n'est pas aussi claire que ce qu'elle pourrait être en France ou en l'Allemagne, pays qui possèdent des industries lourdes dévolues entièrement au secteur sécurité & défense. En Suisse, dont on rappelle que le tissu économique se compose à 90% de PME, l'industrie de la défense se compose d'une myriade de PME/PMI qui produisent principalement des machines ou des composants qui rentrent dans la chaine de production de groupes étrangers actifs dans le domaine. Par exemple, nos machines à haute précision sont aussi utiles et demandées dans le domaine civile que militaire. Selon SWISSMEM, l'association faîtière des PME et des grandes entreprises de l'industrie suisse des machines, des équipements électriques et des métaux (industrie MEM), l'industrie MEM concerne près de 320'000 emplois en Suisse et un chiffre d'affaire à l'export trois fois supérieur à celui de l'industrie horlogère. La part de l'industrie de défense est nettement plus faible mais permet de maintenir en Suisse des postes de travail à très haute valeur ajoutée. A la lecture de ces chiffres, les affaires compensatoires prévues dans le programme AIR2030 sont indiscutablement une opportunité exceptionnelle pour l'économie suisse. Dassault – Safran – Thalès, l'excellence industrielle française Retour à Lausanne le mercredi 16 octobre, 0800, pour la seconde journée BtoB entre les industriels suisses et les avionneurs retenus dans le cadre du programme AIR2030. Au menu de ce jour, le Rafale du consortium Dassault – Safran – Thalès. Le Rafale est un biréacteur de 4ème génération voire 4ème génération +, selon les classifications, en vertu d'une certaine furtivité active et tactique. C'est le fleuron de l'armée de l'air française et probablement le chasseur européen le plus avancé en matière technologique. La présentation est dirigée par Monsieur Florent SEYROL, responsable du Business Développement et Coopération Internationale pour Dassault Aviation et par Monsieur Pascal DIDIERJEAN pour le groupe Safran. Le programme Rafale étant un programme achevé en matière d'étude et bien rodé en matière de production, la présentation de Dassault est principalement axée sur la compensation indirecte. Les maîtres mots de la présentation sont l'innovation et la recherche. Poids lourd de l'industrie française et mondiale, Dassault c'est 4.8mia de chiffre d'affaire dont 20% sont alloués à la recherche et au développement. Hormis les pharmas, peu de sociétés suisses ont accès à un tel niveau de financement. Le fil conducteur semble tout trouvé et le consortium formé par Dassault, Safran et Thalès, au travers de leurs divisions combinées, offre de nombreuses possibilités pour les sociétés suisses et des perspectives intéressantes en matière de croissance dans des secteurs allant de l'aéronautique à l'optique en passant par la motorisation et l'électronique. Monsieur Florent SEYROL le souligne, Dassault a une taille internationale, l'expérience de la croissance et des grands contrats, et c'est également cette expérience que le groupe transmet à ses partenaires pour que ceux-ci puissent exploiter pleinement leur potentiel économique. Monsieur Pascal DIDIERJEAN, pour le groupe Safran, abonde dans ce sens, illustrant son propos avec l'exemple de la technologie VTOL (Vertical Take-off and Landing aircraft), où la Suisse, je l'apprends, à une carte à jouer, surtout aux cotés d'un motoriste comme Safran. Premier avionneur à le souligner, Dassault est également très sensible à l'innovation dans le milieu académique et les succès suisses des EPF ne sont pas passés inaperçus. A l'heure des difficultés rencontrées par ces institutions dans le cadre des projets européens, des financements indirectes de ce type dans le cadre des affaires compensatoires seraient pertinents et bienvenus. Pour Dassault, la force de la Suisse c'est l'innovation et investir dans notre pays et nos entreprises c'est investir dans les technologies du futur, un win win français. On notera enfin que plusieurs sociétés suisses présentes se sont félicitées du contact franc et direct qu'ils ont pu avoir avec les représentants du consortium Rafale, plus faciles d'accès et moins rigides que certains concurrents. RAFALE, points forts et points faibles Points forts Dassault-Safran-Thalès ont les moyens de leurs ambitions en matière de R&D et l'innovation suisse pourrait en profiter pleinement Des coûts à l'export réduits compte tenu de la proximité géographique Un calcul politique intéressant avec un allié influent à Bruxelles Points faibles Faible implantation en Suisse à l'heure actuelle Certains cantons où il faudra être très persuasif lors de la votation https://blogs.letemps.ch/alexis-pfefferle/2018/10/17/air2030-a-la-rencontre-de-dassault-et-du-rafale/

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