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September 24, 2018 | International, Naval

Sub builder Electric Boat injects millions into Groton expansion

By: The Associated Press

GROTON, Conn. — Submarine builder Electric Boat has announced plans for an $850 million shipyard expansion in Connecticut.

The Day reports the company released plans for expanding its Groton shipyard Thursday as it prepares to build a new class of ballistic missile submarines.

Electric Boat says it plans to construct a new assembly facility and a floating dry dock.

The environmental consulting company helping with the project says the facilities will allow Electric Boat to bring the submarine materials to the site by water and help reduce construction traffic.

Some residents have opposed the project, arguing that it will impact their waterfront views and lower their property values.

Electric Boat says it looked at alternative sites, but none of them worked.

Construction on the buildings is expected to start in 2019.

https://www.navytimes.com/news/your-navy/2018/09/21/sub-builder-electric-boat-injects-millions-into-groton-expansion

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    L'organisme de recherche sur lequel repose en grande partie la dissuasion nucléaire, la surveillance spatiale ou le renseignement des armées, se débat avec un budget contraint et des injonctions contradictoires. Par Anne Bauer Publié le 9 déc. 2019 à 8h00 L'Office national d'études et de recherches aéronautiques (Onera) est-il négligé ? Après une audition de son président, Bruno Sainjon, le Sénat a appelé le ministère des Armées à doter les finances de ce spécialiste de la recherche aéronautique de moyens à la hauteur des ambitions. Les « appels répétés pour doter enfin l'Onera de moyens au niveau de son excellence scientifique et technologique n'ont toujours pas été entendus par le gouvernement », s'indigne la Commission des affaires étrangères et de la défense. La querelle n'est pas nouvelle mais elle prend un mauvais tour. Dans le monde aéronautique, spatial et de défense, l'Onera (1910 salariés dont 291 doctorants) est jugé comme un outil stratégique. Les pales du nouvel hélicoptère léger des armées (le Guépard d'Airbus) sont issues de sa recherche. La France lui doit aussi son système de surveillance de l'espace (Graves). Quant à la dissuasion nucléaire, elle ne serait pas crédible sans les recherches menées par l'Onera sur les statoréacteurs et désormais les superstatoréacteurs (vitesse supérieure à Mach 6). Dans le renseignement enfin, les armées exploitent les techniques radars de l'Onera pour voir par tous les temps et au-delà de la ligne d'horizon. Budget bloqué Pourtant malgré ce palmarès, la subvention (106 millions d'euros prévus en 2020) versée à l'établissement par le Ministère des Armées, n'a quasiment pas varié depuis 2015. En outre, l'établissement, qui a fêté ses 70 ans, voit ses effectifs et ses salaires plafonner à un niveau inférieur à 2015, ce qui le met en danger pour garder ses chercheurs de haut niveau. Alors que l'enveloppe budgétaire consacrée à la recherche est en nette hausse dans le projet de budget 2020, la mise à l'écart de l'Onera est surprenante. Sa recherche étant duale : militaire et civile, l'Office est mal défendu au sein de la Défense, qui souhaiterait que les industriels (Safran, Thales, Airbus, etc.) mettent davantage au pot. En 2019, l'Onera a décroché 120 millions d'euros de contrats en sus de sa subvention, portant ainsi son budget à 235 millions d'euros. Revoir le contrat d'objectifs « L'Onera est une pépite technologique de niveau mondial mais cela ne pourra durer si nous continuons à le sous-doter alors que nos partenaires et concurrents accélèrent leur effort », avertit Christian Cambon, président de la Commission Affaires étrangères et défense au Sénat. De fait, la multiplication des projets prévus par le ministère des Armées plaide pour une renégociation du contrat d'objectifs de l'Onera, qui remonte à 2016. Avant que le gouvernement ne décide de renforcer sa lutte anti drone , ne crée un commandement militaire de l'espace ou ne décide de réaliser en coopération avec l'Allemagne le système de combat aérien du futur (programme Scaf). C'était aussi avant que l'Agence spatiale européenne ne décide d'aider la réalisation de petits lanceurs, alors que l'Onera a fait voler cet été un démonstrateur de système de lancement aéroporté de petits satellites, le système Ataïr. Le projet est gelé alors qu'il est essentiel pour l'avenir. Enfin, l'Onera attend avec impatience de savoir quel rôle jouer pour le Scaf, sachant que son homologue, le DLR, a déjà contractualisé avec l'armée allemande ses recherches sur le sujet. https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/aerospatial-lonera-une-pepite-oubliee-1154727

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