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March 10, 2024 | International, C4ISR

Software revamp aims to align US Army with industry best practices

“More than ever before, software is actually a national-security imperative,” said Margaret Boatner, an Army strategy and acquisition executive.

https://www.defensenews.com/battlefield-tech/it-networks/2024/03/09/software-revamp-aims-to-align-us-army-with-industry-best-practices/

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  • Can Tempest and FCAS projects both succeed in Europe?

    June 29, 2020 | International, Aerospace

    Can Tempest and FCAS projects both succeed in Europe?

    By Flight International 26 June 2020 For some, a time of global economic crisis might not feel like the perfect moment for nations to invest huge sums of money to develop a new class of combat aircraft only due to enter use around 2035-2040. Currently, six European governments and their national defence industry champions are involved in the early phases of two competing – and comparable – projects to deliver such a capability. In the opinion of Airbus Defence & Space chief executive Dirk Hoke, Europe's current trio of advanced fighters – the Dassault Rafale, Eurofighter Typhoon and Saab Gripen – represent a wasteful replication of industrial effort – and all lose out by battling for the same orders. Hoke is championing a future combat air system (FCAS) project now combining the resources and know-how of French and German industry, and also later incorporating Spain. With its Tempest development having drawn interest from Italy and Sweden, the UK is not only turning away from its co-operation with Germany and Spain on Eurofighter, but applying the afterburners on their separation. Key players behind both efforts are united in their calls to “avoid the mistakes of the past”. For some, that refers to compromised yet complex requirements, sprawling manufacturing and final assembly arrangements, and political interference during export activities, while for others, a simple lack of harmony was at fault. Getting everyone to agree that having multiple final assembly lines for a fighter with a comparatively small production volume is an inefficient luxury is one thing – agreeing which will lose the strategic capability is quite another. International partnering spreads a programme's investment burden, but elements of the Eurofighter set-up and the Airbus Defence & Space A400M airlifter serve as cautionary tales. Three can be a crowd, but a lack of agreement among four or seven involved nations can cause lengthy delay and spiralling costs. Surely Europe can comfortably support two next-generation combat aircraft programmes? Indeed, those involved in FCAS and Tempest eye them as offering a real opportunity to power part of their nations' economic recovery in the post-coronavirus era. For an alternative view should the projects eventually have to merge, a unified solution could serve all 27 EU member states, plus the UK. Such a prospect could make the US-led Lockheed Martin F-35 programme look like a bureaucratic cakewalk by comparison. https://www.flightglobal.com/defence/can-tempest-and-fcas-projects-both-succeed-in-europe/139007.article

  • Fin d'une 5eme campagne d'essais pour le Neuron, structurante pour le SCAF

    February 24, 2020 | International, Aerospace

    Fin d'une 5eme campagne d'essais pour le Neuron, structurante pour le SCAF

    Une nouvelle campagne d'essais en vol du démonstrateur technologique de drone de combat furtif nEUROn vient de s'achever à DGA Essais en vol (Istres). Le drone furtif de Dassault Aviation s'est essayé au combat collaboratif. A Paris ce 20 février, la ministre Florence Parly recevait les délégations allemandes et espagnoles pour la signature du contrats de développement des démonstrateurs du SCAF. Ci-dessus: une vue d'artiste datant de plusieurs années montrant un drone de combat aux côtés du Rafale - Dassaut Aviation La DGA (Direction générale de l'armement) a annoncé la fin de la cinquième campagne d'essais en vol du démonstrateur nEUROn. Mandatée par elle-même au profit de l'Etat, elle "a été menée en coopération avec Dassault Aviation pour la mise en œuvre du vecteur aérien et avec la participation des forces. Un de ses objectifs était d'étudier l'utilisation d'un drone de combat furtif dans un contexte opérationnel, impliquant également une réflexion sur les tactiques de défense face à un tel vecteur." L'information principale concernant cette nouvelle campagne est la réalisation d'un vol d'essai en ambiance de combat collaboratif réalisé avec 5 Rafale et 1 Awacs, "dans des configurations tactiques multiples". Les résultats sont en cours d'analyse approfondie. Ils apporteront selon la DGA des éléments majeurs pour aiguiller les choix d'architecture et de technologie du SCAF. Programme à - seulement - 450 millions d'euros entamé il y a une douzaine d'années, le Neuron prouve une nouvelle fois toute la pertinence d'une politique active dans le domaine des démonstrateurs. Et si l'on parle aujourd'hui surtout des "remote carriers" dans le cadre du SCAF (système de combat aérien futur), il ne fait pas de doute qu'un drone de combat furtif aura toute sa place dans cette architecture, aux côtés du Rafale, du futur chasseur européen, et autres effecteurs déportés... Signature du contrat de démonstrateur du SCAF Et ce 20 février à Paris, près d'une semaine après l'aval du Bundestag (voir lien ci-dessous), la ministre des Armées Florence Parly recevait les autres parties au programme SCAF, à savoir les Allemands et les Espagnols, pour la signature du contrat de démonstrateurs. Lire aussi: Lancement de la phase de démonstrateur du SCAF Comme convenu, Dassault Aviation (qui pour l'occasion exhibait des maquettes du "NGF") hérite de la maîtrise d'ouvrage pour le futur chasseur, avec Airbus DS comme "main partners". Airbus est maître d'oeuvre pour les remote carriers, avec la collaboration de MBDA, collaboration qui était déjà affichée au Bourget en juin 2019, et est également en charge avec Thalès du "Air combat cloud" (ACC), à savoir l'architecture numérique du SCAF. Safran et MTU s'occuperont de la motorisation, mais le démonstrateur du chasseur utilisera lui vraisemblablement les moteurs M88 du Rafale. Le tout est chapeauté par la DGA, manager du programme. Si les démonstrateurs, dont l'avion, doivent voler en 2026, et qu'environ 150 millions d'euros ont été apportés au programme pour ces études préliminaires, il s'agira de trouver 4 milliards d'euros d'ici 2025, et 8 au total d'ici 2030. S'agissant de la participation espagnole, qui doit se clarifier durant les prochains mois, trois entreprises s'ajoutent à la participation de Madrid, principalement sur les drones. Il s'agit de GMV, SENER Aeroespacial et Tecnobit Grupo Oesia, qui ont annoncé ce 17 février un accord dans le cadre du plan industriel coordonné par le ministère espagnol de la Défense. La problématique Indra, que l'Espagne insiste pour intégrer au développement de l'ACC en dépit des réticences d'Airbus, reste à régler cependant. http://www.paxaquitania.fr/2020/02/fin-dune-5eme-campagne-dessais-pour-le.html

  • Entreprises stratégiques : l’État doit établir des mécanismes de protection, alertent Eric Trappier et Jean-Charles Larsonneur

    May 7, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Entreprises stratégiques : l’État doit établir des mécanismes de protection, alertent Eric Trappier et Jean-Charles Larsonneur

    «Il revient aux États de définir les mécanismes de protection des entreprises stratégiques de défense face à des investissements de fonds réputés agressifs», a souligné mardi Éric Trappier, président du GIFAS et PDG de Dassault Aviation. «Aux États-Unis, lorsque des fonds étrangers veulent entrer au capital d'une entreprise américaine ou en prendre le contrôle, le projet est étudié par le CFIUS (Comité sur les Investissements Etrangers aux États-Unis) qui vérifie que cet investissement ne menace pas les intérêts stratégiques américains», a-t-il expliqué. «L'Europe pourrait se doter d'un tel outil. Pour cela, il faut regarder les aspects juridiques, les règles de concurrence car nos entreprises travaillent sur des marchés ouverts, et «détourer» ce qu'est une entreprise stratégique». Jean-Charles Larsonneur, député LREM spécialiste du sujet, interrogé par Le Figaro, met également en garde contre les risques de rachat d'entreprises stratégiques françaises, notamment de la part de la Chine et des Etats-Unis. «On parle de résilience et de souveraineté, alors il faudrait que l'Europe investisse dans sa défense», conseille-t-il. Le Figaro du 6 mai

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