Back to news

September 29, 2021 | International, Aerospace

SASC Frets DoD Missile Warning Satellite Efforts May Be Flailing

The first Next-Gen OPIR satellites, designed to replace the current SBIRS missile warning constellation beginning in 2025, are likely to be delayed, says GAO in a new report.

https://breakingdefense.com/2021/09/sasc-frets-dod-missile-warning-satellite-efforts-may-be-flailing/

On the same subject

  • Thales et Airbus vont moderniser les outils de collecte de renseignements électroniques des armées françaises

    February 12, 2021 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR

    Thales et Airbus vont moderniser les outils de collecte de renseignements électroniques des armées françaises

    Les trois armées (air et espace, terre, mer) françaises disposeront bientôt de moyens de collecte de renseignements électroniques unifiés, fournis par Thales et Airbus. En matière de collecte de renseignements électroniques, les différentes armées françaises disposaient chacune de leurs propres technologies. Ce sera bientôt de l'histoire ancienne. La DGA (Direction générale de l'armement) a chargé fin 2020 Airbus et Thales de lui fournir des capacités de recueil du renseignement d'origine électromagnétique (ROEM) unifiées. Un contrat d'une durée de dix ans, dont le montant total n'a pas été communiqué. Dans les années à venir, les trois armées (de l'air, de terre et marine nationale) disposeront toutes du même type de capteurs, matériels et logiciels pour capter les communications de leurs adversaires sur les différents thé'tres d'opérations. De quoi améliorer leurs capacités en matière d'écoute, de radiogoniométrie (qui permet de localiser une émission hostile, radar ou radio par exemple) et d'exploitation du spectre électromagnétique, gr'ce à des technologies de dernière génération. Cette unification permettra aussi aux différents corps de mieux se coordonner. La formation des spécialistes en sera, enfin, facilitée. La DGA a passé une première commande fin 2020 pour 160 millions d'euros de matériels et logiciels, qui seront livrés à partir de 2023. Rester au niveau dans la guerre électronique Le système interarmées ROEM tactique sera utilisé sur des véhicules Scorpion en remplacement des équipements tactiques actuels, sur les navires de premier rang de la marine nationale et les avions de patrouille maritime Atlantique 2, et pour la protection de bases aériennes. Airbus et Thales fournissaient déjà certaines briques technologiques de l'arsenal déployé par la France dans la guerre électronique. Le second avait développé le programme Cohorte (système actuel de ROEM tactique utilisé par l'armée de terre), le premier le programme Ramses (Evolution du système d'information stratégique traitant des communications radio et satellite). https://www.usinenouvelle.com/article/thales-et-airbus-vont-moderniser-les-outils-de-collecte-de-renseignements-electroniques-des-armees-francaises.N1060094

  • How real-time search analytics and AI can help the DOD break down data

    May 19, 2024 | International, C4ISR

    How real-time search analytics and AI can help the DOD break down data

    Opinion: Tearing down data silos and achieving data interoperability is a complex and challenging task.

  • Vente d'armes : Airbus envisage de porter plainte contre Berlin

    May 6, 2019 | International, Aerospace

    Vente d'armes : Airbus envisage de porter plainte contre Berlin

    Par Bruno TREVIDIC La décision du gouvernement allemand de suspendre les exportations d'armes à l'Arabie saoudite a déjà coûté à Airbus plus de 190 millions d'euros. L'embargo allemand sur les ventes d'armes à l'Arabie saoudite a coûté très cher à Airbus et le groupe d'aéronautique et défense envisage désormais de présenter la facture à Berlin. Selon un article du « Spiegel » publié vendredi, Airbus envisagerait de porter plainte devant les tribunaux allemands, contre la décision du gouvernement fédéral. « Nous nous réservons la possibilité d'engager un recours », a confirmé un porte-parole du groupe. Un impact de 190 millions d'euros Lors de la présentation des résultats du premier trimestre , le 30 avril, les dirigeants d'Airbus avaient chiffré à 190 millions d'euros, l'impact financier de la suspension des licences d'exportation de matériel militaire à l'Arabie saoudite. Une somme à laquelle s'ajouterait une partie des 83 millions d'euros « liés à l'écart de comptabilisation des paiements avant livraisons et aux réévaluations bilancielles ». De quoi expliquer partiellement la forte baisse du résultat net d'Airbus au premier trimestre. Un contrat de 2,5 milliards d'euros Pour le groupe européen, la potion est d'autant plus amère que le principal contrat avec l'Arabie saoudite visé par cet embargo allemand ne porte pas véritablement sur des ventes d'armes. Il s'agit d'un contrat signé dès 2009 pour un système complet de sécurisation des 9.000 km de frontières du royaume, associant tous les moyens de détection et de surveillance, d'une valeur totale d'environ 2,5 milliards d'euros, et qui devait être partiellement fabriqué sur le site Airbus de Donauwörth, près de Munich. D'où l'envie d'aller en contester la légalité devant les tribunaux allemands. Exportations impopulaires Toutefois d'autres programmes militaires auxquels le groupe Airbus participe sont également concernés par le gel des exportations d'armes à Ryad, parmi lesquelles les avions de combat Eurofighter Typhoon, l'avion de ravitaillement en vol A330 MRTT, des hélicoptères, des missiles MBDA... A tel point que plusieurs des partenaires européens de l'Allemagne, au premier rang desquels la France , se sont émus de cette situation. Sans effet jusqu'à présent sur le gouvernement d'Angela Merkel, qui sait l'impopularité des ventes d'armes au sein de son opinion publique. La décision de Berlin de stopper les ventes d'armes à l'Arabie saoudite avait été annoncée en octobre dernier, suite à l'émotion suscitée par l'assassinat du journaliste Jamal Khashoggi au consulat d'Arabie saoudite à Istanbul. A l'époque, Berlin avait toutefois évoqué une mesure provisoire. Mais depuis, ce moratoire a déjà été prolongé à trois reprises, rendant de plus en plus improbable la réalisation des contrats. Bruno Trévidic https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/vente-darmes-airbus-envisage-de-porter-plainte-contre-berlin-1016128

All news