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May 23, 2024 | International, Aerospace

Poland and Greece urge EU to create common air shield, says Polish PM

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  • Coronavirus : retour au travail pour les industriels de la défense

    April 1, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Coronavirus : retour au travail pour les industriels de la défense

    L'arrêt de certaines usines a surpris nombre de militaires. Après un travail de concertation, tous les industriels ont rouvert afin d'assurer le soutien des armées. Par Anne Bauer Publié le 31 mars 2020 à 15h50Mis à jour le 31 mars 2020 à 16h06 C'est une des découvertes de la crise du coronavirus : la défense n'a pas d'obligations de production particulières par rapport à d'autres secteurs . De quoi surprendre les commandants militaires. Aussitôt le confinement déclaré, une entreprise comme Arquus (ex-Renault Trucks Defense), filiale de Volvo, annonçait la fermeture de ses sites industriels sans concertation avec ses partenaires, alors que l'entreprise fabrique avec Thales et Nexter les blindés de l'armée de terre. Après un certain flottement, les choses sont rentrées dans l'ordre et les sites industriels se remettent en marche depuis lundi. Cartographier les besoins prioritaires « Un dialogue s'est ouvert entre les industriels de la défense, la Direction générale de l'armement et le ministère des Armées pour faire une cartographie des activités les plus critiques pour la défense, donner des prévisions d'activité et bien mesurer tous les impacts sur les systèmes de soutien au profit des forces armées », explique-t-on au ministère des Armées. Dès le 20 mars, la ministre Florence Parly envoyait un courrier aux industriels pour leur rappeler que « sans transiger sur les mesures barrières dont le respect strict est indispensable pour endiguer la propagation du virus, l'activité des entreprises de défense devait continuer ». Pas question de ne pas assurer l'entretien des hélicoptères au moment où ils sont plus que jamais engagés dans le transport des malades , de baisser la garde sur la dissuasion nucléaire, ou encore de ne pas pouvoir changer les pièces défaillantes des blindés utilisés au Sahel. Renégociation prochaine des objectifs Après une grosse semaine de fermeture, histoire de bien analyser les conditions de production et de nettoyer les sites de fond en comble, les industriels de la défense ont rouvert. Chez Nexter, les sites de production sont de nouveau actifs, même si la totalité des effectifs n'est évidemment pas appelée. Arquus, de son côté, explique avoir terminé la semaine dernière son inventaire, ce qui lui a permis de livrer à la Direction générale de l'armement nombre de blindés stockés et de rappeler ses salariés pour assurer les livraisons des pièces de rechange, notamment à l'heure où les camions de l'armée sont extrêmement sollicités dans l'opération « Résilience » de soutien à la lutte contre la pandémie. Globalement, le soutien aux armées sur terre, mer et air est assuré, sachant qu'il y aura plus tard, au printemps, des négociations pour réviser les objectifs de livraison de matériel neuf, qui étaient inscrits dans la loi de programmation militaire. Il faudra tenir compte de la baisse de la mobilisation du personnel pour des raisons sanitaires - et sans doute, in fine, d'un recadrage des ressources budgétaires. https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/coronavirus-retour-au-travail-pour-les-industriels-de-la-defense-1190687

  • Navy Awards Contract for First Vessel In Its Family of Unmanned Surface Vehicles

    July 15, 2020 | International, Naval

    Navy Awards Contract for First Vessel In Its Family of Unmanned Surface Vehicles

    By: Sam LaGrone July 14, 2020 8:48 PM • Updated: July 15, 2020 6:38 AM The Navy has awarded a contract for the first unmanned surface vessel it will design and build on its own, a key milestone for the eventual family of unmanned systems that will be a key component of the future surface fleet, according to a Monday contract announcement from the Pentagon. L3 Technologies won a $35-million contract to develop a prototype medium unmanned surface vehicle (MUSV) on Monday, which could grow to $281 million if options for eight follow-on craft are exercised, Naval Sea Systems Command announced. The contract calls for delivering the first prototype by the end of the Fiscal Year 2023, according to a release from NAVSEA. “The president's 2021 budget request for the Navy includes additional funding for a second MUSV prototype in FY23. The acquisition strategy for the FY23 vessel is to be determined, however, for flexibility, the development contract contains options for additional USVs,” read the statement. The award to L3 for MUSV is the Navy's first bite at the apple for developing a USV. DARPA contracted for two Sea Hunter vessels in what was originally the Anti-Submarine Warfare (ASW) Continuous Trail Unmanned Vessel (ACTUV) program but has since shifted its focus to be the predecessor to MUSV. A Pentagon office also contracted for two Large USVs as part of the Overlord program, and the Navy will also take those vessels and use them to shape an eventual LUSV program of its own. The Navy envisions a family of unmanned systems that will be the backbone of a future fleet of netted “attritable” platforms that will provide lower-cost options compared to manned surface combatants like the Arleigh Burke-class destroyer or the new FFG(X) frigate program. “The initial focus is on the design, fabrication, testing and support of funded MUSV prototype vehicles. Rapid prototyping efforts will inform procurement of additional MUSV units,” Navy spokesman Capt. Danny Hernandez told USNI News on Tuesday. “The Navy will continue to assess the MUSV acquisition plan and has the option to conduct new or additional competitions, if warranted.” According to a notional list of requirements reviewed by USNI News in 2019, the MUSV would “function as a sensor and communications relay as part of a family of unmanned surface systems being developed by the service. The craft will be able to carry a payload equivalent to a 40-foot shipping container, will operate on its own for at least 60 days before needing to return to port, and be capable of refueling at sea,” reported USNI News. “The craft will have to also be able to autonomously operate under the rules of the maritime road at a cruising speed of about 16 knots with a minimum range of about 4,500 nautical miles and operate via a government-provided communication relay system.” L3 served as a subcontractor for Leidos, the lead contractor for the Sea Hunter program that DARPA contracted for before passing it off to the Navy. However, the next version of the MUSV will be different from the Sea Hunter, Navy officials told USNI News this week. “The MUSV and the existing Sea Hunter vessel have differing missions and requirements. The existing Sea Hunter vessel was designed and built with the mission of anti-submarine warfare and would be capable of tracking and following submarines using a hull-mounted sonar array over long distances. The MUSV will provide and improve distributed situational awareness in maritime areas of responsibility through [intelligence, surveillance and reconnaissance] and [electronic warfare] implemented by modular payloads,” Hernandez told USNI News. While the program is under development, the current Sea Hunter has been assigned to Surface Development Squadron 1 and is set to operate with a carrier strike group in the near future. L3 Technologies Inc., Camden, New Jersey, is awarded a $34,999,948 fixed-price-incentive-firm-target contract for the detail design and fabrication of a prototype Medium Unmanned Surface Vehicle (MUSV). This contract includes options for up to eight additional MUSVs, logistics packages, engineering support, technical data, and other direct costs, which, if exercised, will bring the cumulative value of this contract to $281,435,446. Work will be performed in Morgan City, Louisiana (72.7%); Arlington, Virginia (9.8%); Jeanerette, Louisiana (8.1%); New Orleans, Louisiana (6.6%); Worthington, Ohio (1.7%); Lafayette, Louisiana (0.9 %); and Gautier, Mississippi (0.2%), and is expected to be completed by December 2022. If all options are exercised, work will continue through June 2027. Fiscal 2019 and 2020 research, development, test and evaluation funding in the amount of $34,999,948 will be obligated at the time of award, and $29,779,038 will expire at the end of the current fiscal year. https://news.usni.org/2020/07/14/navy-awards-contract-for-first-vessel-in-its-family-of-unmanned-surface-vehicles

  • La Belgique devrait choisir Lockheed plutôt qu'Eurofighter

    October 21, 2018 | International, Aerospace

    La Belgique devrait choisir Lockheed plutôt qu'Eurofighter

    BERLIN (Reuters) - La Belgique devrait choisir d'ici la fin du mois quel avion de combat remplacera ses F-16 vieillissants, a appris Reuters de plusieurs sources, et elle devrait, selon des experts du secteur, préférer le F35 de Lockheed Martin au Typhoon d'Eurofighter. L'attribution de ce marché de plusieurs milliards de dollars était attendue en juillet avant le sommet de l'Otan à Bruxelles. Elle a été repoussée en raison des élections communales en Belgique, dimanche dernier, et d'un rapport qui a semé le trouble en suggérant que la durée d'exploitation des F-16 aurait pu être prolongée. Les Etats-Unis, à la demande de Bruxelles, ont prolongé de deux semaines, jusqu'au 31 octobre, les termes de leur offre portant sur 34 chasseurs F-35, ont dit des sources américaines. Un nouveau report, ont-elles ajouté, pourrait entraîner une modification du prix proposé. Harry Breach, analyste chez Raymond James basé à Londres, a estimé que la compétition tournait à l'avantage du F-35, en notant que les pilotes belges sont déjà familiarisés avec les F-16, qui sont aussi construits par Lockheed. Le Typhoon d'Eurofighter serait une option plus onéreuse, a-t-il ajouté. "Pour des raisons de coût, les petits pays ont tendance à choisir un avion à réaction de taille, charge utile et portée plus réduites. Tout cela suggère le choix des F-35." Aucun commentaire n'a pu être obtenu auprès du ministère belge de la Défense mais, selon des sources haut placées, une décision est probable avant la fin du mois. Eurofighter est un consortium constitué du Royaume-Uni, de l'Allemagne, de l'Italie et de l'Espagne. La France, qui dispose du Rafale fabriqué par Dassault Aviation, n'a pas répondu à l'appel d'offres officiel de la Belgique. Selon des sources industrielles, elle serait cependant soucieuse d'éviter que le F-16 gagne du terrain en Europe et aurait proposé à la Belgique une coopération étroite en matière de défense. (Andrea Shalal, Dominique Rodriguez pour le service français, édité par Marc Angrand) https://www.zonebourse.com/LOCKHEED-MARTIN-CORPORATI-13406/actualite/La-Belgique-devrait-choisir-Lockheed-plutot-qu-Eurofighter-27453698/

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