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March 18, 2022 | International, C4ISR

Pentagon's JADC2 strategy focuses on 'approach'

The new unclassified summary document comes nearly a year after the Secretary of Defense approved the Joint All-Domain Command and Control strategy.

https://www.defensenews.com/battlefield-tech/it-networks/2022/03/18/pentagons-jadc2-strategy-focuses-on-approach/

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  • Le projet de futur avion de combat européen prend forme

    February 20, 2020 | International, Aerospace

    Le projet de futur avion de combat européen prend forme

    Les études du futur avion de combat européen sont enfin lancées. L'Allemagne et la France ont signé un contrat de 150 millions d'euros ce jeudi 20 février. Une étape de franchie. Après des mois de rivalités politico-industrielles franco-allemandes, les ministres de la Défense des deux pays ont signé jeudi 20 février à Paris un contrat de 150 millions d'euros devant conduire en 2026 à un premier prototype du futur avion de combat européen. "C'est le contrat qui nous amène sur la route d'un démonstrateur en vol en 2026" du Scaf, le Système de combat aérien futur, résume-t-on au cabinet de Florence Parly, la ministre française des Armées. Un démonstrateur est une sorte de pré-prototype destiné à valider la faisabilité d'un concept. La ministre française et son homologue Annegret Kramp-Karrenbauer ont signé l'accord gouvernemental entérinant le lancement de cette phase du projet, dite "phase 1A", prévue pour durer 18 mois. Elles ont également signé avec le secrétaire espagnol à la Défense Ángel Ramírez une lettre d'intention prévoyant l'intégration dans les mois à venir de Madrid, qui a rejoint plus tardivement le projet Scaf, dans les études de recherches et technologies. Le contrat de notification aux industriels proprement dit a été signé par le maître d'œuvre du programme, le délégué général à l'armement (DGA) Jöel Barre. Le SCAF, qui doit remplacer d'ici une vingtaine d'années les Rafale et Eurofighter, "permettra à nos nations de faire face aux menaces et aux défis de la deuxième moitié du XXIe siècle", s'est félicité Florence Parly, saluant un projet "très ambitieux, qui "illustre notre volonté et notre ambition pour l'Europe de la Défense". A l'origine prévue lors du salon du Bourget en juin 2019, la signature de ce contrat, financé "strictement à moitié-moitié" entre les deux pays, a buté sur des tensions entre industriels des deux pays et surtout des craintes côté allemand que l'Allemagne soit perdante dans ce partenariat dont la France a été désignée cheffe de file. Des réticences Le déblocage a été permis la semaine passée par le vote des crédits par le Bundestag, qui ne voulait "pas détériorer les relations franco-allemandes", selon un député. Mais les parlementaires ont exprimé des réticences et exigé de l'exécutif allemand qu'il s'assure dans la longueur que les intérêts du pays ne sont pas bradés, notamment que le projet de futur char franco-allemand (MGCS), dont Berlin est leader, suive un développement parallèle à celui du SCAF. "Il y a des différences de processus entre la France et l'Allemagne, ça ne veut pas dire que les députés allemands sont moins convaincus par le SCAF", a observé devant la presse Dirk Hoke, président exécutif d'Airbus Defense and Space, l'un des principaux industriels impliqués dans le programme. "De temps en temps, il y a des nuages mais on passe au-dessus des nuages et on retrouve le ciel bleu", a pour sa part confié le PDG de Dassault Aviation Eric Trappier, selon qui "c'est vraiment un départ, on ne peut pas revenir en arrière". L'avion de combat de nouvelle génération (dit NGF ou "New Generation Fighter"), dont Dassault est maître d'œuvre avec Airbus comme partenaire principal, est doté d'une enveloppe de 91 millions d'euros. Les études sur le moteur, développé par Safran avec l'allemand MTU, bénéficient de 18 millions d'euros, les "effecteurs déportés", de 19,5 millions. Ces drones, sur lesquels vont plancher Airbus et le missilier MBDA, accompagneront l'avion et leur rôle sera de leurrer ou saturer les défenses adverses. Un quatrième pilier (Airbus et Thales) devra mettre au point un système de "combat collaboratif" permettant de connecter avions, drones, satellites et centres de commandement. Quelque 14,5 millions d'euros y sont consacrés. Enfin, un cinquième pilier doté de 6,5 millions d'euros concerne la cohérence globale du projet et des laboratoires de simulation. L'Espagne, avec Airbus Espagne et l'électronicien de défense Indra, est d'ores et déjà impliquée à hauteur de deux millions d'euros dans le projet de recherche et technologie. C'est une "préfiguration" d'une participation "beaucoup plus massive" d'environ 45 millions d'euros venant s'ajouter "courant 2020" aux 150 millions mis par Paris et Berlin, selon le cabinet de Florence Parly. Les montants en jeu sont certes limités par rapport à l'enveloppe globale d'un programme qui sera opérationnel à l'horizon 2040. "Mais ils vont figer l'organisation de tout le reste du contrat" , plaide-t-on de même source. Un total de 4 milliards d'euros doit être investi d'ici à 2025, 8 milliards d'ici à 2030. https://www.capital.fr/economie-politique/le-projet-de-futur-avion-de-combat-europeen-prend-forme-1362786

  • Dassault Aviation livrera moins de Falcon que prévu, craintes sur le Rafale

    July 27, 2020 | International, Aerospace

    Dassault Aviation livrera moins de Falcon que prévu, craintes sur le Rafale

    Les profits de Dassault aviation ont fondu au premier semestre. Le groupe table désormais sur la livraison de 30 Falcon (contre 40 prévus avant le Covid-19). Et la perspective de nouveaux contrats Rafale Export se décale ! Dassault Aviation est à la peine ! Au premier semestre 2020, le constructeur aéronautique a dégagé un résultat net ajusté de 87 millions d'euros, contre 286 millions d'euros lors du premier semestre 2019. De son côté, le résultat opérationnel ajusté ressort à 55 millions d'euros, contre 250 millions un an plus tôt. Il en découle une marge opérationnelle ajustée de 2,1%, contre 8,2% lors du premier semestre 2019. Pour sa part, le chiffre d'affaires consolidé ajusté s'établit à 2,64 milliards d'euros au premier semestre 2020, contre 3,06 milliards d'euros un an plus tôt. " L'épidémie de Covid-19 a déclenché une crise mondiale sans précédent par ses conséquences sanitaires et économiques, son ampleur, son étendue géographique et sa durée ", a commenté Dassault Aviation. " Notre marché Falcon est directement impacté (le décalage des livraisons et des commandes Falcon entraine l'adaptation à la baisse de nos cadences Falcon) et la perspective de nouveaux contrats Rafale Export se décale ", a ajouté le constructeur aéronautique. Dans un contexte incertain de circulation de la Covid-19, le groupe a abaissé ses objectifs annuels. Il table désormais sur la livraison de 30 Falcon (contre 40 prévus avant Covid-19). En parallèle, le groupe a confirmé qu'il souhaitait livrer 13 Rafale et anticipait un chiffre d'affaires en retrait. https://www.capital.fr/entreprises-marches/a-suivre-aujourdhui-dassault-aviation-1376237

  • Britain weighs how to rebuild stockpiles drained by war in Ukraine

    July 13, 2023 | International, Land

    Britain weighs how to rebuild stockpiles drained by war in Ukraine

    Britain's minister of the armed forces said it’s “inescapably necessary to look at the size of your stockpiles."

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