March 7, 2024 | International, Land
May 19, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security
By: Bill Brown, L3Harris Technologies
The Department of Defense and defense industry have a long history of responding quickly and forcefully to crisis, and the COVID-19 pandemic is no exception. Today, hundreds of thousands of dedicated defense workers remain at their posts – delivering mission-critical products and services to support our troops around the world, while also providing personal protective equipment and other supplies to first responders and health care workers here at home.
However, this most recent crisis has re-exposed weaknesses in our defense industrial base – highlighting the need to significantly bolster the nation's vital supply chain. This serves as a call to action to develop a strategic, long-term approach across government and industry.
We witnessed the fallout from the 2008-09 financial crisis. Thousands of suppliers shuttered or permanently shifted precious capacity to other verticals when defense budgets were indiscriminately cut following the Budget Control Act of 2011 and sequester of 2013.
When budgets began to recover several years later, the damage was clear – longer lead times that in some cases doubled or more, and increased reliance on single-source and international suppliers for critical components, such as microelectronics.
In 2017, President Trump signed an executive order and established a multi-agency task force to study supply chain resiliency. The task force identified five macro forces that create risk to the supply chain and national security preparedness including sequestration and the uncertainty of government spending, the overall decline of U.S. manufacturing capabilities and capacity, harmful government business and procurement practices, industrial policies of competitor nations, and diminishing U.S. STEM and trade skills.
Task force members proposed a comprehensive set of risk-reduction actions – ranging from establishing sustained and predictable multi-year budgets and developing an adaptive acquisition framework, to directing investment to small businesses and diversifying the supplier base.
Over the past two years, the government has made initial strides on a number of these fronts, including working to reduce U.S. reliance on foreign sources for critical rare earth minerals and decreasing the country's dependence on China and other international suppliers for semiconductors and related components.
Unfortunately, the COVID-19 pandemic emerged before these and other task force initiatives gained serious traction and forced the DoD to refocus its near-term priorities. And the urgency escalated when we began to see the brutal impact the pandemic was causing in the commercial aerospace sector, an important vertical market for many defense suppliers.
The department quickly designated defense suppliers as essential and increased progress payments, spurring larger defense contractors to accelerate payments to thousands of small business suppliers.
These actions helped companies to continue operating, maintain their employment and hiring goals, and sustain critical spending on internal research and development (IRAD) to keep the innovation engine humming. At L3Harris, for example, we recommitted to investing nearly 4 percent of revenues in IRAD, hiring 6,000 new employees and maintaining our apprenticeship and internship programs to provide opportunities for the workforce of the future.
The combined DoD and industry efforts demonstrate the power of a focused, collaborative approach to mitigate and address the damaging effects of the pandemic and to support the broader defense industrial base.
Today, we are at a critical juncture. We have an opportunity to make the necessary strategic investments that could significantly strengthen our supply base for generations to come, including:
· Ensure sustained/predictable budgets – stable, long-term funding helps companies better plan and encourages them to invest in staffing, technology and facilities needed for the country to maintain its technical superiority. Now is not the time to pull back the reins on defense spending.
· Accelerate contract awards – shorter decision and acquisition cycles enable suppliers to invest in and deliver technologies faster than with traditional methods, and in the near term could help offset the impact of the commercial aerospace downturn.
· Expand domestic supplier base – increasing domestic capabilities reduces vulnerabilities and increases access to critical components, such as rare earths and microelectronics, and over time can help reduce the proportion of sole/single-source supply.
· Increase workforce investment – providing advanced STEM education opportunities drives innovation and productivity by enhancing critical skillsets for existing employees, while attracting, training and growing the workforce of the future.
· Institutionalize process improvements – the COVID-19 pandemic forced government and industry to find new and more efficient ways to work. The challenge now – to make these advances permanent.
These are not quick fixes. However, they provide a strong platform for a more resilient national defense supplier base, which is vital at a time when near-peer adversaries continue to invest heavily in new technologies that threaten our nation's security.
The imperative is clear – and the opportunity is now.
Bill Brown is chairman and CEO at L3Harris Technologies.
March 7, 2024 | International, Land
August 31, 2020 | International, Aerospace
Après l'échec de l'achat des avions Gripen en 2014, le peuple suisse est à nouveau appelé à voter pour ou contre l'acquisition d'avions de combats. La Suisse doit renouveler sa flotte d'avions de combat. Les appareils en service actuellement seront en fin de vie d'ici 2030. Le Conseil fédéral et le Parlement veulent acquérir de nouveaux avions pour six milliards de francs. Les opposants y voient une dépense inutile. Le peuple tranchera le 27 septembre. La votation porte sur le montant maximal destiné à l'achat des avions de combat qui remplaceront les 26 F-5 Tiger et les 30 F/A-18 de l'armée. Les premiers, acquis en 1978, sont déjà obsolètes. Ils ne peuvent voler que de jour et par temps clair, et ne servent plus qu'à l'instruction. Les seconds atteindront leur limite dans une dizaine d'années. Après l'échec de l'achat des avions Gripen en 2014, le gouvernement a décidé de ne soumettre aux urnes que le cadre général de l'acquisition. Le choix du type et du nombre d'appareils nécessaires lui reviendra ensuite. L'enveloppe de 6 milliards de francs, soit deux fois plus que le Gripen, est plafonnée et ne pourra pas être augmentée. Elle pourra en revanche être ajustée à l'évolution des prix. L'achat des nouveaux avions de combat recueille dans les derniers sondages une majorité en sa faveur. Le clivage droite/gauche est marqué, le camp bourgeois étant favorable à la dépense et le camp rose-vert opposé. Objectif controversé Pour le comité référendaire, composé du PS, des Verts et du Groupe pour une suisse sans armée, dépenser 6 milliards de francs pour les avions est une fausse promesse de sécurité. Le scénario d'une guerre aérienne en Europe n'est pas réaliste. La Suisse doit plutôt se préparer à de nouveaux types de menace: catastrophes, cyberattaques, pandémies ou changement climatique. Les avions de combat ne pourront pas contrer ces menaces. Des investissements dans la lutte contre le réchauffement climatique ou la pénurie d'électricité seraient plus sensés, selon les opposants. L'émergence de nouvelles formes de guerre ne remplace pas les anciennes menaces, répond le camp des partisans dans les rangs duquel se trouvent des membres du PLR, de l'UDC, du PDC, du PBD, des Vert'libéraux, du PEV et de nombreuses organisations militaires. Bien qu'il n'y ait pas de conflit armé en Suisse, les conditions peuvent rapidement changer. Il s'agit de l'avenir de la politique de sécurité. Une menace imprévisible La menace évolue constamment et la population doit être protégée contre les attaques imprévisibles, argumente la ministre de la Défense Viola Amherd. L'armée de l'air a de nombreuses t'ches pour lesquelles des avions de combat sont nécessaires. Elle intervient si un avion se trouve en situation critique ou s'il viole les règles. Lorsque Genève accueille une conférence internationale sur la paix, des avions doivent en permanence être dans les airs. L'armée doit également pouvoir contrôler de manière plus intense ses frontières en cas de tensions dans les environs et s'assurer qu'aucun appareil militaire étranger ne survole le territoire. Elle doit protéger son espace aérien en cas d'attaque directe. Coûts à définir L'argent dépensé pour les avions fera défaut dans d'autres domaines comme l'éducation, la santé, la sécurité publique ou sociale ou encore la culture, rétorquent les opposants. Cet achat serait en outre un chèque en blanc donné au gouvernement et au Parlement. Le jour de la votation, les électeurs ne connaîtront pas les coûts concrets. Si l'on prend en compte l'ensemble des coûts sur la durée de vie des avions, la facture s'élève à 24 milliards, avancent les référendaires. Le Département fédéral de la défense estime pour sa part la dépense à 18 milliards. Le PS propose l'acquisition d'avions de combat légers, moins onéreux. Pour Viola Amherd, ces appareils ne valent rien pour le service de police de l'air et encore moins pour protéger la Suisse en cas de crise. Ils ne volent pas assez haut, sont trop lents ou n'ont pas les radars ou l'armement nécessaires. Compensations prévues L'arrêté sur lequel le peuple doit se prononcer inclut des conditions. Il précise que le constructeur remportant l'appel d'offres devra investir 60% du montant du contrat dans l'économie suisse (65% en Suisse alémanique, 30% en Suisse romande et 5% en Suisse italienne). L'achat sera coordonné avec la modernisation du système de défense sol-air. Quatre jets sont encore en lice: le Rafale du français Dassault, l'Eurofighter de l'européen Airbus et les deux avions américains, le Super Hornet de Boeing et le F-35A de Lockheed-Martin. https://www.lematin.ch/story/six-milliards-en-jeu-pour-renouveler-la-flotte-aerienne-de-larmee-442405814349
May 25, 2021 | International, Naval
Fincantieri is to use all three of its U..S shipyards to build new FFG(X) frigates and will hire 600 more staff by year-end to handle the work, a company official said following the U.S. Navy’s order for a second vessel out of a potential 10 in total.