Back to news

March 6, 2023 | International, Land

Oshkosh files protest over Army’s light tactical vehicle award

After the U.S. Army awarded AM General a contract to build Joint Light Tactical Vehicles, incumbent Oshkosh is taking its concerns to the GAO.

https://www.c4isrnet.com/land/2023/03/07/oshkosh-files-protest-over-armys-light-tactical-vehicle-award/

On the same subject

  • Thales annonce l’entrée en production du radar Ground Fire

    July 29, 2020 | International, Land, C4ISR

    Thales annonce l’entrée en production du radar Ground Fire

    Thales annonce l'entrée en production à Limours (Essonne) du premier radar Ground Fire destiné notamment à être intégré au système Sol-Air de Moyenne Portée Terrestre de Nouvelle Génération (SAMP/T NG) de l'Armée de l'air française. « Ce radar multifonctions entièrement numérique et muni de capacités anti-aériennes et anti-missiles de pointe, est capable de contrer un large spectre de menaces dont les missiles balistiques », explique le groupe d'électronique de défense. BFM Bourse du 28 juillet 2020

  • «Le fonds européen de défense: quelles perspectives?». La tribune libre de Bruno Alomar

    May 31, 2019 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security, Other Defence

    «Le fonds européen de défense: quelles perspectives?». La tribune libre de Bruno Alomar

    Bruno Alomar Se profile désormais la création d'un Fonds européen de défense de 13 milliards d'euros en capacité initiale, pour lequel le Parlement européen s'est solennellement prononcé en avril, et qui devrait être confirmé lors de l'adoption des prochaines perspectives financières 2021-2027 Parent pauvre de la construction européenne depuis l'échec de la Communauté européenne de défense (CED) en 1954, le projet d'Europe de la défense a connu, au moins dans les intentions, une accélération spectaculaire au cours des deux dernières années. Se est ainsi succédé la création en décembre 2017 d'une Coopération structurée permanente (CSP) regroupant 25 Etats, puis l'Initiative européenne d'intervention (IEI) en juin 2018. Se profile désormais la création d'un Fonds européen de défense de 13 milliards d'euros en capacité initiale (devant monter in fine à 20 milliards), pour lequel le Parlement européen s'est solennellement prononcé en avril, et qui devrait être confirmé lors de l'adoption des prochaines perspectives financières 2021-2027. La prochaine Commission européenne, pourrait même voir la création d'un poste de Commissaire européen à la défense, avec une Direction générale dédiée. Disons-le tout net : il n'est que temps que les Européens, adeptes du « doux commerce » et du soft power, prennent conscience de la dangerosité du monde et de leur fragilité dans le domaine militaire ! Il n'est que temps de dissiper l'illusion qui a prévalu depuis 1989, celle des « dividendes de la paix », d'un monde irénique structuré autour des seules questions économiques. Pourtant, alors que dans les mots l'idée d'une Europe de la défense progresse, d'autres mots indiquent d'autres réalités. Ainsi, les Sous-secrétaires d'Etat américains à la défense, Ellen Lord, et au département d'Etat, Andrea Thompson, ont adressé une lettre au Haut Représentant de l'Union européenne, Mme Mogherini, en date du 1er mai, qui ne déguise par le mépris dans lequel l'Amérique tient les timides efforts européens en la matière. Dans cette lettre, les autorités américaines rappellent que si la création d'un Fonds européen de défense est de la responsabilité des Européens, il va de soi que ceci ne saurait compromettre les relations qui existent au sein de l'OTAN. Le tropisme américain, Donald Trump n'ayant rien inventé si ce n'est une brutalité inédite sur la forme, demeure : « Européens, si vous voulez être protégés, achetez américain ; sinon gare ! » Sécurité. Rien de nouveau dira-t-on : hormis le Royaume-Uni et la France, puissances nucléaires indépendantes, tous les autres pays européens sont redevables à l'Amérique pour leur sécurité. C'est bien la raison pour laquelle ces Etats se fournissent avec zèle en matériel militaire américain, le dernier exemple en date étant le choix du F 35 par la très europhile Belgique, destinés d'ailleurs à remplacer les F-16 américains. C'est, plus encore, l'une des raisons essentielles pour lesquelles, face à une Russie redevenue menaçante, les pays scandinaves et baltes, avec le soutien silencieux de Berlin, mettent systématiquement en échec toute perspective d'approfondissement de l'Union européenne ou d'inflexion commerciale qui pourrait indisposer Washington. Dans un tel contexte, qu'il soit tout de même permis de formuler quelques orientations pour le futur Fonds européen de défense. Car, au-delà des intentions, c'est dans le détail que son succès au service de la sécurité des européens se jouera. Premièrement, la préférence européenne. N'en déplaise à nos alliés américains, si les européens, auxquels Washington reproche tant – à juste titre – de consacrer insuffisamment de ressources à leur défense, mobilisent des fonds, ceux-ci doivent à l'évidence être entièrement consacrés à la fortification d'une base industrielle et technologique de défense (BITD) européenne, d'autant plus fragile qu'elle est sous pression des industriels américains. Le programme F-35 a d'ailleurs réussi son pari industriel : assécher la R&D des entreprises européennes partenaires comme BAE ou Leonardo. C'est non seulement une question de crédibilité militaire pour les Européens. C'est aussi, si l'on tient compte du rôle essentiel des industries de défense en matière d'innovation au service de toute l'économie, une condition essentielle de restauration de leur base industrielle et de renforcement de leur compétitivité, le tout sur fond de rachat forcené de certains acteurs par leurs concurrents américains (Santa Barbara, Mowag, etc.). Deuxièmement, au moment où les conditions exactes de création et de gestion du Fonds sont débattues, il est essentiel, dans l'intérêt des Européens, de fixer clairement les responsabilités de chacun. Aux instances européennes de centraliser les projets, d'en évaluer l'intérêt, et d'apporter une « plus-value » communautaire. Ensuite, ce sont les Etats, et les Etats seuls, qui doivent gérer les fonds dégagés en coopération avec industriels. Mais rien ne serait pire que les institutions européennes, dont l'ADN est le libre marché et la compétence en matière de défense inexistante, prétendent se substituer au choix et à la décision finale des Etats membres, seuls comptables de leur souveraineté devant leur peuple. Bruno Alomar, auditeur de la 68 em session « politique de défense » de l'iHEDN et de la 25 em promotion de l'Ecole de Guerre. https://www.lopinion.fr/edition/international/fonds-europeen-defense-quelles-perspectives-tribune-libre-bruno-alomar-188032

  • Lockheed deems first test shot of precision strike missile a success, amid Raytheon delay

    December 11, 2019 | International, Land

    Lockheed deems first test shot of precision strike missile a success, amid Raytheon delay

    By: Jen Judson WASHINGTON — The first test shot of Lockheed Martin's precision strike missile at White Sands Missile Range, New Mexico, was a success, the company said in a statement. “All test objectives were achieved,” the statement read. The PrSM was fired Dec. 10 from a U.S. Army High Mobility Artillery Rocket System launcher and flew roughly 240 kilometers to the target, the release stated. “Today's success validates all of the hard work our PrSM team has put into the design and development of this missile,” said Gaylia Campbell, the company's vice president of precision fires and combat maneuver systems. “This test flight is the most recent success in a long line of product component and sub-component testing successes conducted as part of our proven development discipline to assure total mission success for our U.S. Army customer.” The test objectives, according to Lockheed, included staying on course and maintaining the trajectory, range and accuracy. The first flight tests for PrSM — meant to replace the Army Tactical Missile System — were delayed until the end of this year due to technical issues, the director in charge of Long-Range Precision Fires modernization, Brig. Gen. John Rafferty, said in July. “There were a couple of technical issues that caused us to delay about 90 days for the flight test," he said. "There was a mishap at a facility that caused some of the delay, followed by Mother Nature ... extreme weather that made repair at that facility near impossible for a period of time.” When pressed for specifics, Rafferty said the mishap was not at a Raytheon or Lockheed facility, but rather a sub-vendor used by both teams. Raytheon and Lockheed Martin have been in a head-to-head competition to deliver a future PrSM missile to the Army. While Lockheed was originally intended to test its missile in flight after Raytheon, the latter defense company experienced technical issues, according to sources, and had to push its flight test from November to early next year. The Army has a goal to initially field a new PrSM in 2023; it is one of the major development efforts within the Army's long-range precision fires portfolio. LRPF is the Army's top modernization priority. The service has accelerated PrSM's fielding timeline by several years and will stick to the baseline requirements for the missile to get there. Each company will have subsequent flight tests after the initial shot to help garner further data for development and refinement, leading the Army to choose a winner. The Army also plans to adjust its maximum range requirement following critical test shots of the two PrSMs. The missile's current maximum range requirement is 499 kilometers, which is the range that was compliant under the now-collapsed Intermediate-Range Nuclear Forces Treaty between the United States and Russia. The United States withdrew from the treaty in August, and so the Army no longer has to adhere to the range limit for its missiles. Rafferty said the baseline missile could reach a range of 550 kilometers based on data from both companies competing to build the PrSM. But the Army won't consider adjusting its requirements until each company has observed how their respective missile behaves in real flight tests. https://www.defensenews.com/land/2019/12/10/lockheed-deems-first-test-shot-of-the-precision-strike-missile-a-success-raytheons-is-delayed

All news