New details emerge on a nearly $1B cyber contract

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  October 26, 2023 | International, Aerospace

  Swedish defence group Saab raises outlook after Q3 profit jumps, shares rise | Reuters

  Swedish defence contractor Saab reported on Thursday a jump in third-quarter profit helped by high demand and raised its full-year sales outlook, sending its shares up 7% in early trade.

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  April 29, 2020 | International, Naval

  Navy Acquisition Boosts Ship Contract Awards Under COVID-19

  “I think there are ways we can come out of this much more resilient, but you know it's hard to change bureaucracy and institutional ways of doing business [to] make sure that this disruption doesn't go to waste,” says Navy acquisition chief James Geurts. By PAUL MCLEARY WASHINGTON: Navy leaders and defense industry execs are worried about the effect the COVID-19 pandemic is having on their supply chains, potentially interrupting critical repair and refit availabilities that could have knock-on effects on deployment schedules. The Navy's acquisition chief James Geurts told reporters recently that so far, industry is “holding pretty good on near-term milestones,” but he's worried about long-term effects on ship repair and the industry's ability to keep pace. However, the pandemic seems to be having some beneficial effects. “Part of my goal for our team is not to recover necessarily to where we were,” before COVID-19, but to change some fundamentals of how the Navy's business gets done, he said. With most of the Navy acquisition force teleworking, “we're basically 32 percent ahead on contract awards,” of where they planned to be at this point in the year. “And so, that means there are processes that are working much more efficiently now than they were before, so I want to capture those,” he said. The Navy and shipbuilders are trying to do the same thing in the shipyards where “maybe different techniques will allow us to gain some efficiency while also creating some resiliency,” that will help weather any future disruptions and setbacks. The big shipbuilders like Huntington Ingalls and Bath Iron Works are staggering shifts and allowing liberal leave and teleworking without suffering much disruption so far, company officials have said. Geurts said the lessons they're learning could lead to the conclusion that, “we cannot operate the way we used to operate, which had a lot of fragility and brittleness as we're seeing right now. It's got to drive to the way we need to operate in the future, which has to have resiliency for whatever disruption that might come up. That's what we're really trying to watch closely and think two or three phases ahead, and not just get caught up in managing today's crisis.” Even before COVID-19 tore through the global economy, the Navy was looking at ways to save money on repairing ships. Last month the service backtracked on plans for a classwide service-life extension project for its Arleigh Burke-class destroyers that would have added a decade to their 35-year service lives. Not keeping the Burkes longer, and saving on their life-extension upgrades, would free up money for the Navy to buy more unmanned systems and other smaller ships to fit into plans Defense Secretary Mark Esper is making with Navy leadership for a smaller, faster, more stealthy fleet. To that end, the service has been working on changing how it awards ship maintenance contracts, and is working to “bundle” multiple ship repair contracts together to give industry a more predictable work schedule, allowing them to plan long-term. “Ultimately, getting them bundles is the key to us being successful delivering these [ships] on time,” the commander of Naval Sea Systems Vice Adm. Thomas Moore said last month at the annual McAleese and Associates Defense Programs Conference. Awarding several ship contracts at once will allow the shipbuilder to stockpile parts and arrange work schedules in a more efficient and rational manner, as opposed to the one-off, last-minute contracts the Navy has traditionally awarded for ship repair. “Industry is rational. That's what I tell everybody — you may not like every decision they make, but the decisions most always are very, very rational,” Moore said. In the end, “we've got to manage our way through delay and disruption, but really focus on steepening the recovery and reinvention phase to get into the place we need to be,” Geurts said. “I think there are ways we can come out of this much more resilient, but you know it's hard to change bureaucracy and institutional ways of doing business [to] make sure that this disruption doesn't go to waste.” https://breakingdefense.com/2020/04/navy-acquisition-boosts-ship-contract-awards-under-covid-19

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  August 31, 2020 | International, Aerospace

  Suisse: Six milliards en jeu pour renouveler la flotte aérienne de l’armée

  Après l'échec de l'achat des avions Gripen en 2014, le peuple suisse est à nouveau appelé à voter pour ou contre l'acquisition d'avions de combats. La Suisse doit renouveler sa flotte d'avions de combat. Les appareils en service actuellement seront en fin de vie d'ici 2030. Le Conseil fédéral et le Parlement veulent acquérir de nouveaux avions pour six milliards de francs. Les opposants y voient une dépense inutile. Le peuple tranchera le 27 septembre. La votation porte sur le montant maximal destiné à l'achat des avions de combat qui remplaceront les 26 F-5 Tiger et les 30 F/A-18 de l'armée. Les premiers, acquis en 1978, sont déjà obsolètes. Ils ne peuvent voler que de jour et par temps clair, et ne servent plus qu'à l'instruction. Les seconds atteindront leur limite dans une dizaine d'années. Après l'échec de l'achat des avions Gripen en 2014, le gouvernement a décidé de ne soumettre aux urnes que le cadre général de l'acquisition. Le choix du type et du nombre d'appareils nécessaires lui reviendra ensuite. L'enveloppe de 6 milliards de francs, soit deux fois plus que le Gripen, est plafonnée et ne pourra pas être augmentée. Elle pourra en revanche être ajustée à l'évolution des prix. L'achat des nouveaux avions de combat recueille dans les derniers sondages une majorité en sa faveur. Le clivage droite/gauche est marqué, le camp bourgeois étant favorable à la dépense et le camp rose-vert opposé. Objectif controversé Pour le comité référendaire, composé du PS, des Verts et du Groupe pour une suisse sans armée, dépenser 6 milliards de francs pour les avions est une fausse promesse de sécurité. Le scénario d'une guerre aérienne en Europe n'est pas réaliste. La Suisse doit plutôt se préparer à de nouveaux types de menace: catastrophes, cyberattaques, pandémies ou changement climatique. Les avions de combat ne pourront pas contrer ces menaces. Des investissements dans la lutte contre le réchauffement climatique ou la pénurie d'électricité seraient plus sensés, selon les opposants. L'émergence de nouvelles formes de guerre ne remplace pas les anciennes menaces, répond le camp des partisans dans les rangs duquel se trouvent des membres du PLR, de l'UDC, du PDC, du PBD, des Vert'libéraux, du PEV et de nombreuses organisations militaires. Bien qu'il n'y ait pas de conflit armé en Suisse, les conditions peuvent rapidement changer. Il s'agit de l'avenir de la politique de sécurité. Une menace imprévisible La menace évolue constamment et la population doit être protégée contre les attaques imprévisibles, argumente la ministre de la Défense Viola Amherd. L'armée de l'air a de nombreuses t'ches pour lesquelles des avions de combat sont nécessaires. Elle intervient si un avion se trouve en situation critique ou s'il viole les règles. Lorsque Genève accueille une conférence internationale sur la paix, des avions doivent en permanence être dans les airs. L'armée doit également pouvoir contrôler de manière plus intense ses frontières en cas de tensions dans les environs et s'assurer qu'aucun appareil militaire étranger ne survole le territoire. Elle doit protéger son espace aérien en cas d'attaque directe. Coûts à définir L'argent dépensé pour les avions fera défaut dans d'autres domaines comme l'éducation, la santé, la sécurité publique ou sociale ou encore la culture, rétorquent les opposants. Cet achat serait en outre un chèque en blanc donné au gouvernement et au Parlement. Le jour de la votation, les électeurs ne connaîtront pas les coûts concrets. Si l'on prend en compte l'ensemble des coûts sur la durée de vie des avions, la facture s'élève à 24 milliards, avancent les référendaires. Le Département fédéral de la défense estime pour sa part la dépense à 18 milliards. Le PS propose l'acquisition d'avions de combat légers, moins onéreux. Pour Viola Amherd, ces appareils ne valent rien pour le service de police de l'air et encore moins pour protéger la Suisse en cas de crise. Ils ne volent pas assez haut, sont trop lents ou n'ont pas les radars ou l'armement nécessaires. Compensations prévues L'arrêté sur lequel le peuple doit se prononcer inclut des conditions. Il précise que le constructeur remportant l'appel d'offres devra investir 60% du montant du contrat dans l'économie suisse (65% en Suisse alémanique, 30% en Suisse romande et 5% en Suisse italienne). L'achat sera coordonné avec la modernisation du système de défense sol-air. Quatre jets sont encore en lice: le Rafale du français Dassault, l'Eurofighter de l'européen Airbus et les deux avions américains, le Super Hornet de Boeing et le F-35A de Lockheed-Martin. https://www.lematin.ch/story/six-milliards-en-jeu-pour-renouveler-la-flotte-aerienne-de-larmee-442405814349