Back to news

June 30, 2022 | Local, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

Military to look at cutting capabilities, using public servants to handle more jobs, says directive from top general and deputy minister

The Canadian Forces will get rid of some capabilities as well as examine having public servants and contractors take on roles now handled by military…

https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/military-to-look-at-cutting-capabilities-to-save-money-says-directive-from-top-general-and-deputy-minister

On the same subject

  • Le Canada manque d'avions de chasse et de pilotes, constate le vérificateur général

    November 21, 2018 | Local, Aerospace

    Le Canada manque d'avions de chasse et de pilotes, constate le vérificateur général

    Le Canada dispose d'un nombre insuffisant d'avions de chasse pour répondre au niveau d'alerte le plus élevé et honorer ses engagements à l'endroit de l'OTAN. C'est la conclusion inquiétante du vérificateur général du Canada, Michael Ferguson, qui déplore du même coup l'absence de plan pour mettre fin notamment à l'importante pénurie de pilotes et de techniciens. Un texte de Marc Godbout Des appareils qui ne sont pas à jour et un sérieux manque de pilotes et de techniciens : les conclusions du vérificateur général sont loin d'être rassurantes. En fait, même si la Défense nationale disposait d'un nombre suffisant d'appareils, les problèmes ne seraient pas réglés pour autant, confirme Michael Ferguson. Elle n'a aucun plan pour surmonter les plus grands obstacles au respect de la nouvelle exigence opérationnelle, à savoir la pénurie de pilotes et le déclin de la capacité de combat de ses aéronefs. Extrait du rapport Il faudra donc plus que les 3 milliards de dollars déjà prévus pour prolonger la durée de vie de la flotte actuelle et pour acheter, exploiter et entretenir des avions de chasse d'occasion de l'Australie. « Les investissements décidés ne suffiront pas pour lui permettre d'avoir chaque jour un nombre suffisant d'appareils disponibles afin de répondre au niveau d'alerte le plus élevé du NORAD (Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord) et honorer dans le même temps l'engagement du Canada envers l'OTAN (Organisation du traité de l'Atlantique Nord) », précise Michael Ferguson. Y a-t-il un pilote dans l'avion? Le rapport confirme que la Défense nationale disposait de seulement 64 % des pilotes de CF-18 qualifiés pour satisfaire aux exigences opérationnelles. Entre avril 2016 et mars 2018, l'Aviation royale canadienne a perdu 40 pilotes de chasse qualifiés et en a formé seulement 30 nouveaux. Extrait du rapport Michael Ferguson va même plus loin : « Si les pilotes continuent de quitter à ce rythme, il n'y aura pas assez de pilotes expérimentés pour former la prochaine génération de pilotes de chasse. » Le problème est confirmé par le ministre des Transports fédéral, Marc Garneau. « C'est un défi qu'on a au Canada de recruter plus de pilotes, non seulement du côté militaire, mais aussi du côté commercial. C'est un dossier sur lequel je me penche en ce moment pour essayer de trouver des solutions pour recruter plus de gens », a indiqué le ministre aux journalistes mardi. M. Garneau souligne que le coût d'une formation de pilote est très élevé, et que c'est la raison principale pour laquelle pas assez de gens sont attirés vers le domaine. « Pour devenir un pilote commercial, ça coûte 80 000 $ », dit-il. Par ailleurs, Marc Garneau ne voit pas de contradiction entre le fait d'acheter des avions usagés australiens et l'absence de pilotes pour les conduire. « Nos forces armées sont en train de travailler très fort pour recruter des pilotes, et quand les pilotes vont être là, il faut que les avions soient là. Alors il faut s'occuper des deux en parallèle », pense-t-il. Manque de techniciens pour préparer les avions De plus, les techniciens avaient été en mesure de préparer à peine 83 % des aéronefs nécessaires pour satisfaire aux engagements en matière de défense auprès du NORAD et de l'OTAN. Or, si le nombre de techniciens expérimentés n'augmente pas, prévient Michael Ferguson, les vols que pourra effectuer chaque pilote de CF-18 diminueront. Le rapport précise que, l'an dernier, les pilotes avaient enregistré moins d'heures de vol que le nombre minimal requis de 140 heures. La Défense nationale n'a pas pu faire le nécessaire, constate le vérificateur général, « vu l'incertitude entourant la date de remplacement de la flotte d'avions de chasse ». Sécurité des ambassades, graves lacunes Près de 8000 employés travaillent dans les missions canadiennes à l'étranger, dont la moitié se trouvent dans des endroits où leur sécurité était menacée en raison de l'imprévisibilité politique ou de troubles civils. Or, le vérificateur général en arrive à un autre constat inquiétant : « Affaires mondiales n'avait pas pris toutes les mesures de sécurité dans ses missions à l'étranger en fonction de l'évolution des menaces. » Le ministère avait pourtant relevé des lacunes qui devaient immédiatement être corrigées, dont de nombreuses failles majeures dans plusieurs de ses 175 missions diplomatiques et consulaires. Les délais pour remédier aux lacunes entraînent « des retards pour assurer efficacement la protection du personnel et des biens à l'étranger », conclut Michael Ferguson. Vidéosurveillance inadéquate, absence de barrière pour restreindre l'accès des véhicules aux entrées des missions et mécanismes d'alarme défaillants sont cités en exemple par le vérificateur général. Une mission située dans un endroit où la menace était élevée ne disposait pas d'appareil de radiographie pour contrôler les visiteurs, alors que l'on en trouvait dans des endroits où la menace était plus faible. Extrait du rapport De plus, de nombreux employés qui travaillaient dans des endroits dangereux n'avaient toujours pas suivi la formation obligatoire. Michael Ferguson souligne que les retards sont attribuables « à une mauvaise gestion et à une surveillance inadéquate des projets » par Affaires mondiales. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1136935/avions-chasse-canadiens-verificateur-general

  • Canada plans to buy four new Airbus tankers, requests proposal

    August 11, 2022 | Local, Aerospace

    Canada plans to buy four new Airbus tankers, requests proposal

    Airbus was designated as the only supplier qualified to provide the tankers to the Royal Canadian Air Force. As a result, a formal request for its proposal for the planes was issued to the firm on May 13, 2022.

  • Saudi Arabia and the Canadian Arms Lobby

    November 15, 2018 | Local, Land

    Saudi Arabia and the Canadian Arms Lobby

    by Yves Engler Will they cancel the contract or won't they? In order to understand Ottawa's decision making process regarding General Dynamics' massive arms deal with Saudi Arabia one must look closely at industry lobbyists. While the Trudeau government is under substantial public pressure to rescind the $15 billion Light Armored Vehicle sale, to do so would challenge the company and the broader corporate lobby. Last week a senior analyst with the GD-financed Canadian Global Affairs Institute boldly defended the LAV sale. "There has been no behavior by the Saudis to warrant canceling this contract", said David Perry to the London Free Press. Perry must have missed the Kingdom's violence in Yemen, repression in eastern Saudi Arabia and consulate murder in Istanbul. Two weeks ago Perry told another interviewer that any move to reverse the LAV sale would have dire consequences. "There would be geopolitical implications. There would be a huge number of economic implications, both immediately and in the wider economy... canceling this, I think, would be a big step because as far as I understand the way that we look at arms exports, it would effectively mean that we've changed the rules of the game." Amidst an earlier wave of criticism towards GD's LAV sale, the Canadian Global Affairs Institute published a paper titled "Canada and Saudi Arabia: A Deeply Flawed but Necessary Partnership" that defended the $15-billion deal. At the time of its 2016 publication at least four of the institute's "fellows" wrote columns justifying the sale, including an opinion piece by Perry published in the Globe and Mail Report on Business that was headlined "Without foreign sales, Canada's defense industry would not survive." Probably Canada's most prominent foreign policy think tank, Canadian Global Affairs Institute is a recipient of GD's "generous" donations. Both GD Land Systems and GD Mission Systems are listed among its "supporters" in recent annual reports, but the exact sum they've given the institute isn't public. The Conference of Defence Associations Institute also openly supports GD's LAV sale. Representatives of the Ottawa-based lobby/think tank have writtencommentaries justifying the LAV sale and a 2016 analysis concluded that "our own Canadian national interests, economic and strategic, dictate that maintaining profitable political and trade relations with ‘friendly' countries like Saudi Arabia, including arms sales, is the most rational option in a world of unpleasant choices." Of course, the Conference of Defence Associations Institute also received GD money and its advisory board includes GD Canada's senior director of strategy and government relations Kelly Williams. Full article: https://original.antiwar.com/yves_engler/2018/11/13/saudi-arabia-and-the-canadian-arms-lobby/

All news