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May 13, 2022 | International, Aerospace

Les drones MALE MQ-9 SeaGuardian pourront être mis en oeuvre depuis un porte-aéronefs - Zone Militaire

En 2021, la Turquie a annoncé son intention de transformer en porte-drones le TCG Anadolu, qui, jusqu'alors, devait être un navire d'assaut amphibie

http://www.opex360.com/2022/05/11/les-drones-male-mq-9-seaguardian-pourront-etre-mis-en-oeuvre-depuis-un-porte-aeronefs/

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  • Europe de la défense: entre Paris et Berlin, des ambitions et de la méfiance

    May 24, 2019 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security, Other Defence

    Europe de la défense: entre Paris et Berlin, des ambitions et de la méfiance

    Char, avion de combat du futur: Paris et Berlin travaillent sur d'ambitieux projets industriels communs dans la défense, mais les rapports restent teintés de méfiance et marqués par des divergences de vue autour de la question des exportations d'armement. Face au Brexit, au rel'chement des liens transatlantiques sous l'ère Trump, et malgré une mauvaise passe dans la relation franco-allemande, Emmanuel Macron a fait de l'Europe de la défense l'un de ses grands chevaux de bataille, qui figure en bonne place dans le programme des candidats de son camp aux élections européennes de dimanche. Réunis par un même besoin de renouveler leurs capacités militaires à horizon 2035-2040, Français et Allemands ont convenu à l'été 2017 de développer main dans la main deux programmes d'équipements majeurs: le système de combat aérien du futur (SCAF), sous leadership du français Dassault, pour remplacer les Rafale et les Typhoon, et le char de combat du futur ayant vocation à remplacer les Leclerc et les Lepoard, sous leadership allemand. Concernant le SCAF, dont le premier contrat d'architecture a été notifié à Dassault et Airbus en janvier, Paris et Berlin comptent annoncer "cet été" le lancement des études de recherche et développement destinées à jeter les bases des démonstrateurs, pour un montant de 150 millions d'euros sur deux ans, selon des sources concordantes. - pas d'annonce au Bourget? - Il n'est toutefois pas certain que l'annonce soit faite mi-juin au salon aéronautique du Bourget comme initialement prévu, admet Paris. Objectif: développer un démonstrateur d'ici 2026 -- pour un coût estimé entre 2 et 3 milliards d'euros -- avant une entrée en service en 2040 de ce système associant avion de combat, drones, futurs missiles de croisière et drones évoluant en essaim. Pour le char, "les industriels préparent une offre pour l'étude d'architecture à horizon de l'été", indique-t-on de source gouvernementale française. Pour continuer à avancer, reste à venir à bout des inquiétudes et grincements de dents de part et d'autre du Rhin. Parmi les motifs de friction figure le partage des compétences de pointe censées alimenter ces grands programmes communs d'armement. En France, où le groupe Dassault a conduit seul le programme-phare du Rafale, certains ne cachent pas leur méfiance. "Il ne faudrait pas que les Allemands profitent de cette coopération pour chiper notre savoir-faire stratégique", glisse-t-on de source proche du dossier. En Allemagne, des parlementaires de la coalition au pouvoir reprochent au gouvernement d'Angela Merkel d'avoir mal négocié la répartition industrielle du projet SCAF et critiquent les exigences françaises en matière de propriété intellectuelle, affirme jeudi le quotidien allemand Die Welt. "Au regard des enjeux industriels et économiques du projet, j'attends de Mme Merkel et de Mme von der Leyen (ministre allemande de la Défense) qu'elles prennent en main ce dossier et en fassent une priorité, comme l'a fait le président Macron", déclare au journal le responsable défense du parti social-démocrate allemand (SPD), Thomas Hitschler. - ventes d'armes aux Saoudiens - "Des débats sur le partage des technologies, les questions de propriété intellectuelle peuvent exister mais ils sont en train de se résoudre. C'est normal que ça tiraille, derrière il y a des enjeux financiers et de compétences industrielles", relativise-t-on à Paris, où l'on préfère vanter "la rapidité" avec laquelle un projet de cette ampleur s'est mis en route. Autre obstacle à franchir: la question des conditions d'exportation des armements, objet de frictions ouvertes entre Paris et Berlin. Depuis l'assassinat fin 2018 du journaliste saoudien Jamal Khashoggi à Istanbul, le gouvernement allemand a décidé de geler les exports d?armes à destination de l'Arabie Saoudite, client controversé de l'industrie française de défense. Une décision vertement critiquée par Emmanuel Macron, puis par l'ambassadrice de France en Allemagne, qui a déploré fin mars "la politisation croissante du débat allemand sur les exportations d'armements", susceptible selon elle de "faire peser un risque sur la coopération de défense européenne". "On ne peut pas se mettre d'accord sur des projets d'une telle envergure sans trouver une position commune sur les conditions d'exportation", renchérit un haut responsable français. Or le sujet est politiquement ultra-sensible en Allemagne. "L'opinion publique allemande est vent debout contre les exports d'armement. Quel est l'homme politique allemand qui se risquera à aller contre ça?", souligne Gaëlle Winter, chercheuse associée à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS). Paris accuse en outre Berlin de pratiquer un double jeu en feignant d'ignorer la livraison d'armement à Ryad par l'industriel allemand Rheinmetall, via ses filiales à l'étranger. "J'entends dans certaines capitales les protestations de vertus offusquées lorsqu'il s'agit d'exportations françaises, mais j'observe que les mêmes responsables ignorent volontiers ce que font les filiales ou les joint ventures de leurs champions nationaux de l'armement", s'est récemment agacée la ministre française des Armées Florence Parly. Sollicité par l'AFP, le ministère allemand de la Défense n'a pas donné suite. https://www.courrierinternational.com/depeche/europe-de-la-defense-entre-paris-et-berlin-des-ambitions-et-de-la-mefiance.afp.com.20190523.doc.1gt4y7.xml

  • Germany’s plan to boost defense spending hits a snag

    February 6, 2019 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security, Other Defence

    Germany’s plan to boost defense spending hits a snag

    By: Sebastian Sprenger COLOGNE, Germany — Germany may be unable to deliver on its pledge to increase the defense budget due to smaller-than-expected economic growth, according to a new Finance Ministry analysis. The projections peg the military budget to be several billion euros short of the trajectory to meet the government's goal of reaching 1.5 percent of gross domestic product by 2024. Analysts even see the current spending curve unable to sustain 1.35 percent in the years ahead. NATO members in 2014 agreed to boost their defense spending to 2 percent of GDP within 10 years. Germany's defense budget is roughly €43 billion (U.S. $49 billion) for 2019, or about 1.2 percent of GDP. That is a boost of €4 billion over the previous year. Defence Minister Ursula von der Leyen on Monday said Germany remains committed to hitting the self-declared 1.5 percent target in 2024. She portrayed the Finance Ministry's analysis as a mere first step toward a budget proposal negotiated by Cabinet secretaries. The government is expected to unveil such a plan in late March. The Trump administration has often criticized Germany for underspending on defense, arguing Berlin rides on American coattails when it comes to security. News that the country's spending target is at risk is sure to embolden the narrative in Washington that Europe is somehow taking advantage of the United States. It could weaken the negotiating position of German government delegates at two high-profile events in mid-February: a meeting of NATO defense ministers in Brussels, and the Munich Security Conference. The Finance Ministry's economic outlook estimates that agencies will have to reconcile new spending priorities within their previously established budget targets. That means no fresh money would become available for the government's push on artificial intelligence, for example, according to the document. https://www.defensenews.com/global/europe/2019/02/05/germanys-plan-to-boost-defense-spending-hits-a-snag/

  • What war elephants can teach us about the future of AI in combat

    June 14, 2023 | International, C4ISR

    What war elephants can teach us about the future of AI in combat

    Inspired by the historical relationship between humans and war elephants, we can develop a similar partnership between military personnel and AI.

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