April 20, 2023 | International, C4ISR
The $145 million contract from the U.S. Space Force continues the modernization and sustainment of critical space infrastructure enabling the Space Force core competency of Space Domain Awareness
August 28, 2023 | International, Aerospace
In the distant expanse from the tumultuous battlegrounds of Ukraine, power contest between US and Russia manifests itself prominently within confines of Syria.
November 3, 2020 | International, Naval
By: Sam LaGrone November 2, 2020 6:52 PM The Navy's next attack submarine will feature technology in the Columbia-class program and be significantly larger than the current class of the Virginia-class attack submarines, the chief executive of BWX Technologies said on Monday as part of the company's third-quarter earnings call. The head of the company that builds the nuclear reactors for the Navy's aircraft carriers and submarines said the follow-on to the Virginia SSN would be significantly larger than the current crop of attack boats. “We do expect it will be a larger type of submarine, probably in the size class of the Columbia, but there's not much more to tell than that. But we're working with our Navy customer in what that would look like and how we could take that into production,” Rex Geveden said. “It has the moniker SSN(X) until it gets a class name, and there's some thought, discussion and analysis. It would be the follow-on to the Virginia fast-attack submarine, and it would feather in sometime in the late 2030s.” USNI News understands that Geveden was referring to the submarine's diameter rather than its underwater displacement. The Columbia class is planned to displace about 20,000 tons – about 2,000 more than the current Ohio ballistic missile submarines. The current Virginias displace about 8,000 tons. The Columbia-class hulls are about 42-feet in diameter, while the Virginias are 36-feet wide. A wider hull for submarines can improve characteristics like stealth, allowing ship designers to build in more sound-deadening technology and allow room to develop systems to increase a boat's speed, but it is more expansive to build. The comments are in line with remarks from Chief of Naval Operations Adm. Mike Gilday, who called for the development of a more aggressive attack submarine as a lynchpin of future fleet build-up. “The advantage we have in the undersea is an advantage that we need to not only maintain, but we need to expand. I want to own the undersea for forever because I know that I can be really lethal from the undersea,” he said last month. “When you think attack boat, you're thinking, that can move around the timing and tempo of an operational commander's need to deliver ordinance on target in a timely fashion. And so it's got to be a fast sub as well.” After the Cold War, the U.S. submarine fleet pivoted from the deep-diving, heavily armed Seawolf-class of attack submarines to the Virginia-class, which was optimized to perform signals intelligence and special operations missions in the littorals. “Specifically, the Navy indicates that the next-generation attack submarine should be faster, stealthier, and able to carry more torpedoes than the Virginia class—similar to the Seawolf-class submarine,” the CBO said in late 2018. The return to a more heavily armed, faster submarine is in line with the latest National Security Strategy that places Russia and China at the top of the threat list. Geveden was optimistic on BWXT's outlook for work to build reactors for the Navy's carriers and submarines well into the future. “The nuclear operations groups has really ramped up on the first Columbia, and we are having expectational performance on that program for the Navy customer, and we anticipate another order in the next multi-year pricing agreement,” he said. “We also had an exceptional year of performance on aircraft carriers benefitting from the acceleration of the Ford-class and believe this program will continue for decades as the U.S.'s main force projection asset.” While the company is bullish on the outlook for submarine work, it remains unclear at what rate the Navy will be buying them. Like General Dynamics Electric Boat, which briefed investors last week, BWXT has not received a clear signal from the Navy that it would need to build submarines at the rate of three a year, in line with a call from Secretary of Defense Mark Esper as part of his Battle Force 2045 plan. “In the previous shipbuilding plan, there were 48 fast attack submarines. In the current one, it went to 66. Esper said he was looking at something like 70 to 80 fast attack submarines in the fleet,” Geveden said. “When we last discussed any capital needs around that, what we said was if there was a single year of a third Virginia, we could probably accommodate that without any additional buildout. We haven't evaluated a permanent three-Virginia tempo, and we haven't discussed any capital needs around that, but we would have to invest in that case.” https://news.usni.org/2020/11/02/bwxt-ceo-navys-next-generation-ssnx-attack-boat-will-build-off-columbia-class
June 18, 2019 | International, Aerospace
Par ehuberdeau Le missilier européen a imaginé plusieurs concepts d'armement qui pourraient être intégrés au sein des projets européens de futurs systèmes de combat aériens. Très connectés ces missiles et remote carriers devront pouvoir contrer des systèmes de dénis d'accès. En Europe continentale, comme au Royaume-Uni, les travaux de préparation de systèmes de combat aérien futurs avancent. Ceux ci mettront en réseau des avions de combat, des avions de mission, des moyens satellitaires, des drones et "remote carriers" mais aussi de l'armement. MBDA, spécialiste européen des missiles veut participer à ces développements et profite du salon du Bourget pour présenter des concepts innovants. Les missiles de croisière MBDA a imaginé deux concepts de missiles de croisière qui pourraient être opérationnels à l'horizon 2030 et pourraient donc être appliqués au programme FMAN/FMC (Futur missile de croisière et missile anti navires franco-britannique). Ces missiles bénéficieront de capacités de pénétration accrues par rapport aux systèmes actuels. Cette famille comprend deux concepts. D'une part un missile polyvalent supersonique et d'autre part un missile subsonique furtif. Le missile supersonique (Vitesse supérieure à mach 1) a été imaginé pour frapper principalement trois types de cibles : les centres de contrôle des systèmes de défense aérienne, les navires et les cibles aériennes de haute valeur tel que les ravitailleurs en vol et les avions de conduite et de commandement. Pour ces missions il sera nécessaire d'aller vite et d'être manoeuvrant. Le missile subsonique furtif a été pensé pour réaliser des frappes dans la profondeur. Il bénéficiera d'une grande endurance et emportera une charge militaire conséquente. Il pourra frapper notamment des cibles durcies. Les deux missiles auront un format comparable à celui du SCALP, soit environ cinq mètres de long pour une masse d'environ une tonne. Le missile pourra être emporté par un avion ou tiré depuis un navire. Le guidage ne dépendra pas du GPS et les missiles bénéficieront de portées de plusieurs centaines de kilomètres. Smart Glider/Smart Cruiser MBDA avait déjà présenté sa famille SmartGlider. Les SmartGlider sont des bombes planantes non propulsées, d'une portée de plus de 130 km, équipées d'un autodirecteur à capteurs multiples. Deux variantes ont été imaginées, une lourde de 1 200 kg et une légère de 120 kg. Cet armement met en œuvre l'intelligence artificielle. Des algorithmes devraient aider l'équipage à reconnaître sa cible et donc à être plus réactif. Une fois tirée, l'arme est conçue pour dialoguer avec l'appareil tireur durant l'ensemble de son vol. Les SmartGlider ont été conçues pour être utilisées en essaim. Avec trois points d'emport pour six armes, un Rafale pourrait emporter jusqu'à dix-huit bombes planantes SmartGlider Light. Plusieurs bombes peuvent donc être larguées en même temps pour mener une attaque saturante. Les SmartGlider pourront se coordonner en vol pour adopter des trajectoires complémentaires et perturber les défenses adverses. MBDA propose désormais aussi de développer une version propulsée de l'arme baptisée SmartCruiser. La charge militaire serait réduite mais la portée serait accrue. Remote carriers Le terme « remote carriers » désigne une large gamme de systèmes allant du missile connecté au drone de combat. MBDA propose deux effecteurs capable avant de frapper leur cible de réaliser une variété de missions. Celles-ci pourraient comprendre la reconnaissance, le renseignement ou encore la guerre électronique. Le RC 100 est un véhicule de 100 kg, le RC 200 un véhicule de 200 kg plus endurant et plus performant. Le RC 100 pourrait être intégré par le système Smart Launcher permettant d'emporter aussi des bombes SmartGlider. Un avion de combat pourrait donc lancer simultanément des bombes SmartGladier et un ou des RC 100. Le remote carrier pourrait ainsi participer à la désignation des cibles ou brouiller les systèmes de défense adverses pour améliorer l'efficacité du raid. Anti missile hardkill system Il s'agit ici d'un petit missile de un mètre de long, emporté par un chasseur, capable d'intercepter les missiles qui lui sont destinés. Sur un chasseur de prochaine génération, l'AHS pourrait être intégré directement dans la structure de l'appareil sur des lanceurs prévus à cet effet. Pour des appareils plus anciens il pourrait être emporté en nacelle. Le missile devra être intégré au système d'autoprotection de l'avion de combat et devra pouvoir être mis en œuvre sans perturber la manœuvre évasive du chasseur. https://www.air-cosmos.com/article/bourget-2019-la-vision-du-futur-de-mbda-10361