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November 14, 2024 | International, Naval

Kongsberg wins biggest-ever missile contract from US Navy, Marines

The Norwegian company will provide its Naval Strike Missile, which is being installed on the Navy’s Littoral Combat Ships and Constellation-class frigates.

https://www.defensenews.com/global/europe/2024/11/14/kongsberg-wins-biggest-ever-missile-contract-from-us-navy-marines/

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  • Safran garde l'objectif d'une entrée en service opérationnel du Patroller en 2021

    March 3, 2020 | International, Aerospace

    Safran garde l'objectif d'une entrée en service opérationnel du Patroller en 2021

    Par Michel Cabirol Safran garde l'objectif d'une entrée en service opérationnel du Patroller en 2021. L'armée de Terre est de son côté plus dubitative. Le pari est ambitieux, voire audacieux mais pourquoi pas... Après le crash début décembre d'un drone Patroller peu avant sa livraison à l'armée de Terre, le directeur général de Safran Philippe Petitcolin a pour "objectif de ne pas impacter la mise en service opérationnel (du drone Patroller, ndlr) en 2021", a-t-il expliqué jeudi lors de la présentation des résultats 2019 de Safran. Après avoir trouvé rapidement la panne - un sous-système défaillant -, Safran a pu poursuivre les tests du Patroller avec un pilote à bord (avion dronisé) puisqu'il est dérivé de la plateforme en carbone fabriquée par l'industriel allemand Stemme. Le Patroller était initialement attendu dans les armées fin 2018. Un calendrier compromis ? Dans l'armée de Terre, on reste plus prudent, voire pessimiste sur le calendrier de projection du Patroller en opérations en 2021 à la suite du crash. Et ce d'autant que le calendrier était déjà tendu. "Il y a la nécessité de revoir certains développements non majeurs", explique-t-on à La Tribune. Résultat, le Patroller doit être non seulement livré à l'armée de Terre mais également maîtrisé par les équipages ainsi que les équipes de maintenance. Conclusion, le calendrier semble "compromis", estime-t-on. En outre, ce que ne maîtrise pas Safran, c'est la longueur de l'enquête de sécurité du BEA-É, le bureau enquêtes accidents pour la sécurité de l'aéronautique d'État (anciennement BEAD-air). Interrogé par La Tribune, le BEA-É, qui dispose de 11 enquêteurs, a précisé que l'enquête avançait "à un rythme normal" sans "difficulté". Les enquêtes du BEA-É s'étalent sur une durée de moins d'un an, entre neuf et dix mois en moyenne. Il enquête également sur l'accident des hélicoptères au Mali entraînant la mort fin novembre de 13 soldats français. close volume_off Un premier système devait être remis à l'armée de Terre Le crash sur la commune de Saint-Mitre-les-Remparts à proximité d'Istres (Bouches-du-Rhône), qui n'a pas fit de victime, s'est produit lors d'un vol d'essai mené à partir de la base aérienne 125 d'Istres en vue de sa livraison à l'armée de Terre. Le drone tactique était opéré par les équipes de Safran Electronics & Defense. "Des investigations sont en cours pour déterminer les causes de cet incident", avait réagi à chaud Safran Electronics & Defense, qui développe le Patroller pour le compte de l'armée de Terre. Le premier système (5 avions et deux stations sol) devaient être remis d'ici à la fin de l'année à l'armée de Terre, qui devait mettre en service le Patroller début 2020. Un deuxième système devait être livré en 2020. Au total, l'armée de Terre doit recevoir cinq systèmes et vingt-huit drones tactiques de ce type à l'horizon 2030, selon l'ancien chef d'état-major de l'armée de Terre, le général Jean-Pierre Bosser. Le Patroller sera la "rolls" de l'armée de Terre. Équipé d'une boule optronique gyrostabilisée dernier cri, ce drone tactique vise à répondre aux missions de renseignement au profit des unités tactiques de l'armée de Terre en leur offrant une capacité de surveillance, d'acquisition, de reconnaissance et de renseignement (SA2R). Ce système d'observation est capable de détecter, d'identifier et de localiser, de jour comme de nuit, dans un champ atteignant presque 360°, tous les éléments observés sur une portée de 150 km (14 heures d'autonomie). https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/safran-garde-l-objectif-d-une-entree-en-service-operationnel-du-patroller-en-2021-840810.html

  • FIA 2024: Bell unveils FLRAA progress with potential for global impact - Army Technology

    July 28, 2024 | International, Aerospace

    FIA 2024: Bell unveils FLRAA progress with potential for global impact - Army Technology

    Frank Lazzara, Director of Advanced Vertical Lift Systems Sales and Strategy at Bell, discloses advances and future goals for FLRAA.

  • Germany’s Defence Ministry is under the gun to name a Tornado replacement

    April 21, 2020 | International, Aerospace

    Germany’s Defence Ministry is under the gun to name a Tornado replacement

    By: Sebastian Sprenger COLOGNE, Germany — You can count on Germany to stir the pot of nuclear weapons sharing amid a global pandemic. Such was the case in the past few days in a country that, armed with a superb health care system and a relatively low COVID-19 mortality rate, is seen as a model for managing the coronavirus crisis. But as of Sunday afternoon, the national security community was abuzz about a news report saying Defence Minister Annegret Kramp-Karrenbauer effectively promised her U.S. counterpart that the ministry will buy 45 F-18 jets from Boeing. The Der Spiegel report comes after news broke a few weeks ago that Berlin planned to acquire a mix of Airbus Eurofighter jets and Boeing F-18s for a smattering of air warfare jobs too demanding for the country's aging Tornado fleet. Those jobs include flying conventional fighter-bomber missions, jamming enemy air defenses and carrying U.S. nuclear-tipped gravity bombs to hypothetical World War III targets somewhere eastward, per NATO's so-called nuclear sharing deal. According to Der Spiegel, Kramp-Karrenbauer sent U.S. Defense Secretary Mark Esper an email last week detailing her ministry's wish to buy F-18s not only for the atomic mission — which comes as little surprise — but also for the electronic warfare role. That reported promise stung Eurofighter advocates — even those who might begrudgingly accept an American product for the nuclear mission — because Airbus has plans for a souped-up jamming plane that it wants to see in Germany's inventory. In short, the Eurofighter crowd wants nothing more than Berlin to pick a pure Eurofighter fleet, arguing that the F-18′s shelf life is expiring in U.S. budget planning anyway, and that the Boeing jet is no closer to nuclear weapons certification than any other aircraft. The German Defence Ministry has always signaled it will take into account industrial policy considerations in the Tornado-replacement question. So strongly did senior leaders believe in the idea of a keeping the European industrial base humming toward an eventual Franco-German aerial über-weapon that they nixed Lockheed Martin's F-35 from the competition. But keeping American aircraft entirely out of the loop has always seemed a nonstarter. A ministry spokesman on Monday said Kramp-Karrenbauer's missive to Esper was only meant to test the waters regarding America's ability to start delivering those planes when the actual acquisition program gets underway in a few years. A formal decision on replacing the Tornados had initially been expected by the end of March. But as the coronavirus crisis unfolded, that decision was pushed to after Easter. Kramp-Karrenbauer is expected to announce her plans before the parliamentary Defence Committee on Wednesday, where she is likely to face opposition from lawmakers of the SPD coalition partner. Until then, Germans have yet another puzzle to discuss, as an increasingly divisive debate unfolds here over reopening the country. https://www.defensenews.com/global/europe/2020/04/20/germanys-defence-ministry-is-under-the-gun-to-name-a-tornado-replacement/

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