Back to news

September 26, 2023 | Local, Aerospace

ITPS Canada's 5th Generation Surrogate Training Aircraft completes first flight - Skies Mag

The 5STA is a Hawker Hunter aircraft with upgraded technology that emulates the performance and avionics of the latest generation fighters.

https://skiesmag.com/news/itps-canada-5th-generation-surrogate-training-aircraft-completes-first-flight/

On the same subject

  • Le Canada négocie l’achat de nouveaux véhicules blindés d’appui tactique

    August 19, 2019 | Local, Land

    Le Canada négocie l’achat de nouveaux véhicules blindés d’appui tactique

    De : Défense nationale Communiqué de presse Le 16 août 2019 – London (Ontario) – Défense nationale/Forces armées canadiennes Le gouvernement du Canada franchit une autre étape pour procurer aux Forces armées canadiennes (FAC) l'équipement moderne dont elles ont besoin pour fonctionner dans tout le spectre des opérations, et ce, mieux protégées contre diverses menaces, comme le souligne la politique de défense du Canada Protection, Sécurité, Engagement. L'honorable Harjit S. Sajjan, ministre de la Défense nationale, a annoncé que le gouvernement achètera 360 véhicules blindés légers (VBL) d'appui tactique de la General Dynamics Land Systems-Canada (GDLS-C). Les fonds nécessaires sont compris dans le budget approuvé réservé à la mise en œuvre de la politique de défense susmentionnée. Le gouvernement du Canada a également l'intention de fournir un prêt à remboursement à la GDLS-C. Afin d'accroître au maximum les retombées économiques de ce projet pour la population canadienne, le fournisseur réinvestira une somme rigoureusement égale à la valeur de ce contrat dans l'économie canadienne afin de créer des emplois et des possibilités en matière d'innovation. En plus des quelque 1 650 emplois existant à l'usine de la General Dynamics Land Systems (GDLS) à London, des travailleurs occupant près de 8 500 autres emplois disséminés dans tout le Canada aideront à fournir les pièces et l'équipement nécessaires à la construction des véhicules blindés légers. Le VBL est essentiel au parc de véhicules de combat de l'Armée et il appuie nos militaires, femmes et hommes, dans toute une gamme d'opérations, y compris les missions de soutien de la paix à l'étranger et les opérations de secours qui ont été menées lors des vastes inondations s'étant produites au Nouveau‑Brunswick, au Québec et en Ontario. Le VBL est une plateforme qui a fait ses preuves et qui répond aux besoins de l'Armée canadienne. La présence de véhicules d'appui tactique semblables dans le parc des Forces armées canadiennes offrira de nombreux avantages opérationnels, y compris la réduction du coût de l'instruction et du maintien en puissance et la disponibilité de pièces de rechange communes pour réparer les véhicules rapidement au cours d'opérations critiques. Les véhicules blindés d'appui tactique remplissent des rôles clés et servent notamment de postes de commandement, d'ambulances et d'ateliers mobiles de réparation. Cette nouvelle flotte offrira la protection et la mobilité dont les membres des FAC ont besoin pour exécuter leur travail dans les environnements opérationnels. Citations « Le VBL est l'épine dorsale de la flotte de véhicules de combat de l'Armée et il soutient nos militaires, femmes et hommes, dans tout un éventail d'opérations, allant des interventions de secours en cas de catastrophe au Canada telles que l'opération LENTUS aux missions de soutien de la paix à l'étranger. Je suis heureux de pouvoir renforcer notre flotte de véhicules blindés d'appui tactique, comme notre gouvernement s'est engagé à le faire dans la politique de défense Protection, Sécurité, Engagement, tout en soutenant des emplois canadiens et en favorisant l'innovation gr'ce à notre partenariat avec GDLS-C. » – Le ministre de la Défense nationale, Harjit S. Sajjan « Nous sommes résolus à fournir à nos militaires, femmes et hommes, l'équipement qu'il leur faut pour exécuter leur travail important. Dans le cadre de la politique de défense du Canada Protection, Sécurité, Engagement, l'annonce d'aujourd'hui nous fait avancer dans l'exécution de notre plan qui vise à fournir aux Forces armées canadiennes l'équipement moderne dont elles ont besoin, dans les limites du budget établi, tout en garantissant des emplois à la classe moyenne dans l'ensemble du pays. » – La ministre des Services publics, de l'Approvisionnement et de l'Accessibilité, Carla Qualtrough « Notre gouvernement continue de créer de bons emplois et des possibilités économiques pour les canadiennes et les canadiens. Chaque dollar dépensé aux fins de ce projet sera réinvesti dans l'économie canadienne en créant des débouchés pour les fournisseurs canadiens et en soutenant de bons emplois pour la classe moyenne. » – Le ministre de l'Innovation, des Sciences et du Développement économique, Navdeep Bains Faits en bref La flotte actuelle de véhicules blindés d'appui comprend des VBL II Bison et des VBL chenillés M113. Le gouvernement du Canada en est aux dernières étapes de la négociation d'un contrat avec GDLS-C. Le coût estimatif du projet pourrait atteindre trois milliards de dollars, et le prêt remboursable atteindra jusqu'à 650 millions de dollars. Ce premier montant comprend aussi le coût de la nouvelle infrastructure où les véhicules seront logés et entretenus. Les véhicules blindés d'appui tactique des FAC seront livrés en huit versions et pourront ainsi remplir divers rôles tels que: ambulances, récupération de véhicules, travaux de génie, atelier mobile de réparation, guerre électronique, transport de troupes et postes de commandement. En acquérant les véhicules maintenant, le Ministère épargnera les frais liés à l'entretien et à la prolongation de la durée de vie de la flotte actuelle de véhicules. La politique de défense du Canada Protection, Sécurité, Engagement contient l'engagement « d'intégrer l'analyse comparative entre les sexes plus (ACS+) dans toutes les activités liées à la défense dans l'ensemble des Forces armées canadiennes et au ministère de la Défense nationale ». Cela garantit que chaque activité, y compris l'acquisition de nouvelles plateformes majeures, prend en compte l'ACS+. L'opération LENTUS correspond aux interventions des Forces armées canadiennes (FAC) en cas de catastrophes naturelles au Canada. Elle suit un plan d'action établi pour soutenir les collectivités en crise. Les FAC peuvent alors utiliser des navires, des véhicules, des aéronefs et divers autres équipements. La Politique des retombées industrielles et technologiques est le principal outil dont dispose le gouvernement pour assurer les retombées économiques des grands marchés de défense, ce qui signifie que le fournisseur réinvestira dans l'économie canadienne un montant rigoureusement égal à la valeur du contrat. Liens connexes Protection, Sécurité, Engagement : la politique de défense du Canada Véhicule blindé d'appui tactique – Programme des capacités de la Défense Personnes-ressources Todd Lane Attaché de presse Cabinet du ministre de la Défense nationale Téléphone : 613-996-3100 Relations avec les médias Ministère de la Défense nationale Téléphone : 613-996-2353 Courriel : mlo-blm@forces.gc.ca https://www.canada.ca/fr/ministere-defense-nationale/nouvelles/2019/08/le-canada-negocie-lachat-de-nouveaux-vehicules-blindes-dappui-tactique.html

  • Why it is time for smart protectionism

    July 20, 2020 | Local, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Why it is time for smart protectionism

    Put simply, Canadian governments have a responsibility to practise smart protectionism where the risks to Canadians' personal security and national security are high. Free trade is good economics. Protectionism is bad. Global supply chains are efficient. Favouring domestic goods, services and industries is inefficient. Canada has long adhered to these orthodoxies. And most of the time it makes sense to do so. However, through the COVID-19 pandemic, both the public and private sectors have seen weaknesses associated with heavy or total reliance on foreign sources and global supply chains for essential goods, notably personal protective equipment (PPE). As of June 2, for example, the Government of Canada had ordered close to 122 million N95 masks from international suppliers, yet 12 million had been received and 9.8 million of those failed Canadian standards. We are learning the hard way that foreign sources cannot necessarily supply the products we need in the time, quantity or quality required during a national or global emergency. China, as the dominant global producer of many of these PPE supplies, has become the focal point for an emerging debate around domestic control over certain goods, technologies, and services. A recent report from the Henry Jackson Society in the U.K., for example, has argued the “Five Eyes”—the U.S., U.K., Canada, Australia and New Zealand—are far too reliant on Chinese sources for all kinds of strategically important goods, and that this is a threat to the national security of those countries. The Canadian Security Intelligence Service, too, has warned that Canadian companies that produce certain critical technologies are vulnerable to foreign takeovers by entities with agendas hostile to Canada's interests. This is not just an issue with China, though. In Canada, we like to believe that in national or global crises we can rely on the U.S. or other allies for help. Canada, in other words, would be at or near the front of the line with allies. The COVID-19 pandemic, and the behavior of the U.S. and European countries, suggests this is naive. Italy, a founding EU member, requested and was denied face masks from the EU's stockpile at the peak of their COVID-19 outbreak. In April, a presidential executive order gave the U.S. Federal Emergency Management Agency the power to “allocate to domestic use” several types of PPE that would otherwise be exported. U.S. produced masks bound for Germany, a close American ally, were reportedly diverted back while in transit. Ultimately, Canada was exempt from the U.S. order, but this episode should tell us that global emergencies can lead to “home front comes first” attitudes, even among our closest allies. Fundamentally, the issue comes down to one of efficiency versus necessity. Sometimes, in some areas of the economy, security of supply is more important than efficiency. While this thinking is new to most companies and governments in Canada, it is not new to Canadian companies working in defence and national security. The Canadian defence industry has long highlighted the need for focused sovereign production and control in key national security capabilities—in part to ensure security of supply—as our allies in the U.S., Europe and elsewhere have been doing for generations. The argument has fallen largely on deaf ears. There seems to be a greater aversion in Canada to any kind of protectionism than among our more pragmatic allies. There is also a belief that Canada can always rely on obtaining critical supplies from the U.S., owing to both our close trading relationship and bi-lateral defence agreements dating from the 1950s that purport to establish an integrated North American defence industrial base. Canada puts too much faith in these beliefs, to our peril. While we can still hold free trade and integrated global supply chains as the goal, we also need to recognize that this view of the economy does not always serve our national interests. Put simply, Canadian governments have a responsibility to practise smart protectionism where the risks to Canadians' personal security and national security are high. Christyn Cianfarani is president and CEO of the Canadian Association of Defence and Security Industries (CADSI). The Hill Times https://www.hilltimes.com/wp-content/uploads/2020/07/072020_ht.pdf

  • Thirty per cent of Defence Department procurement positions vacant: Internal report

    April 7, 2023 | Local, Other Defence

    Thirty per cent of Defence Department procurement positions vacant: Internal report

    OTTAWA ? A new internal report by the Department of National Defence is casting a spotlight on a persistent problem undermining efforts to replace Canada's aging military equipment: a critical shortage of procurement experts.

All news