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June 2, 2022 | Local, Naval

Irving Shipbuilding and Acadia University Announce Certificate in Maritime Security at CANSEC Canada's Global Defence and Security Trade Show

Acadia University Acadia University OTTAWA, June 01, 2022 (GLOBE NEWSWIRE) -- Acadia University and Irving Shipbuilding Inc. (ISI), in partnership with the International Association of Maritime Security Professionals (IAMSP), are pleased to announce the creation of a new Professional Certificate in Maritime Security (PCMS) to be offered through Open Acadia starting in the fall of 2022. Announced at CANSEC, Canada's Global Defence and Security Trade show on June 1, the PCMS consists of two compon

https://finance.yahoo.com/news/irving-shipbuilding-acadia-university-announce-150000795.html

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  • J85 Draft RFP

    November 3, 2021 | Local, Aerospace

    J85 Draft RFP

    LETTER OF INTEREST: J85 PROPULSION GROUP SUSTAINMENT (PGS) W8485-22SA02/A The Department of National Defence, Director General Aerospace Equipment Program Management, has a requirement for airworthy, cost-effective, and performance-based, support for the General Electric J85-CAN-40 Propulsion Group systems of the Royal Canadian Air Force CT114 Tutor fleet. This is a long-term requirement to the End of Life of the aircraft fleet. The intent of this LOI is to solicit market information, including availability and delivery schedule, as well as to determine industry interest in responding to a potential Request for Proposal. The RFP can be found (attached).

  • Une innovation québécoise à l'assaut de l'armée américaine

    October 24, 2018 | Local, Land

    Une innovation québécoise à l'assaut de l'armée américaine

    JEAN-FRANÇOIS CODÈRE Le rêve d'un exosquelette qui aidera les soldats à transporter leurs lourdes charges sans se blesser approche et c'est une firme de Saint-Jean-sur-Richelieu Mawashi, qui est en pôle position d'un marché évalué à «des milliards et des milliards de dollars». Le tiers des soldats évacués en Afghanistan ou en Irak n'avaient pas subi de «blessures de guerre», avance Alain Bujold, chef de la direction et chef de la direction technologique de Mawashi. Ils avaient plutôt subi les dommages, notamment au dos, du trop grand poids placé sur leurs épaules. «Ça coûte 500 millions de dollars par année à l'armée américaine pour s'occuper des soldats blessés parce qu'ils transportaient trop de poids», ajoute-t-il. Spécialiste de la recherche et de l'ingénierie pour «tout ce qui se met sur le corps humain» depuis des années, Mawashi s'est intéressée de plus près aux exosquelettes en 2013. Elle avait alors été invitée à participer à un projet de l'armée américaine, le projet Talos, qui consistait à créer une sorte d'armure à la Iron Man. «Ils ont donné de l'argent à un paquet de compagnies, et on les a toutes clenchées», raconte fière M. Bujold. Alléger la charge L'exosquelette Uprise mis au point par Mawashi peut retirer jusqu'à 70% du poids transporté par un soldat de sa propre ossature. La structure épouse les formes du corps, mais n'est pas motorisée, ce qui est un avantage important selon M. Bujold, puisque les soldats peuvent ainsi être affectés à de très longues missions sans crainte d'épuiser leurs piles. Et sans avoir à transporter lesdites piles. Une plaque posée sous le pied du soldat, dans sa chaussure, sert de fondation à l'ensemble. Cette plaque s'arrête avant les orteils, de façon à permettre au soldat de bien ressentir le sol sous ses pieds. Des tiges métalliques articulées longent ensuite les jambes du soldat pour rejoindre une ceinture rigide. De là s'élève une «colonne vertébrale», de laquelle émergent des appendices qui permettent notamment de suspendre un sac à dos ou un plastron sans que le poids ne se dépose sur le squelette du soldat. En situation de combat, un soldat est chargé d'en moyenne une centaine de livres d'équipement protecteur, de munitions, d'armes et d'équipements de communication, entre autres, estime M. Bujold. «De plus en plus, les combats se déroulent dans des zones urbaines, ce qui fait qu'on ne peut utiliser de véhicules pour transporter l'équipement, ajoute-t-il. Et il y a de plus en plus de matériel pour les communications.» «Le but n'est pas de permettre de transporter plus de poids, prévient-il toutefois. C'est de réduire les blessures et d'aider à porter ce poids.» En avance En mars dernier, Mawashi a été invitée par l'OTAN à venir démontrer les bénéfices que pouvait procurer Uprise à des spécialistes du déminage, qui doivent revêtir une combinaison protectrice pesant à elle seule une centaine de livres. L'entreprise se concentre présentement à démontrer de façon claire les avantages de son produit. Elle a reçu un financement de trois ans de l'armée canadienne pour parvenir à cette fin. «Le dernier obstacle est de prouver qu'il y a vraiment un bénéfice, indique M. Bujold. Les tests préliminaires le démontrent.» Sur l'échelle de maturité technologique (Technology Readiness Level), qui va de 1 à 9, l'Uprise est au niveau 7. Aucune solution comparable ne le devance, selon M. Bujold, et l'Uprise est en position pour être le premier exosquelette déployé sur le terrain. «Le premier qui va arriver avec une technologie qui fonctionne, c'est le prochain Apple, croit l'entrepreneur. On ne parle pas de millions, mais de milliards.» C'est qu'au-delà des militaires, il y a une panoplie d'autres secteurs qui pourraient être intéressés à un exosquelette de ce genre, envisage-t-il, à commencer par l'important marché du plein air. Les pompiers, les travailleurs de la construction et les employés de chaînes d'assemblage pourraient eux aussi en bénéficier. L'Uprise pourrait coûter de 3000$ à 20 000$, estime-t-il, selon la configuration choisie. Jusqu'à présent, ce sont surtout des contrats de l'armée américaine qui ont permis à Mawashi d'avancer. «C'est tout récent que de recevoir du financement canadien», dit M. Bujold, qui est actionnaire à 50% de l'entreprise. L'autre moitié est détenue par Louis Bibeau, président de Logistik Unicorp, dans l'édifice de laquelle sont installés les bureaux de Mawashi. «Il y a 99% des chances qu'on finisse par être achetés par une compagnie américaine, estime M. Bujold. C'est triste.» «Il y a ici une mentalité de lenteur, de bureaucratie, alors qu'aux États-Unis, c'est pif, paf, maintenant.» Le volet militaire de son entreprise n'aide pas à approcher des investisseurs québécois ou canadiens, ajoute-t-il, même si son produit « sauve des vies ». Cette tiédeur n'existe pas aux États-Unis. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/quebec/201810/18/01-5200809-une-innovation-quebecoise-a-lassaut-de-larmee-americaine.php

  • Air Force aiming to have armed drones in the air in next six years: commander

    February 6, 2019 | Local, Aerospace

    Air Force aiming to have armed drones in the air in next six years: commander

    By The Canadian Press OTTAWA — The Royal Canadian Air Force is hoping to pull the trigger on the purchase of new drones within six years after spending nearly two decades weighing different options. The Canadian Forces has been working since the early 2000s to find unmanned aerial vehicles that can conduct surveillance over Canada's vast territory and support overseas missions. Yet aside from purchasing a small number of temporary, unarmed drones for the war in Afghanistan, the military has never been able to make much progress on a permanent fleet. Air Force commander Lt.-Gen. Al Meinzinger says he believes that is about to change after the Trudeau government became the first to officially authorize the acquisition of a fleet of armed UAVs through its defence policy. In an interview, Meinzinger says the air force is nearly finished drawing up options — where it has been stuck for years — and will soon move into the next phase by presenting its proposals to procurement officials. While the military has welcomed Canada's decision to buy armed drones and promised to abide by international laws, some arms-control advocates have expressed concern about the legal grey zone such weapons inhabit. The Canadian Press https://www.nationalnewswatch.com/2019/02/06/air-force-aiming-to-have-armed-drones-in-the-air-in-next-six-years-commander-3/#.XFsws1xKiUl

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