April 4, 2024 | International, Land
New Phishing Campaign Targets Oil & Gas with Evolved Data-Stealing Malware
Oil & gas companies beware! Hackers are using the updated Rhadamanthys info-stealer in phishing attacks.
October 13, 2021 | International, Aerospace
The Army has struggled to produce new aircraft in recent decades, and critics argue the service is being too ambitious in pursuing two aircraft at once.
April 4, 2024 | International, Land
Oil & gas companies beware! Hackers are using the updated Rhadamanthys info-stealer in phishing attacks.
October 5, 2020 | International, Aerospace
JÉRÉMY JOLY Le ministère des Armées pourrait passer une commande "à court terme" et de façon "simultanée" à celle de la Grèce. L'heure tourne pour l'armée de l'air française. Selon les informations de La Tribune, l'Hôtel de Brienne pourrait passer très rapidement une commande pour des avions Rafale à l'avionneur Dassault. Une commande en urgence liée aux besoins opérationnels directs des militaires français. En effet, les calculs actuels font apparaître un déficit de 18 avions d'ici à l'horizon 2022. Une situation qui pourrait mener à une accélération de la cadence de production chez Dassault Aviation. Mi-août, on a appris que la Grèce faisait l'acquisition de 18 avions de combat français Rafale. Six d'entre eux seront neufs, les autres seront des modèles d'occasion. Or, ceux-ci seront pris directement dans la flotte de l'armée de l'air et sur les chaînes de production. Autant d'avions qui manqueront donc aux forces opérationnelles. La Grèce souhaite en effet les premiers appareils dès la mi-2021 et les derniers débuts 2022. Or, il faut 36 mois pour fabriquer un Rafale. Vers une hausse des cadences de production ? Selon La Tribune, les aviateurs français feraient donc face à un déficit de 18 appareils à la fin de l'année 2022. Dans le même temps, 55 Mirage 2000D sont en rénovation. Les derniers Rafale ont été livrés en 2018 à la France. Un sentiment d'urgence qui pourrait donc pousser la France à passer commande de façon simultanée avec la Grèce. "Dassault Aviation devra augmenter ses cadences de production", insiste une source au sein de l'armée de l'air. Une situation à même de s'aggraver si la Croatie décide d'investir dans des Rafale d'occasion. >> A lire aussi - Florence Parly cherche à rassurer sur les prélèvements de Rafale pour la Grèce Le carnet de commandes de Dassault Aviation affiche déjà 96 commandes jusqu'en 2022, entre l'Inde et le Qatar. En France, l'objectif à l'horizon 2030 est de compter sur une flotte de 225 Rafale (185 pour l'armée de l'air et 40 pour la marine). Dans le même temps, comme le souligne l'Usine Nouvelle, Dassault Aviation espère inciter la Finlande ou encore la Suisse à passer aussi des commandes. Un impératif alors que selon les projections actuelles les chaînes de production ne seront pas remplies après 2024. https://www.capital.fr/entreprises-marches/la-france-pourrait-commander-des-rafale-en-urgence-1382074
September 18, 2020 | International, Aerospace, C4ISR
Pierre Cheminade Défendre et promouvoir la position de la région bordelaise dans la compétition mondiale de la mobilité spatiale, c'est l'ambition du SpaceHub lancé conjointement par des acteurs publics et privés dont la Région Nouvelle-Aquitaine, Bordeaux Métropole, ArianeGroup et Dassault Aviation. Malgré la vente d'avions Rafale à la Grèce, qui bénéficiera directement à l'usine Dassault de Mérignac, la filière régionale de l'aéronautique-spatial-défense (ASD) a bien besoin de signaux positifs dans un contexte compliqué, tout particulièrement pour les avionneurs civils et leurs sous-traitants. Alors que Technowest vient de lancer un appel à projets pour repérer et accompagner trois nouvelles startups de l'ASD, le conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, Bordeaux Métropole, Saint-Médard-en-Jalles, ArianeGroup et Dassault Aviation se mobilisent pour fédérer les énergies en matière spatiale. Une nouvelle initiative après que la présidence bordelaise de la Communauté des villes Ariane en 2020 a subi le confinement et la crise sanitaire de plein fouet tout comme le festival Big Bang. La démarche SpaceHub, présentée le 7 septembre en présence d'une myriade de partenaires publics et privés (*), vise à ainsi à démontrer que le territoire tient son rang en matière de mobilités spatiales dans un contexte plus concurrentiel que jamais avec les progrès à marche forcée réalisés par les acteurs du New Space. Deux activités seront développées de concert pour mêler étroitement recherche fondamentale et applications concrètes : un centre d'analyse prospective dédié à la mobilité spatiale travaillant avec les universités et grandes écoles françaises et internationales ainsi qu'avec les agences spatiales, civiles et de défense ; un centre d'exploration et d'accélération des concepts spatiaux "pour aboutir rapidement aux meilleures solutions, obtenir des financements associés à ses projets innovants et générer de nouvelles opportunités d'affaires." Le tout dans une logique d'ouverture et de collaboration. Une démarche qui s'inscrit également dans une logique de relance économique à moyen terme tant les innovations et technologies développées initialement pour le spatial se traduisent, dans un second temps, dans l'économie et les usages plus grand public, de la communication à la santé en passant par l'environnement et la mobilité. (*) Les partenaires industriels du projet (ArianeGroup et Dassault Aviation), le CEA, les représentants de l'écosystème de la recherche (Université de Bordeaux, CNRS, Inria, Chaire défense & aérospatial de Sciences Po Bordeaux, etc.), des acteurs majeurs soutenant le projet (Thales, Cnes, Nouvelle-Aquitaine Academic Space Center, l'association Hyfar-Ara et la Fondation Bordeaux Université). https://objectifaquitaine.latribune.fr/business/aeronautique-et-defense/2020-09-17/avec-spacehub-la-region-bordelaise-veut-tenir-son-rang-dans-la-mobilite-spatiale