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September 29, 2020 | International, Aerospace, C4ISR

Global Hawk UAS Capabilities Enhanced with New Sensors

Northrop Grumman has enhanced its Global Hawk high-altitude long-endurance unmanned aerial system (UAS) with the addition of two new sensors. The MS-177 multi-spectral camera system provides additional high-resolution imaging capabilities, while the increment 1 upgraded AN/ASQ-230 system delivers enhanced signals intelligence (SIGINT) collection.

The MS-177 multi-spectral camera system provides multiple channels of intelligence collection in both visible and infrared bands, giving the Global Hawk collection coverage in areas that cannot easily be reached by other means. Fielding of the AN/ASQ-230 increment 1 enhances Global Hawk's ability to deal with expanded electronic threats.

Global Hawk's combination of autonomy, range, endurance and payload, and an average aircraft age of under nine years, make the UAS a valuable asset for domestic and international customers with critical ISR collection requirements. The system is uniquely positioned for additional missions that connect joint forces as one, including persistent high-capacity backbone, pseudo-satellite communications coverage, and joint all-domain command and control.

Leslie Smith, vice president of the Global Hawk division at Northrop Grumman, commented: “Ongoing improvements to Global Hawk underscore Northrop Grumman's commitment to the United States Air Force's ISR mission and reducing costs through agile development and leveraged solutions. New and improved payloads flying on our young, yet proven fleet of aircraft will allow our partners to deploy high value, networked assets to monitor adversaries while not risking the lives of military personnel well into the 2040s.”

https://www.unmannedsystemstechnology.com/2020/09/global-hawk-uas-capabilities-enhanced-with-new-sensors/

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  • CISA Warns of Actively Exploited Apache Flink Security Vulnerability

    May 23, 2024 | International, Security

    CISA Warns of Actively Exploited Apache Flink Security Vulnerability

    CISA has added a critical security flaw in Apache Flink to its Known Exploited Vulnerabilities catalog.

  • Les cinq beautés cachées du traité d’Aix-La-Chapelle

    January 22, 2019 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Les cinq beautés cachées du traité d’Aix-La-Chapelle

    (B2) Passées quelques généralités, il faut lire attentivement le traité d'Aix-la-Chapelle. Celui-ci recèle quelques beautés cachées qui méritent une attention, notamment en matière de défense et de diplomatie La salle du couronnement de l'Hôtel de ville d'Aix-la-Chapelle, qui accueille ce mardi (22 janvier) la Chancelière Angela Merkel et le président Emmanuel Macron sous le blason de Charlemagne, qui unit le lys français à l'aigle allemand, aurait sans doute mérité un peu plus d'enthousiasme et d'explications. Tel un vieux diesel poussif, qui recrache plus de scories que d'énergie, le traité d'Aix-la-Chapelle, qui vient s'ajouter au bon vieux traité de l'Elysée de 1963, manque d'un grand projet qui pourrait faire vibrer un peu nos nations endormies. Il reste souvent limité dans son ambition, marquée par toute une série de réserves, hésitant entre l'emphase et le réalisme précautionneux, et finalement moins concret que son aîné. Mais il ne faut pas s'arrêter à un premier survol, naturellement critique. Ce texte recèle aussi plusieurs vertus qu'il importe de bien détailler. De nombreux engagements, anodins en apparence, donneront bien du fil à retordre à leurs auteurs pour être mis en œuvre jusqu'au bout. Ne pas les mettre en valeur serait une erreur. Une vertu stratégique : le couple franco-allemand dans l'Europe La première vertu stratégique de ce texte est de resituer le franco-allemand dans le contexte actuel. Il permet d'affirmer, haut et fort, combien la nécessaire coopération entre Paris et Berlin est nécessaire et utile non seulement pour les Français et les Allemands, mais aussi pour les Européens. Avec le départ du Royaume-Uni, la France et l'Allemagne restent plus que jamais les deux principales puissances de l'Union européenne, rassemblant près d'un Européen sur trois. C'est dans ce cadre que Français et Allemands situent désormais leur action et non plus seulement dans leur dialogue intuitu personae. C'est l'élément fondamental qui distingue à 55 ans de distance l'écrit de l'Elysée de celui d'Aix-la-Chapelle. « L'amitié étroite entre la France et l'Allemagne demeure un élément indispensable d'une Union européenne unie, efficace, souveraine et forte » est-il indiqué. Le mot Europe est inscrit à tous les tournants, tellement conjugué régulièrement à toutes les politiques, qu'on l'oublierait presque. Ainsi Paris et Berlin s'engagent à « renforcer leur coopération » en matière de politique étrangère, de défense ou de sécurité intérieure « tout en renforçant la capacité de l'Europe à agir de manière indépendante ». En matière de défense, ils s'engagent à la fois « à renforcer la capacité d'action de l'Europe » comme à « investir conjointement pour combler ses lacunes capacitaires » dans des projets industriels, etc. Une approche commune entre les deux armées La seconde vertu de ce texte est de mettre le curseur sur quelques difficultés qui empêchent d'avancer. Il entend ainsi jeter les bases d'une approche commune plus serrée entre les armées française et allemande. La volonté « d'instaurer d'une culture commune » est affirmée, tout comme celle « d'opérer des déploiements conjoints ». C'était déjà l'esprit du traité de l'Elysée, au moins pour la partie doctrinale. Mais on ne peut pas dire que les réalisations suivantes, notamment la création de la brigade franco-allemande, aient produit l'effet escompté. Les « doctrines » d'intervention restent différentes. Même si Français et Allemands se retrouvent souvent sur les mêmes terrains (Afghanistan, Mali...), ce sont souvent des déploiements juxtaposés (au mieux!) que des déploiements conjoints. Y arriver va nécessiter beaucoup d'efforts de part et d'autre : pour les Français il faudra être un peu plus patients et inclusifs et pour les Allemands être un peu plus volontaires et ... efficaces. C'est une vraie gageure. « Ce n'est pas facile » comme le dit Définir une politique d'armements commune Troisième ‘beauté cachée' : la mise en place d'une « approche commune en matière d'exportation d'armements ». Ce n'est pas gagné non plus. Les règles allemandes sont plus strictes que les règles françaises. Et le contexte politique national outre-Rhin est plus sensible à certaines exportations qu'en France. Mais c'est une nécessité à la fois politique et économique. Certes cette approche n'est valable que pour les « projets communs », et chaque pays restera maitre chez lui pour des projets purement nationaux. Mais, du moins pour les investissements lourds, l'investissement en commun va devenir la règle. Entre l'avion de transport militaire, A400M, les hélicoptères d'attaque Tigre ou de transport NH90, le futur char lourd, l'avion du futur (l'après Rafale) et le drone de surveillance européen (Eurodrone MALE), ils ne manquent pas. Ne pas définir une règle commune d'exportation serait mettre en péril certains projets industriels communs. Une clause de solidarité alternative Quatrième engagement : la volonté commune de défendre les frontières de l'autre s'il venait à être agressé. Les pays entendent se garantir mutuellement « aide et assistance éventuelle en cas d'attaque armée de leurs territoires ». Ce « par tous les moyens dont ils disposent, y compris la force armée ». Rien de nouveau en apparence. C'est la répétition du cadre des clauses dites de défense mutuelle ou d'assistance mutuelle prise dans le cadre de l'OTAN ou de l'Union européenne, avec toutes les limites qui s'imposent. L'assistance mutuelle ne se déclenche ainsi qu'en cas d'évènement très grave : une attaque armée, venant de l'extérieur, sur le territoire ‘européen' d'un des deux pays. Cette clause est donc surtout « symbolique et politique » ainsi que me l'a confié un haut gradé. Y voir quelque chose de totalement inutile est cependant une erreur. C'est plutôt une ‘double' assurance, qui n'aurait à s'actionner que si, pour une raison ou une autre, l'OTAN serait paralysée. En matière militaire, le superflu est parfois nécessaire... Militer pour une réforme du Conseil de sécurité de l'ONU Dernière vertu du texte, défendre la revendication allemande d'avoir un siège permanent au Conseil de sécurité des Nations unies. Ce n'est pas illogique au regard du poids économique et politique de l'Allemagne. Cette avancée est cependant liée à une réforme plus globale du Conseil de sécurité des Nations unies que les deux pays s'engagent à pousser. C'est en fait un cadeau fait à la coalition au pouvoir à Berlin qui a fait de cette présence un des points clés de sa politique étrangère. Paris n'entend pas céder donc son siège permanent au Conseil de sécurité et son droit de veto. C'est un des ressorts de la puissance diplomatique hexagonale. On est là face à des contradictions de la relation franco-allemande qu'il faudra bien résoudre demain. (Nicolas Gros-Verheyde) article paru chez Euractiv https://www.bruxelles2.eu/2019/01/22/les-cinq-beautes-cachees-du-traite-daix-la-chapelle/

  • US Navy, Marine Corps order dozens of Osprey aircraft in $4.2B deal

    July 4, 2018 | International, Aerospace, Naval, Land

    US Navy, Marine Corps order dozens of Osprey aircraft in $4.2B deal

    By: Andrew C. Jarocki WASHINGTON ― The U.S. Navy and Marine Corps continue to invest in vertical takeoff aircraft, announcing a $4.2 billion contract with the Bell-Boeing Joint Program Office for dozens of new V-22 Osprey tilt-rotor aircraft. The agreement provides for the manufacture and delivery of 39 CMV-22B aircraft for the Navy and 14 MV-22B aircraft for the Marines. The delivery is expected to be completed by November 2024. The Navy will use the new tilt rotors for transporting personnel and cargo from shore to aircraft carriers. The Osprey is also used in infiltration/exfiltration operations. The V-22 and its variations have seen use by the U.S. Air Force for resupply operations, and by the Marines in Syria. The Army is also interested in developing vertical lift capabilities for deploying strike teams. The contract included a sale of four MV-22B aircraft for the government of Japan, where five American Ospreys arrived this spring to begin a deployment based in Tokyo. The purchase “enables the U.S. Navy to begin advancing its carrier onboard delivery fleet with modern tiltrotor aircraft” Kristin Houston, vice president for Boeing tilt-rotor programs and director of the Bell-Boeing V-22 program, said in a news release. The Air Force will also receive one new CV-22B from the contract. https://www.defensenews.com/industry/2018/07/03/us-navy-marine-corps-order-dozens-of-osprey-aircraft-in-42b-deal/

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