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July 17, 2018 | International, Aerospace, C4ISR

From the Spider to the Griffo, Leonardo launches radar and comms systems

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WASHINGTON--Leonardo announced a host of new defense systems, including a communications intelligence system and a radar array. The Italian contractor unveiled the new offerings at the 2018 Farnborough Air Show in the U.K.

The ‘Spider' communications intelligence system promises to “detect, intercept, identify and geo-locate complex target communcations” in real time, according to the company. The array, designed to fit on drones or manned aircraft, weighs less than 20kg (44 lbs) and fits in a 1.5 x 0.5 x 0.5m pod.

The Griffo E-Scan system, the latest model of electronically-scanning radars, uses a matrix of hundreds of tiny radar modules to ‘steer' an electronic beam, rather than the radar physically moving to point a beam at a target. This allows the beam to move quickly and for “the radar to perform multiple tasks simultaneously" according to a company announcement.

https://www.defensenews.com/digital-show-dailies/farnborough/2018/07/16/from-the-spider-to-the-griffo-leonardo-launches-radar-and-comms-systems/

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  • Russian drones can jam cellphones 60 miles away

    November 19, 2018 | International, Aerospace, C4ISR

    Russian drones can jam cellphones 60 miles away

    By: Kelsey D. Atherton Russia's Defense Ministry announced Nov. 6 that the nation had extended the range on its drone-carried jammers to 100 km, or over 60 miles. Drones as a platform for, and not just the target of, electronic warfare means that the sight of a flying robot overhead could signal incoming strikes as well as a sudden inability to call for help. “Russia has been using a UAV-mounted cellphone jammer for a number of years now,” said Samuel Bendett, a research analyst at the Center for Naval Analyses. The drones operate in a two- or three-vehicle pod with a ground station, collectively grouped as a “Leer-3” system. “When these UAVs fly in teams, one acts as a signal-and-comms relay while another acts as a jammer,” Bendett said. “These Leer-3 systems have been around for about two years at this point.” What is changed is the range of the jammer. The Orlan-10 drones already have a range of 75 miles, which means that, with the latest update on the jammer, the drone pod can interfere with signals up to 135 miles away from where the drone was launched. TASS reports that the 60-mile range is a 3.5 times increase in distance from the initial range. In addition, Bendett said there's a chance this capability, or an earlier version of it, has already been witnessed in conflict. “Ukrainian forces claim to spot Leer-3 systems in eastern Ukraine, while there is potential evidence that Leer-3 was used in Syria as well,” Bendett said. “Russian forces are constantly training with Leer-3 UAVs as they practice adversary signal and cell comms suppression, identification and eventual destruction of the enemy force. In fact, this kind of training is part of the official [tactics, techniques and procedures] in electronic warfare and other forces across the Russian military.” Advancements in electronic warfare are one of the key components guiding the development of autonomous systems for the military. For now, drones are conducting electronic warfare against cellular communications, but it's not hard to imagine the same doctrines applied with new technology. In that scenario, it easy to picture other vehicles transforming into jamming machines on future battlefields ... and maybe even present ones. https://www.c4isrnet.com/newsletters/unmanned-systems/2018/11/16/russian-drones-can-jam-cell-phones-60-miles-away

  • Difficultés de financement de la BITD : résultats du rapport de l’Assemblée nationale

    February 18, 2021 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Difficultés de financement de la BITD : résultats du rapport de l’Assemblée nationale

    DÉFENSE Difficultés de financement de la BITD : résultats du rapport de l'Assemblée nationale À l'issue de quatre mois de travaux, les députés Françoise Ballet-Blu (LaREM, Vienne) et Jean-Louis Thiériot (LR, Seine-et-Marne), rapporteurs de la mission sur le financement de la base industrielle et technologique de défense (BITD), ont confirmé lors de la présentation du rapport qu'il existe bien une réticence des banques à financer les industries de la défense. Jean-Louis Thiériot accorde un entretien à La Tribune. « Le GICAT a raison à 80%. Il existe une vraie frilosité concernant le financement de l'exportation vers certains pays. Le GICAT a parfaitement raison de tirer la sonnette d'alarme », souligne-t-il.« Les auditions que nous avons menées ont confirmé deux tendances profondes qui rythment désormais la vie des entreprises de défense : les règles de « compliance », notamment la loi Sapin 2, renforcent considérablement les exigences imposées aux entreprises, et le risque réputationnel est devenu absolument majeur pour les banques », explique M. Thiériot, qui conclut : « pour sauver notre industrie d'armement, qui est indispensable à notre modèle de défense, basé à la fois sur une production nationale et à l'exportation, il faudra, d'une manière ou d'une autre, trouver une structure publique de financement de l'industrie de défense et de ses exportations ». Les députés proposent, par exemple, de créer un label industrie de souveraineté pour les PME/PMI, afin de leur permettre de mieux négocier leurs demandes de crédits. Ils proposent aussi qu'une mission d'accompagnement des PME à la conformité soit confiée à l'Agence française anticorruption et à Bpifrance. Ils plaident, de plus, pour déplafonner les seuils d'intervention de Bpifrance s'agissant des crédits export, en passant de 25 à 50 millions d'euros pour les financements en solitaire et de 75 à 100 millions pour les opérations en cofinancement. Enfin, ils demandent que la Banque européenne d'investissement (BEI) devienne un acteur du financement de la défense. Les Echos et La Tribune du 18 février

  • DGA - Une étude pour le NH90 Forces Spéciales

    October 4, 2018 | International, Aerospace

    DGA - Une étude pour le NH90 Forces Spéciales

    Par Emmanuel Huberdeau La DGA a notifié une étude pour un système d'aide à la vision des pilotes d'hélicoptères en environnements dégradés qui sera intégré sur la version du NH90 destinée aux forces spéciales. La Direction Génerale de l'Armement (DGA) a annoncé l'attribution de cette étude le 3 octobre 2018. Elle concerne le concept de « caméra grand champ » développé par Safran sous l'appellation « Eurofl'eye ». Un système qui avait été présenté au dernier salon Eurosatory. Le système doit aider les pilotes à visualiser leur environnement dans des conditions de visibilité très dégradées. « Eurofl'eye » est composé d'une boule optronique et de quatre paires de capteurs. Le système sera intégré sur la variante du NH90 destiné aux forces spéciales. Cette version du NH90, dérivée du NH90 TTH Caïman Terre, comprend aussi l'intégration d'un boule gyrostabilisée de Safran et d'un affichage numérique pour le casque Topowl de Thales. Selon la DGA, des tests au sol puis sur les simulateurs et les hélicoptères banc d'essais de la DGA à Istres sont prévus. Le 4e Régiment d'Hélicoptères des Forces Spéciales (4eRHFS), futur utilisateur des appareils, sera impliqué dans toutes les étapes de qualification du système. La loi de programmation militaire 2019-2025 prévoit la commande de dix NH90 en variante « Forces Spéciales » dont six livrés d'ici 2025. Ces appareils devraient remplacer les H225M Caracal actuellement employés par le 4e RHFS et dont le transfert à l'armée de l'Air est évoqué depuis plusieurs années. http://www.air-cosmos.com/une-etude-pour-le-nh90-forces-speciales-115611

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