French defense firms fête formidable profits in 2019

On the same subject

• 

  November 17, 2020 | International, Land

  Hanwha, Kongsberg team up to bolster Australia’s K9 howitzers

  Brian Kim SEOUL — Hanwha Defense Australia has announced a partnership with Kongsberg Defence Australia to integrate command, control, communication and computing technology into the K9 self-propelled howitzer and the K10 ammunition resupply vehicle. The announcement came two months after the Australian branch of Hanwha Defense, a defense company in South Korea, was selected as the preferred supplier for Australia's self-propelled howitzer acquisition project, code-named Land 8116 Phase 1 Under the project, the Australian Army is to acquire 30 155mm, 52-caliber K9 “Huntsman” howitzers and 15 K10 armored ammunition resupply vehicles, both of which are built by Hanwha. “The selection of KONGSBERG as a central part of our Land 8116 Phase 1 industry team will make a very important contribution to Hanwha's capacity to deliver effective capability for the [Australian Defence Force] while fulfilling our extensive Australian Industry Capability commitments,” Richard Cho, managing director of Hanwha's branch Down Under, said in a statement. The partnership has already proven to be successful, he added, citing their recent involvement in Norway's Vidar program for K9 and K10 procurement, and pointing to their delivery of K9s to Finland and Estonia. Under the partnership, Kongsberg is responsible for the integration of tactical communication systems and battle management systems. “Together with Hanwha Defence Australia, KONGSBERG is committed to the establishment of a sovereign industry capability to support the Australian Protected Mobile Fires capability throughout its service life,” said Joh Fry, general manager of Kongsberg Defence Australia. “We'll continue to source as much C4 hardware as possible through Australian and New Zealand-based suppliers.” Developed by South Korea's Agency for Defense Development and Samsung Techwin in 1998, the K9 Thunder is touted as one of the world's most advanced self-propelled howitzers. It's designed to provide effective and deep fire support across theaters. The howitzer is now manufactured by Hanwha Defense, a defense contractor of Hanwha Group that acquired Samsung Techwin in 2017. The main weapon is the 155mm, 52-caliber gun with a burst rate of fire of three rounds per 15 seconds, and a maximum rate of fire of six rounds a minute for three minutes. It has a firing range of 40 kilometers and is capable of “multiple rounds simultaneous impact” firing. On Nov. 13, South Korea's Defense Acquisition Program Administration announced that the completion of deliveries of K9s to the South Korean military. The announcement came about two decades after the first K9 fleet was deployed on the western border islands of Yeonpyeong and Baengnyeong An upgraded variant, the K9A1, is in production with improvements in fire control and power systems. DAPA and Hanwha Defense plan to continue to improve the K9′s capabilities to add automatic loading and unmanned maneuvering functions. The K9 has been exported to several countries, including Turkey, Poland, India, Norway and Estonia. About 1,700 units are in service around the world, according to Hanwha. https://www.c4isrnet.com/battlefield-tech/c2-comms/2020/11/13/hanwha-kongsberg-team-up-to-bolster-australias-k9-howitzers

• 

  October 1, 2018 | International, Aerospace

  Le missile Air-Air très longue portée russe R37M entrera bientôt en service

  FABRICE WOLF Avec plus de 4000 avions de combat modernes de tout type, l'OTAN dispose de la plus formidable force aérienne au monde, très supérieure aux forces russes (1300 appareils) et chinoises (1500 appareils). Consciente qu'elle ne pourra jamais rivaliser numériquement avec cette force, la Russie a développé une stratégie de défense aérienne multi-couches reposant sur des systèmes de défense anti-aérienne à longue, moyenne et courte portée, intégrée dans un réseau global et coordonnant ses actions avec l'importante flotte de chasseurs russes de plus de 800 appareils Su27-30-35 et MIG-29, et les 130 intercepteurs MIG-31. Ainsi organisée, la défense anti-aérienne russe représente un challenge important pour les forces aériennes occidentales, qui doivent utiliser des avions de brouillage ou des appareils furtifs pour espérer garder la supériorité aérienne. Pour articuler cette puissance aérienne, qui représente aujourd'hui 80% de la puissance de feu de l'Alliance selon le British Defense Comittee, l'OTAN déploie un nombre important d'appareils de veille aérienne AWACS, de surveillance électronique, et une flotte massive d'avions ravitailleurs. Le missile à longue portée hypersonique R37M a été développé pour engager et abattre ces appareils, avec une portée supérieure à 300 km et une vitesse supérieure à Mach6. Destiné à équiper les intercepteurs rapides MIG-31 et les chasseurs lourds furtifs Su-57, le R37M permettra de repousser les appareils de soutien de l'OTAN très loin de la zone d'engagement, limitant de fait très sensiblement leurs performances. Un appareil qui, comme le F-35 américain, n'a qu'un rayon d'action de 1000 km, sera ainsi largement contraint s'il doit se ravitailler à 500 km de ses objectifs. En outre, les forces russes auront la possibilité de mener des « raids tactiques », des incursions rapides destinées à porter le danger au plus profond du dispositif adverse, suivi d'un retour rapide dans la zone de supériorité alliée. Au delà des AWACS et ravitailleurs, le nouveau missile menacera donc l'ensemble des appareils lourds de l'alliance atlantique, incluant les avions de transport en charge du train logistique transatlantique indispensable, ainsi que les appareils de patrouille maritime, surtout ceux évoluant à moyenne altitude comme le P8 Poséidon, très exposés dès qu'ils évolueront à moins de 2000 km d'une base aérienne russe. Les mêmes causes ayant les même conséquences, la Chine a elle-aussi développé un missile à très longue portée, estimée à 400 km, et destiné à abattre les appareils de soutien occidentaux. Le nouveau missile, dont la nomenclature est encore floue, a déjà été aperçu sous les ailes des J-11 et des J-16 de l'Armée Populaire de Libération. Ce type de missile n'a pas d'équivalent en Occident. En effet, les forces aériennes chinoises et russes dépendent beaucoup moins des appareils de soutien que leurs homologues occidentaux. En revanche, les états-majors de l'OTAN ont privilégié des missiles d'une portée inferieure, de l'ordre de 150 km, mais très efficaces contre les agiles chasseurs adverses, comme le missile européen Meteor. L'entrée en service du R37M devra donc engendrer une rapide évolution des doctrines aériennes de l'OTAN, comme dans la conception des appareils lourds, qui devront nécessairement être équipés de systèmes d'autodéfense performants capables de détecter, brouiller et leurrer de tels missiles. https://analysedefense.fr/blogs/articles/le-missile-air-air-tres-longue-portee-russe-r37m-entrera-bientot-en-service

• 

  May 2, 2022 | International, C4ISR, Security

  Dassault, Atos, DGSI… Comment les entreprises et l'Etat recrutent ceux qui travaillent sur des données sensibles de défense

  Certaines entreprises et services de l'Etat comme le ministère des Armées, la DGSI, Dassault et Atos, embauchent des salariés habilités, qui...-defense