April 25, 2024 | International, Security
June 9, 2024 | International, Aerospace
 
					April 25, 2024 | International, Security
 
					November 13, 2019 | International, C4ISR, Security
By: Andrew Eversden The Department of Defense is working with a unnamed company to mitigate cybersecurity vulnerability discovered in a technology used by the Pentagon, the DoD's Deputy Chief CIO Michele Iversen said Nov. 12. Without going into specific detail, Iversen said the department is working to remove the product. “The company was compromised [and] had a big cybersecurity vulnerability,” said Iversen, speaking at Fifth Domain's annual CyberCon conference. “And we have seen bad things coming from those products, so we are looking at how to use our authorities ... [to] block those products or companies for national security systems.” This highlights a broader issue facing the DoD: how to protect its supply chain. To mitigate supply chain risk, Iversen said that she is working on a supply chain illumination tools. She said that these are useful because its made up of publicly available information that doesn't need any level of classification. Specifically, she said she's working on a decision support tool where she can expose a “bare minimum set of publicly available supply chain information.” “So when people are going to look and make their purchases, they have information available to them,” she said. She said, ultimately, she wants the DoD CIO's office to offer that tool as a service. The National Institute of Standards and Technology is also starting to develop cybersecurity tools. NIST's Jon Boyens, acting deputy chief of the computer security division, said that his team at the standards agency is working on a supplier inter-dependency tool “to look at different suppliers and their criticality” to allow for government to be more effective in asking for capabilities during the procurement process. “Industry is saying, ‘You know, we've invested in this but we're not getting any incentives' ... and so they're kind of looking for incentives for investing in technology,” said Boyens. Iversen said that technology research and development also presents its own attack surface with which it needs to grapple. If the research and development was done in a foreign country, that presents a unique set of threats. For example, Iversen pointed to back-up software being placed into a nuclear command-and-control system. “Maybe you just say anything where the R&D ... [is] done in those countries is just off limits,” Iversen said. “It just makes common sense. It's fixing stupid.” https://www.fifthdomain.com/smr/cybercon/2019/11/12/here-are-some-new-tools-coming-to-protect-the-supply-chain/
 
					August 30, 2018 | International, Aerospace, Naval, Land
JOUY-EN-JOSAS, Yvelines, 29 août (Reuters) - L'Union européenne doit renforcer les synergies en matière d'équipements militaires pour optimiser les dépenses de défense des Etats membres, ce qui passe notamment par une consolidation du secteur à l'échelle européenne, estime le ministre allemand des Finances, Olaf Scholz. Au-delà des progrès déjà enregistrés en matière de politique commune de défense et de sécurité, des mesures complémentaires sont nécessaires, déclare le vice-chancelier d'Allemagne, selon le texte d'un discours qu'il devait prononcer mercredi à l'université d'été du Medef, à Jouy-en-Josas (Yvelines). Cela passe par “une approche commune pour le matériel militaire, ce qui signifiera davantage de coopération et un processus de consolidation de l'industrie militaire européenne, y compris via des fusions”, dit-il. “Nous devons encourager les fusions pas seulement lorsqu'elles se font au bénéfice de nos propres champions nationaux”, poursuit-il. A ses yeux, cela permettra de mettre sur pied une politique de défense commune plus intégrée, à même de permettre à l'Union européenne de garantir sa sécurité mais aussi de devenir un “acteur sérieux” de l'architecture militaire mondiale. La France et l'Allemagne ont donné l'été dernier, peu après l'accession d'Emmanuel Macron à l'Elysée, un grand coup d'accélérateur à leur coopération dans le domaine de la défense en convenant de développer ensemble un avion de combat de prochaine génération, mais aussi de concevoir en commun des chars, hélicoptères et autres matériels. Toujours dans le domaine aéronautique, le bilan de l'avion de transport militaire A400M d'Airbus est pour l'instant mitigé, le programme européen ayant connu des années de dérapage des coûts, de problèmes techniques et de retards multiples. A rebours du discours volontariste du dirigeant allemand, la France semble adopter une position plus mesurée dans le projet de rapprochement auquel oeuvrent les groupes français Naval Group et italien Fincantieri. Le ministre français de l'Economie et des Finances Bruno Le Maire a assuré lors d'un déplacement à Rome au début du mois que la France et l'Italie partageait “le même désir de boucler la fusion STX-Fincantieri, qui donnera naissance à l'un des plus gros chantiers navals civils du monde”. Mais une source gouvernementale française, s'exprimant sous condition d'anonymat, avait déclaré que Naval Group (dont Thales détient 35%) ne pouvait pas être privatisé et précisé que certaines de ses activités, comme la construction de sous-marins nucléaires, constituaient des actifs stratégiques ne pouvant pas passer sous pavillon étranger. (Myriam Rivet, Leigh Thomas et Matthieu Protard, édité par Sophie Louet) https://fr.reuters.com/article/frEuroRpt/idFRL8N1VK2SM