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March 11, 2024 | International, Land

Drones, tanks and ships: Takeaways from Turkey’s annual defense report

The government listed 49 ongoing modernization and acquisition projects across the various armed forces. Here are some that stood out.

https://www.defensenews.com/global/europe/2024/03/11/drones-tanks-and-ships-takeaways-from-turkeys-annual-defense-report/

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  • Orb Takes Flight

    August 31, 2020 | International, Aerospace

    Orb Takes Flight

    By Kimberly Underwood The Air Force's Agility Prime program conducts first demonstration of electric vertical takeoff and landing, or eVTOL, aircraft. Last Thursday afternoon, leaders deemed the first demonstration of a flying orb by AFWERX's Agility Prime effort a success. The event was the first in a series of steps toward the U.S. Air Force fielding electric vertical takeoff and landing, or eVTOLs, by 2023. Held at Camp Mabry, near Austin Texas, with the Texas National Guard as hosts, the exhibition of LIFT Aircraft's Hexa eVTOL vehicle included the service's top brass. Secretary of the Air Force Barbara Barrett, new Air Force Chief of Staff Gen. Charles Q. Brown Jr., and new Chief Master Sgt. of the Air Force JoAnne S. Bass were all on hand to see the new aircraft, flown by LIFT CEO Matthew Chasen. “It was really exciting,” said Col. Nathan Diller, USAF, AFWERX director and Agility Prime lead, “These demonstrations start to show some of the maturity of the vehicle. And the fact that LIFT was able to do all the preparations and do an on-time takeoff and have all the maintenance pieces together [was great].” Col. Diller, who is spearheading Agility Prime's Air Race to Certification, which aims to have a first series of initial eVTOL capability by December, spoke to SIGNAL Magazine on Saturday. In the coming weeks, Agility Prime will conduct more demonstrations like the LIFT Aircraft event, with a “handful of companies,” he said. “And when that testing gets to a level where we feel this learning campaign would bring military utility at cost, we can start to purchase hardware, data or potential services, such as flight test-as-a-service.” Following the demonstrations with the companies, they may proceed into a full test plan, using combined operational testing, the colonel added. For the demonstration, the service also had to achieve the appropriate regulatory approvals. To use the airspace for the basic maneuvering, they needed much lower altitudes than a conventional aircraft would use, and in an urban environment. “The FAA gave us authorization to operate, both manned and unmanned [aircraft] within a few miles of downtown Austin,” Col. Diller shared. “And the CEO of LIFT actually flew the aircraft, so he hopped into the orb. The Hexa has a very interesting architecture, and when you think of the reliability....and to hear the acoustics, that was something to see.” The Air Force leaders were really impressed, the colonel shared. “There is kind of this ‘ahh moment' where, there is actually something flying,” he said. “And then [you see] that it is actually a demonstration more of the maturity when you start to look at it, the maturity of the vehicle and the maturity of the technology. There was a build-up that allowed us to have the confidence to do that and operate at Camp Mabry. And given that is was Texas in August, with an air temperature of about 100 degrees, the colonel said it also was a test of the e-VOTL's operations in such as environment. Col. Diller added that it was quite something to see the eVTOL aircraft as well as the Guard's F-16s at Camp Mabry, and it put into perspective where the flying orb technology could play a role in urban air mobility. “The ability to fly one of those, with the advances in new aircraft controls, there are some interesting opportunities to think about pilot training in the future, and to think about who across our service might be able to fly these in the future,” Col. Diller pondered. https://www.afcea.org/content/orb-takes-flight

  • Le Brexit déjà en marche dans la politique européenne de défense

    January 28, 2019 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security, Other Defence

    Le Brexit déjà en marche dans la politique européenne de défense

    (B2 – exclusif) Peu importe les émois à Westminster et les tourments de Downing Street, ou la conduite sans ceinture du Prince Philippe, dans le domaine des opérations de stabilisation menées par l'Union européenne (au titre de la PSDC), le départ des Britanniques est désormais bien engagé et devrait se terminer bientôt Un mouvement engagé Le transfert du QG de l'opération anti-piraterie Première concernée, la plus emblématique, l'opération anti-piraterie de l'UE (alias EUNAVFOR Atalanta) va déménager de Northwood (près de Londres) à la Rota et à Brest, le commandant britannique cédant sa place au commandant espagnol avec un second français. Le QG de La Rota est en pleine préparation, le QG secondaire de Brest — qui accueille la liaison avec la marine marchande — également. Les officiers ont commencé à rejoindre leur poste. Le « tuilage » est en cours, selon nos informations (lire : La revanche de Trafalgar). Le changement de commandement en Bosnie-Herzégovine Deuxième concernée, l'opération EUFOR Althea en Bosnie-Herzégovine. Plus discrète, après avoir été l'opération phare (de l'OTAN sous le nom IFOR) et de l'Union européenne, elle ne rassemble plus aujourd'hui que 600 hommes maximum. Elle n'en est pas moins importante, car un « poste d'observation » important de ce qui se passe dans les Balkans, notamment en matière de retour des combattants étrangers. Un Français va prendre la tête de l'opération, à partir du QG de l'OTAN à Mons (le SHAPE). Un petit noyau de Français est aussi prévu à Sarajevo au sein de l'état-major de la force (lire : Le retour de la France dans l'opération de l'UE en Bosnie-Herzégovine). L'abandon d'un poste de numéro 2 en Somalie Enfin, au sein de la mission civile EUCAP Somalia chargée d'assurer le conseil et la formation des Somaliens pour la sécurité maritime, le poste de numéro 2 assuré par un Britannique est en voie de changer de main, selon nos informations. Les Britanniques ne pouvant assurer de poste de commandement des opérations européennes. Le retrait du planning des battlegroups De même, en matière de force de réaction rapide de l'UE, les Britanniques se sont retirés du tour d'astreinte des battlegroups (lire : La prise d'astreinte française au battlegroup 2019 se prépare). Du personnel détaché au titre d'un pays tiers Des Britanniques resteront dans quelques unes de ces missions et opérations qu'ils estiment ‘stratégiques', en particulier celles déployées en Somalie et dans l'Océan indien. Mais en tant que pays tiers, dès que le Brexit sera consommé. Un officier britannique de la marine marchande devrait ainsi être positionné à Brest, chargé d'assurer le lien (précieux) avec toutes les structures britanniques de la marine marchande. Et dans la mission EUCAP Somalia, Londres entend détacher un de ses officiers pour occuper le poste de chef des opérations. Une transition en douceur Dans toutes ces opérations et missions, le départ des Britanniques est désormais non seulement acté, mais leur remplacement est assuré, sans difficulté. Il est difficile désormais, voire quasi impossible, de faire machine arrière. Les Britanniques ont perdu leur tour. Difficile de faire machine arrière Si le Brexit devait être repoussé, il ne changera pas les changements opérés dans les commandements : la relève est déjà en place. Les Britanniques qui occupaient ces positions ont déjà (ou vont) retrouver d'autres fonctions dans l'armée britannique, l'OTAN ou d'autres opérations multinationales. Et dans les générations de force actuelles, ce serait un pari insensé pour les planificateurs britanniques de miser sur une possible annulation ou prolongation longue du Brexit pour faire de nouvelles offres de participation importante. Quelques leçons du départ A cette transition en douceur, si en douceur qu'elle passe inaperçue, on peut tirer d'ores-et-déjà quelques leçons. Premièrement, contrairement à ce qu'avaient affirmé certains dignitaires britanniques, assis confortablement dans leurs sièges en cuir dans des ministères londoniens, et quelques observateurs, peu au fait du fonctionnement réel de l'Union européenne, l'apport britannique dans les missions et opérations de l'Europe de la défense reste modeste. Il peut être facilement compensé, avec juste un peu de bonne volonté de quelques pays membres. Deuxièmement, le départ britannique consacre en fait le retour français dans des opérations et missions qu'ils avaient, ces dernières années, un peu délaissées. Au final, il reste tout de même un pincement au cœur. Les officiers de sa Royale Majesté, croisés durant ces années, m'ont toujours fait bonne impression, avec ce mélange de courtoisie, de rudesse, d'ironie et d'enthousiasme qui fait le charme et l'efficacité de l'armée outre-Manche. Dommage... (Nicolas Gros-Verheyde) https://www.bruxelles2.eu/2019/01/28/le-brexit-deja-en-marche-pour-la-defense/

  • Leidos wins $7.9 billion US Army information technology contract

    September 20, 2023 | International, Land

    Leidos wins $7.9 billion US Army information technology contract

    The Department of Defense received three bids for the Common Hardware Systems 6th Generation contract, records show.

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