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August 14, 2024 | International, C4ISR, Security

DDoS Attacks Surge 46% in First Half of 2024, Gcore Report Reveals

DDoS attacks surge 46% in 2024, with gaming and technology sectors hardest hit. Learn about evolving attack patterns and their impact

https://thehackernews.com/2024/08/ddos-attacks-surge-46-in-first-half-of.html

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    August 31, 2023 | International, C4ISR

    NATO to test 5G capabilities in Latvia with virtual reality, drones

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  • DSEI :Raytheon anticipates international boom in counterdrone sales

    September 12, 2019 | International, Aerospace

    DSEI :Raytheon anticipates international boom in counterdrone sales

    By: Jen Judson LONDON — Raytheon is expecting a boom in international sales of its counter-UAS system already battle-tested with the U.S. Army. The Howler system — which includes a Ku-band Radio Frequency Sensor, a command-and-control system, and a Coyote unmanned aircraft system designed to take out enemy drones — could soon see an abundance of buyers. The system could also include a high-energy laser defeat solution and a high-powered microwave capability to provide a non-kinetic approach to knocking drone threats out of commission, according to company officials. “We have experienced quite a bit of interest from our international friends, partners and allies,” James McGovern, Raytheon vice president of mission systems and sensors in its Integrated Defense Systems business, told Defense News during an interview at DSEI, a defense exposition in London. “It's exploded: Counter-unmanned aircraft systems is the in-vogue discussion on weapon space and solution set at every trade show we've been to. It's a nonstop revolving door of interested customers in our solutions,” he added. Over the past five years, drone threats — cheap, commercial off-the-shelf ones — have proliferated in use, posing a threat on the battlefield as well as to airports, sports stadiums, government buildings and urban areas. Raytheon is preparing to reach initial operational capability with the U.S. Army of its Block II version of the Coyote, which is a variant that makes the Block more missile-like in appearance. The IOC goal is for the first quarter of 2020, according to Pete Mangelsdorf, director of the Coyote and rapid development programs within the land warfare systems portfolio at Raytheon. In the meantime, the company is soon expecting congressional notification for a sale to its first foreign country, Mangelsdorf said. Raytheon expects to see roughly 15 more countries issue letters of request for the Howler system to include Block II Coyote rapidly following the first congressional notification, he added. The company has license to separately sell sensors abroad, but generally customers are not just interested in what the sense-and-detect capability sensors would bring but rather want full-up systems that include all of Howler's elements. Raytheon's Howler system is flexible and can integrate into other systems and platforms, according to McGovern. Currently, Howler is used on a U.S. Army truck, but it could be integrated onto a pallet at a fixed site or mounted on a different truck depending on customer needs, McGovern said. The U.S. Army system was developed in response to a joint urgent operational need statement to find something that could counter drones as well as rockets, artillery and mortars, according to Mangelsdorf. The Block I version of the Coyote, which looks more like a plane or loitering munition than a missile, was the interim capability in response to the joint urgent operational need statement. The system is scalable in size. McGovern said Raytheon has used its gallium nitride technology to scale down the radar array while maintaining range and detection sensitivity, and while fitting it onto a smaller vehicle in the event a customer has a need for increased mobility, like in the case of special operations forces. The radar has the ability to see singular drones and identify drone swarms with high fidelity. Other radars might just pick up a drone swarm as one big blob, McGovern noted. https://www.defensenews.com/digital-show-dailies/dsei/2019/09/11/raytheon-anticipates-international-boom-in-counter-drone-sales

  • Réglementation ITAR : la France veut réduire sa dépendance aux Etats-Unis

    September 7, 2018 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR

    Réglementation ITAR : la France veut réduire sa dépendance aux Etats-Unis

    Par Michel Cabirol La France a lancé un plan pour réduire les dépendances de l'industrie d'armement aux composants américains qui entrent dans la fabrication de certains programmes français. La France veut réduire sa dépendance aux composants américains dans la Défense afin de ne pas gêner l'exportation de ses programmes, a déclaré jeudi la ministre des Armées Florence Parly. La France doit actuellement demander aux Etats-Unis la levée d'interdictions sur certains composants. "Nous avons besoin progressivement de nous désensibiliser par rapport à un certain nombre de composants américains, ce qui ne veut pas dire nécessairement pouvoir se désensibiliser complètement", a-t-elle expliqué lors d'une rencontre avec l'Association des journalistes professionnels de l'aéronautique et de l'espace (AJPAE). La France a d'ailleurs lancé un plan pour réduire les dépendances par rapport à ces composants américains. "Je ne donnerai pas d'exemple précis mais nous avons été confrontés, dans des échanges liés à des prospects exportations, à des difficultés. Et nous savons bien que ces difficultés sont liées en apparence à des questionnements stratégiques et en réalité souvent à des problèmes de concurrence commerciale. Il ne faut pas en être dupes", a-t-elle expliqué. Si un système d'armes contient au moins un composant américain sous le régime de la réglementation américaine ITAR, les Etats-Unis ont le pouvoir d'en interdire la vente à l'export à un pays tiers. Ainsi, ils ont récemment bloqué la vente de missile de croisière Scalp, qui devait armer le Rafale, à l'Egypte et au Qatar. En 2013, Washington avait déjà refusé une demande de réexportation de la France aux Emirats Arabes Unis de composants "made in USA" nécessaires à la fabrication de deux satellites espions français (Airbus et Thales). La visite de François Hollande aux États-Unis en février 2014 avait permis de régler positivement ce dossier. Lors de son audition en juillet dernier à l'Assemblée nationale, Florence Parly avait reconnu que "nous sommes à la merci des Américains quand nos matériels sont concernés". "Avons-nous les moyens d'être totalement indépendants des composants américains ? Je ne le crois pas. Cherchons-nous à améliorer la situation ? La réponse est oui", avait-elle déjà assuré en juillet. La France travaille notamment à désensibiliser les futurs programmes d'armement. Ainsi Florence Parly a affirmé que cette moindre dépendance serait cruciale pour la viabilité du futur programme d'avion de combat (SCAF). Cela passe pour Paris et Berlin d'avoir la capacité d'exporter ce futur système d'armes. Elle a estimé que les industriels devaient prendre en compte ce dossier en lançant des investissements en matière de recherche et de technologie pour être en mesure de fabriquer un composant analogue qui échapperait au dispositif ITAR. "Certains industriels l'ont compris", a-t-elle précisé. C'est le cas du missilier MBDA dans le cadre du développement du futur missile air-air MICA-NG. Ce programme, qui sera opérationnel en 2025, est développé en prenant en compte la contrainte ITAR. Ils seront ITAR Free, assure-t-on à La Tribune. Florence Parly a également rappelé la dépendance de la France pour les drone MALE Reaper. "Pour armer les Reaper, il faut une autorisation du Congrès américain. Est-ce satisfaisant ? Non. Mais aujourd'hui on n'a pas le choix", a-t-elle expliqué, faisant référence aux drones achetés aux Etats-Unis depuis 2013. Pour autant, l'armement des Reaper ne signifie pas que la France armera le futur drone MALE de reconnaissance et de surveillance en préparation pour 2025. "Dans les spécifications, il sera possible de l'armer, ce qui ne signifie pas qu'aujourd'hui la décision est prise sur la question de savoir s'il sera en définitive armé", a-t-elle souligné. https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/reglementation-itar-la-france-veut-reduire-sa-dependance-aux-composants-americains-789612.html

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