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September 24, 2024 | International, C4ISR, Security

DARPA, DSTL and DRDC form US-UK-Canada AI collaboration - Army Technology

The US, UK, and Canada have formed a collaboration of DARPA, DSTL and DRDC to reduce duplication of efforts in AI research.

https://www.army-technology.com/news/darpa-dstl-and-drdc-form-us-uk-canada-ai-collaboration/

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  • The key to securing the defense industrial base is collaboration

    July 16, 2020 | International, C4ISR, Security

    The key to securing the defense industrial base is collaboration

    Teresa Shea With cyber threats constantly evolving and increasing in sophistication, a strong national cybersecurity posture has never been more important. COVID-19 is causing an uncertainty across industry sectors, and criminals as well as adversaries are increasing their cyber-attacks and taking advantage of our increased digital work from home dependence. It is especially important to protect the organizations that comprise the U.S. Defense Industrial Base. Defined as the “worldwide industrial complex that enables research and development, as well as design, production, delivery, and maintenance of military weapons systems, subsystems, and components or parts, to meet U.S. military requirements,” Defense industrial base networks host mission-critical information and operational assets vital to national security. If infiltrated, the ramifications could plague the U.S. national security strategy, hamper our warfighting edge, create chaos within the critical infrastructure and ultimately undermine adversary deterrence. To effectively protect the Defense Industrial Base, the government and private sector must both work to secure the U.S. critical infrastructure. Organizations should prioritize collaboration to bolster the nation's cyber resiliency and collectively defend against malicious cyber actors' intent on doing us harm. Proactively defend networks It's widely known that, in an ideal world, organizations should stop threats before they reach their targets. However, to deter effectively, organizations need to have real-time situational awareness of their network infrastructure and supply chain, which can be a difficult undertaking. Threat intelligence information sharing between the government and the private sector companies that comprise the Defense Industrial Base is essential to achieving a strategic view of an advanced threat actor. Today, targets can only know what is happening to their own assets without insight into the attacker's intent. The Defense Industrial Base Cybersecurity Program allows both the DoD and private companies to share cyber threat information, mitigation and remediation strategies, which helps key players in both sectors increase cyber situational awareness and be more proactive in their security efforts. However, this program is currently voluntary, meaning that the crucial information uncovered within the program is only available to those who proactively join the program. Moving forward, both the public and private sectors must work to enact policies that require collaboration. It is no longer acceptable to rely on incident response protocols, performance assessments of existing systems and one-off reactions to threats without coordination. Increased information sharing is key to staying one step ahead of our adversaries. Follow government-suggested guidelines The U.S. government has dedicated time and resources to help secure the Defense Industrial Base, and organizations must act upon the recommendations provided. Earlier this year, the Cyberspace Solarium Commission released a report on the U.S. government's cyber readiness, which found that “the U.S. is currently not designed to act with the speed and agility necessary to defend the country in cyberspace.” The commission's findings place an emphasis on protecting the Defense Industrial Base's intellectual property, and called on Congress to require that these firms share threat data with the DoD and conduct threat hunting on their networks. Both sharing threat data and conducting threat hunting are proven to result in increased defense of our networks. A secure future As noted in a recent LawFare blog, “Cyber-enabled intellectual property theft from the DIB and adversary penetration of DIB networks and systems pose an existential threat to U.S. national security.” Given the abundance of cyber-attacks focused on Defense Industrial Base networks, penetrating them is high on our adversaries' target list. They're currently zeroing in on the U.S. critical infrastructure, attempting to poach the intellectual property that secures our very nation. Until we are willing to come together across sectors to share threat data, and commit to hiring strong talent, we will remain at a disadvantage. Fundamentally, it is about trust and our ability to put the greater defense above individual interests. If accomplished, the U.S. cybersecurity posture and resiliency will remain strong, deterring malicious cyberattacks against our Defense Industrial Base. https://www.c4isrnet.com/opinion/2020/07/15/the-key-to-securing-the-defense-industrial-base-is-collaboration/

  • Budgets Défense : les doutes du député Cornut-Gentille

    October 15, 2020 | International, Aerospace, Land

    Budgets Défense : les doutes du député Cornut-Gentille

    Jean-Marc Tanguy Le député de la Haute-Marne, rapporteur spécial pour la défense à la Commission des finances de l'Assemblée Nationale a, une fois de plus, transmis ses doutes sur le projet de loi de finances (PLF) 2021. Surcoûts Opex Le député (LR) de la Haute-Marne, rapporteur spécial pour la défense à la Commission des finances de l'Assemblée Nationale, a une fois de plus transmis ses doutes, ce 13 octobre, sur la fin de gestion 2020, et le projet de loi de finances (PLF) 2021, qui sera étudié en première lecture dans l'hémicycle à la fin du mois. François Cornut-Gentille estime que la « fin de gestion 2020 sera compliquée comme tous les ans, mais un peu plus en 2020 » du fait de l'augmentation des surcoûts Opex liés aux 600 personnels déployés en plus à Barkhane (mais aussi aux pertes en matériels), aux opérations Résilience et Amitié. Ainsi, le niveau pourrait atteindre 1,6 Md€, estime l'élu. Dassault Rafale pour la Grèce Auparavant, le ministère des Armées trouvait des ressources pour financer ces surcoûts : les montants non dépensés du titre 2 par exemple, mais le député estime que la totalité des fonds du T2 seront dépensés cette année. Le report de charge, qui aurait dû se réduire dans le cours de la LPM, progresse, constate François Cornut-Gentille, et pourrait atteindre 15 à 16 %. Le député se félicite aussi des annonces grecques sur le Dassault Rafale, « une bonne nouvelle pour les exportations et pour Dassault Aviation » mais il s'inquiète comme beaucoup des conséquences du prélèvement des 12 Dassault Rafale dans l'Armée de l'Air. Et du fait qu'il va falloir inscrire environ un milliard d'euros non prévus en LPM au chapitre des dépenses. Certes, la Grèce va payer pour les appareils d'occasion (sur lesquels en sus il faudra enlever des équipements/ndlr), mais moins que pour des avions neufs. Definvest pas à la hauteur ? Et la ministre des Armées, Florence Parly, elle-même reconnaissait en commission il y a peu qu'elle n'était pas sûre de récupérer le produit de cette vente même si elle entend obtenir gain de cause avec Bercy. Le niveau du reste à payer, les engagements non couverts par des paiements, atteint les 72,7 MdEUR à la fin 2019, un plus haut historique depuis 2006 au moins. François Cornut Gentille veut aussi dynamiser la logique de Definvest, qui n'a réalisé « que huit opérations » et « n'est pas à la hauteur des enjeux ». Photonis n'a pas été suffisamment protégé, constate-t-il. Enfin, il a déploré l'absence de réponses du ministère des Armées à ses 150 questions budgétaires posées en juillet en vue du PLF2021, ou des réponses trop tardives : 50 sont arrivées au courrier ce samedi. D'autres réponses, enfin, sont accompagnées d'une demande de discrétion, alors qu'elles figurent par ailleurs... en source ouverte, dans d'autres documents budgétaires. https://www.air-cosmos.com/article/budgets-dfense-les-doutes-du-dput-cornut-gentille-23737

  • Le ministère des Armées lance le développement de la version « forces spéciales » de l’hélicoptère NH 90

    October 14, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land

    Le ministère des Armées lance le développement de la version « forces spéciales » de l’hélicoptère NH 90

    - La Direction générale de l'armement (DGA) a commandé la transformation de dix hélicoptères NH90 en version « forces spéciales » (NH 90 FS) le 29 septembre 2020 à NHI Industries, avec pour équipementiers majeurs Thales et Safran. - La version « forces spéciales » du NH90 vise à doter les forces spéciales françaises de nouvelles capacités d'intervention adaptées à leurs missions sur tous les types de thé'tres. Cette évolution technologique est une illustration concrète de la modernisation des équipements prévue par la Loi de programmation militaire (LPM) 2019-2025. - La LPM 2019-2025 prévoit la livraison de dix NH 90 FS, dont cinq dès 2025. Les cinq suivants devraient être livrés en 2026 Développé dans le cadre d'un programme en coopération européenne rassemblant l'Allemagne, la Belgique, la France, l'Italie et les Pays-Bas, l'hélicoptère NH90 se décline en deux versions : le TTH (Tactical Transport Helicopter) pour les missions d'appui aux forces terrestres, et le NFH (NATO Frigate Helicopter) pour les missions de secours maritime et de lutte antinavire et anti sous-marine. Il a depuis été choisi par neuf autres pays (Australie, Espagne, Finlande, Grèce, Norvège, Nouvelle-Zélande, Oman, Qatar et Suède). Au total 566 hélicoptères NH90 ont été commandés. Dix-huit mois après le lancement des études préparatoires, menées en partie en coopération avec la Belgique et l'Australie, la NAHEMA (NATO HElicopter Management Agency) vient de notifier, par délégation de la DGA, le contrat de développement de la version « forces spéciales » du NH90. Un avenant au contrat de production des 74 TTH commandés au profit de l'armée de Terre a également été notifié pour couvrir la modification des dix derniers appareils au standard « forces spéciales ». Hélicoptère biturbine de la classe 11 tonnes, le NH90 est le premier hélicoptère militaire à commandes de vol électriques. Cette évolution contribue à placer l'hélicoptère au meilleur niveau mondial. Destinés au 4ème Régiment d'hélicoptères des forces spéciales (4e RHFS), les NH90 FS offriront, à terme, des capacités de pénétration et d'opération en conditions de visibilité très dégradées, en particulier sur des thé'tres d'opération réputés difficiles comme la bande sahélo-saharienne. Les principales améliorations apportées au NH90 FS concernent : l'ajout d'un nouveau système optronique d'observation (l'Euroflir™410 de nouvelle génération de la société Safran Electronics & Défense) pour permettre une détection améliorée des obstacles et des menaces, en vol tactique et par toutes conditions de nuit ; la possibilité d'utiliser l'issue arrière du TTH pour les opérations d'aérocordage avec autoprotection par les portes latérales ; diverses améliorations de la soute du NH90 pour permettre entre autres d'utiliser l'issue arrière en vol ou d'afficher la vidéo du système optronique d'observation au profit des personnels en soute. En outre, des provisions électriques et mécaniques ont été prises pour intégrer ultérieurement : la mise à hauteur du casque TopOwl de Thales, c'est-à-dire le passage de l'affichage analogique au numérique pour offrir de nouvelles capacités comme l'affichage de vidéo haute résolution des senseurs de pilotage et de mission (Eurofl'eye™ & Euroflir™), l'élaboration et l'affichage de la réalité augmentée (terrain synthétique et obstacles) et l'affichage de symboles 3D « tactiques ». Cet équipement sera commun avec le prochain standard 3 de l'hélicoptère d'attaque Tigre ; un « système optronique large champ » Eurofl'Eye™ développé par Safran Electronics & Defense pour améliorer les conditions de pilotage en environnement dégradé (comme les posés de nuit ou en environnement sableux) en offrant des champs de vision indépendants au pilote et au co-pilote. Les évolutions du NH90 FS, qui suscitent de l'intérêt d'autres pays déjà équipés de cet hélicoptère, ne sont pas destinées à l'usage exclusif des forces spéciales. En effet, la plupart de ces nouvelles capacités seront également utiles à l'Aviation légère de l'armée de Terre (ALAT) pour augmenter la couverture opérationnelle du TTH. Le programme NH90 Le programme est réalisé sous l'égide de l'organisation OTAN NAHEMO (NATO HElicopter Management Organization) qui s'appuie sur une agence, la NAHEMA, dont la mission est de coordonner et exécuter les demandes des maîtrises d'ouvrage nationales. Pour la France, le programme est conduit par la DGA. La maîtrise d'œuvre est assurée par le consortium NH Industries, composé du groupe Airbus Helicopters et des industriels Leonardo Helicopters et Fokker Aerostructures. Les NH90 destinés aux forces françaises seront fabriqués sur le site de Marignane (Bouches du Rhône) d'Airbus Helicopters France. Entre 2000 et 2015, la France a commandé un total de 74 NH 90-TTH et 27 NH90-NFH. A ce jour, 24 NFH ont été livrés pour la Marine nationale, et 45 TTH pour l'armée de Terre. le NFH remplace progressivement les Lynx et les Super Frelon (déjà retirés du service actif) de la Marine nationale. Ses principales missions sont la protection de la force navale le contre-terrorisme maritime, le transport à partir de la terre ou de b'timents, le service public, la sauvegarde et le sauvetage ; le TTH remplace progressivement les hélicoptères Puma de l'armée de Terre. Ses missions principales sont le transport tactique de troupes (jusqu'à 20 commandos) et de matériel (jusqu'à 2,5 tonnes). Les missions secondaires sont l'appui feu, le parachutage ou l'évacuation de blessés. En 2025, les NH90-TTH constitueront la principale flotte d'hélicoptères de l'armée de Terre. https://www.defense.gouv.fr/dga/actualite/le-ministere-des-armees-lance-le-developpement-de-la-version-forces-speciales-de-l-helicoptere

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