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October 7, 2021 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

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  • Here’s the DARPA project it says could pull the Navy a decade forward in unmanned technology

    May 8, 2020 | International, Naval

    Here’s the DARPA project it says could pull the Navy a decade forward in unmanned technology

    David B. Larter WASHINGTON – A project inside the Defense Advanced Research Projects Agency has the potential to pull the Navy's unmanned surface vessel aspirations forward a decade, a senior DARPA official said Wednesday at the annual C4ISR Conference. DARPA's effort to develop a ship designed from the keel up to operate without humans, known as “NOMARS” for “no mariners,” is a separate effort from the Navy's quest to develop a family of large and medium unmanned surface vessels. But the benefits of that program, if successful, could be a giant leap forward for the concept the Navy is developing, said Mike Leahy, who heads the Tactical Technology Office at DARPA. The Navy “will only be able to go so far with where the technology has matured,” Leahy said. “What we're able to do is link to that group [developing USVs for the Navy], get information about what missions they are trying to accomplish, the sizing and other constraints, feed that into NOMARS project so that we can take the same class of ship – looking at the same ideas in terms of a hull form – and when we are successful we can dump that right into their tranche and pull that forward a decade from where it might have been on a traditional path.” The Navy and DARPA have been closely linked in efforts to develop unmanned platforms but DARPA's NOMARs will remain an independent effort, Leahy said. The Navy has “been involved in the source selection, they're involved in the testing we're doing, so that we can make sure that information is flowing,” Leahy said. “But we will reserve the right to take risks that may not be in the direction they want to go. Because sometimes learning what does not work is even more valuable than what does. “The physics is going to tell you what you need to know, and you can't cheat it.” Maintaining separate lines of effort is important because DARPA has the freedom to fail whereas failure in an acquisition program has higher stakes, he said. “NOMARS is going and looking at ‘Can I take people completely off ships,'” he explained. “That's a risky endeavor. We don't know if we're going to be able to do that. We don't know if that's going to pan out. You would not want to link an acquisition program directly to that.” Another Option The Navy is currently pursuing both a large and medium unmanned surface vessel that can perform missions for the surface Navy as a means of increasing aggregate naval power without wrapping a $2 billion hull around 96 missile tubes, as Chief of Naval Operations Adm. Michael Gilday has said publicly, referencing the Arleigh Burke-class destroyer. Maintaining separate lines of effort is important because DARPA has the freedom to fail whereas failure in an acquisition program has higher stakes, he said. “NOMARS is going and looking at ‘Can I take people completely off ships,'” he explained. “That's a risky endeavor. We don't know if we're going to be able to do that. We don't know if that's going to pan out. You would not want to link an acquisition program directly to that.” Another Option The Navy is currently pursuing both a large and medium unmanned surface vessel that can perform missions for the surface Navy as a means of increasing aggregate naval power without wrapping a $2 billion hull around 96 missile tubes, as Chief of Naval Operations Adm. Michael Gilday has said publicly, referencing the Arleigh Burke-class destroyer. https://www.c4isrnet.com/2020/05/06/heres-the-darpa-project-it-says-could-pull-the-navy-a-decade-forward-in-unmanned-technology/

  • SCAF : la Suède et le Royaume-Uni cherchent à rompre leur isolement

    August 1, 2019 | International, Aerospace

    SCAF : la Suède et le Royaume-Uni cherchent à rompre leur isolement

    Les ministres suédois et britannique de la Défense ont signé un protocole d'accord concernant le développement conjoint des systèmes de combat aérien du futur. Face à l'axe mis en place entre l'Allemagne, l'Espagne et la France pour développer conjointement un système de combat aérien du futur (SCAF), le Royaume-Uni et la Suède cherchent à rompre leur isolement en s'alliant. La secrétaire d'État à la Défense du Royaume-Uni, Penny Mordaunt, et le ministre suédois de la Défense, Peter Hultqvist, se sont donc rencontrés à Londres pour signer un protocole d'accord portant sur le développement d'un système similaire de combat aérien du futur (SCAF). S'étalant sur dix ans, cet accord doit permettre d'établir les conditions d'une coopération plus étroite concernant le développement d'un SCAF. Cela inclut la possibilité d'intégrer des technologies installées sur les Saab JAS 39 Gripen et BAE Systems Typhoon. Selon les parties concernées, les industriels et les gouvernements des deux pays ont identifié des besoins futurs similaires en matière de combat aérien. Le ministre de la Défense suédois, Peter Hultqvist, a souligné que les relations industrielles partagées par les deux pays étaient essentielles pour garantir cette future puissance aérienne de combat. « La coopération internationale fait partie de la stratégie de croissance de Saab et la collaboration avec les industries britanniques représente cette façon de travailler, également en prévision du futur », commente Håkan Buskhe, président de Saab. Le constructeur suédois rappelle qu'il développe actuellement le chasseur de nouvelle génération, le Gripen E/F, et qu'il « s'engage à le faire en étroite collaboration avec ses partenaires stratégiques, les forces aériennes suédoises et brésiliennes, ainsi qu'avec d'autres clients existants et nouveaux du Gripen, afin que le Gripen évolue pour répondre aux nouvelles exigences opérationnelles des prochaines décennies. » De son côté, le ministre britannique chargé des achats de la Défense, Stuart Andrew, a rappelé que le partenariat entre le Royaume-Uni et la Suède comportait déjà des exercices conjoints dans l'Arctique ainsi que l'exercice Ramstein Alloy au-dessus de l'Europe de l'Est. De même, les Typhoons de la Royal Air force sont équipés de distributeurs de paillettes et de leurres de fabrication suédoise tandis que le radar Giraffe de Saab est un élément clé du système de défense aérienne au sol britannique Sky Saber. Enfin, les Gripen sont équipés de radars conçus et construits par Leonardo à Edimbourg et le Royaume-Uni, en collaboration avec des partenaires européens, dont la Suède, a mis au point des missiles air-air Meteor. https://www.air-cosmos.com/article/scaf-la-sude-et-le-royaume-uni-cherchent-rompre-leur-isolement-21536

  • Autonomie de la défense européenne : entretien avec Jean-Pierre Maulny (IRIS)

    November 4, 2021 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Autonomie de la défense européenne : entretien avec Jean-Pierre Maulny (IRIS)

    Jean-Pierre Maulny, Directeur adjoint de l'Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS), accorde un entretien à Capital. Il insiste sur la nécessité pour la France de rester dans l'OTAN, suite à l'abandon des commandes australiennes de sous-marins et la formation du pacte de défense Aukus, et souligne les progrès de l'autonomie de la défense européenne. Au niveau industriel, « il y a déjà eu de nombreuses coopérations en Europe dans le domaine de l'armement avec les Italiens, les Allemands ou les Britanniques, par exemple les Fremm, l'Airbus A400M, l'hélicoptère Tigre ou encore les missiles Meteor. Le lancement du programme du drone de reconnaissance MALE, qui regroupe la France, l'Allemagne, l'Espagne et l'Italie, est acté. II est soutenu à hauteur de 100 M€ par l'UE », détaille-t-il. Le Fonds européen de défense, disposant de « dispose de 8 Md€ utilisables sur sept ans pour la R&D, soit plus de 1 Md€ par an, dont environ 300 M€ pour la recherche fondamentale », a de plus été adopté en avril 2021. « Le Rafale, notre plus belle vitrine, est très compétitif », souligne Jean-Pierre Maulny, qui cite également « les missiles conçus par MBDA, numéro 2 mondial dans sa spécialité, les hélicoptères NH90 d'Airbus ou le Caesar, un canon autoporté développé par Nexter, qui en a vendu plus de 300 à l'exportation, et les sous-marins Scorpène ». « La force de notre industrie de l'armement est d'être présente sur tous les créneaux », conclut-il. Capital, novembre 2021

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