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December 9, 2023 | International, Aerospace

China says Boeing welcome to deepen development in its market | Reuters

China's aviation regulator's deputy head on Friday told a Boeing executive in Beijing the airplane maker was welcome to deepen its development in the Chinese market.

https://www.reuters.com/business/aerospace-defense/chinese-official-boeing-held-talks-companys-business-development-china-2023-12-08/

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    August 5, 2019 | International, Naval

    U.S. Navy Commissions Littoral Combat Ship 15 (Billings)

    KEY WEST, Fla., Aug. 3, 2019 /PRNewswire/ -- The U.S. Navy commissioned USS Billings (LCS 15) – the nation's eighth Freedom-variant Littoral Combat Ship (LCS) – in Key West, Florida. This milestone places the ship, built by the Lockheed Martin (NYSE: LMT) -led team into active service. "Billings was designed to operate and adapt to a rapidly changing environment," said Joe DePietro, vice president of Small Combatants and Ship Systems at Lockheed Martin. "She is equipped and ready for today's threats and easily modifiable to meet the threats we may not even be aware of yet. Our team is confident Billings will be what the Navy needs when the fleet needs it." Unique among combat ships, LCS is designed to complete close-to-shore missions and is a growing and relevant part of the Navy's fleet. It is fast — capable of speeds in excess of 40 knots. It is automated — with the most efficient staffing of any combat ship. It is lethal — standard equipped with Rolling Airframe Missiles (RAM) and a Mark 110 gun, capable of firing 220 rounds per minute. It is flexible — with 40 percent of the hull easily reconfigurable, integrating capabilities like the Longbow Hellfire Missiles, 30mm guns, and manned and unmanned vehicles targeted to meet today's and tomorrow's missions. "Having now commanded two freedom class LCS variants, I would like to report that these ships are truly impressive and will fit well in the niche they have been designed for," said LCS 15's Commanding Officer, Commander Nathan Rowan. "They are fast, maneuverable, and their weapon systems are some of the most accurate I've witnessed on any platform of which I've previously served." There are seven ships in various stages of production and test at Fincantieri Marinette Marine in Wisconsin, where the Freedom-variant LCS is built. The next Freedom-variant in the class is LCS 17, the future USS Indianapolis, which was delivered in late July. "On behalf of the proud 2,000 men and women who transform flat steel into a fast, agile surface combatant," said Jan Allman, CEO of Fincantieri Marinette Marine, "we are honored to support the U.S. Navy, and we congratulate the outstanding crew of the USS Billings." Multimedia assets are available here: Social media video: https://vimeo.com/351803068 B-roll: https://vimeo.com/351805414 Photos: https://www.flickr.com/photos/143371902@N04/albums/72157710070352016 For more information, visit www.lockheedmartin.com/lcs. https://news.lockheedmartin.com/2019-08-03-U-S-Navy-Commissions-Littoral-Combat-Ship-15-Billings

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    November 19, 2024 | International, Aerospace, C4ISR

    Drone maker AeroVironment seeks lift from $4.1 bln deal for BlueHalo

  • Avion de combat du futur : Dassault veut avancer

    July 23, 2018 | International, Aerospace

    Avion de combat du futur : Dassault veut avancer

    Par Véronique Guillermard Tout comme son partenaire Airbus, le groupe attend des contrats d'études et de développement de démonstrateurs. «Une bonne nouvelle.» La décision du Royaume-Uni de lancer, lundi 16 juillet, un nouvel avion de combat pour succéder à l'Eurofighter et au F-35 américain, qui équipent ses forces armées, est bien accueillie par Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation*. «Cette décision prouve que l'aviation de combat est un sujet stratégique pour les pays européens, qu'elle suscite de l'enthousiasme et de la compétition face à la volonté hégémonique des États-Unis», a-t-il développé en marge de la publication des résultats semestriels du groupe ce jeudi. Le programme britannique, baptisé Tempest, répond au projet d'avion de combat franco-allemand qui doit succéder au Rafale français, construit par Dassault Aviation, et à l'Eurofighter, fabriqué par Airbus Defence, BAE Systems et Leonardo. L'Eurofighter équipe plusieurs armées européennes dont l'Allemagne. Plusieurs jalons ont été franchis depuis l'impulsion politique donnée par Emmanuel Macron et la chancelière Angela Merkel, en juillet 2017. Dernier en date, la signature, lors du sommet franco-allemand de juin dernier, de deux lettres d'intention commune: la première pour la réalisation du Système de combat aérien du futur (Scaf), qui sera mis en service à horizon 2040 ; la seconde pour la conception d'un char de combat opérationnel à partir de 2035. Après cette étape importante, les deux grands partenaires du projet, Dassault Aviation, maître d'œuvre du futur avion de combat, et Airbus Defence attendent l'entrée en vigueur de contrats d'études et de développement de démonstrateurs. Il faut établir une feuille de route en balisant les développements et en passant par une réduction des risques gr'ce à la simulation et aux démonstrateurs. Dassault Aviation attend «un engagement dans le temps long» et un budget sanctuarisé. Et «le plus tôt serait le mieux», souligne Éric Trappier. Il relève que le Royaume-Uni a annoncé un investissement de 2 milliards de livres (2,3 milliards d'euros) d'ici à 2025 dans le projet Tempest. Comme si les Britanniques tentaient de prendre de vitesse l'alliance franco-allemande. À terme, ces deux projets pourraient-ils converger? Trop tôt pour le dire. Si le Scaf franco-allemand a vocation à embarquer d'autres pays européens, au préalable, il «faut une locomotive. Et elle est formée de deux pays, la France et l'Allemagne», résume Éric Trappier. À ce stade, Saab, qui construit le Gripen, le 3e avion de combat européen, n'a pas rendu publiques ses intentions. Le suédois modernise son appareil, tout comme Dassault Aviation, qui, parallèlement au Scaf qui prépare le long terme, améliore le Rafale avec le standard F3R et, demain, le standard F4. 12 Rafale pour le Qatar Au cours du semestre écoulé, le groupe français a continué à livrer des Rafale dont deux à la France. Dassault Aviation a également signé un nouveau lot de 12 Rafale pour le Qatar. Doha a levé une option prise, en mai 2015, dans le cadre d'un premier contrat portant sur l'achat de 24 avions de combat français. Le Qatar a également pris une nouvelle option pour 36 appareils de plus. L'activité militaire de Dassault est tirée par les livraisons du Rafale aux clients exports et à l'éventuelle concrétisation de nouveaux contrats à l'international. Le Rafale est notamment en lice en Belgique. Après trois années blanches (2019-2021), les livraisons aux armées françaises doivent reprendre en 2022. Quant aux jets d'affaires Falcon, ils évoluent sur un marché «qui va mieux et repart», souligne Éric Trappier. Les stocks de jets d'occasion ont décru et les ventes d'avions neufs se redressent (18 prises de commandes au 1er semestre). «L'embellie vient du marché américain et du redémarrage de l'Asie. Nous espérons que l'Europe va suivre», développe le PDG du groupe. Autre source de satisfaction, le lancement, en mars 2018, du 6X, le nouveau Falcon à long rayon d'action et large cabine, qui doit entrer en service en 2022. Son bon démarrage commercial a permis de tirer un trait sur le Falcon 5X, dont le carnet de commandes en a été totalement expurgé. Pour 2018, Dassault prévoit de livrer 12 Rafale et 40 Falcon et de réaliser un chiffre d'affaires proche de celui de 2017 (4,8 milliards d'euros). http://www.lefigaro.fr/societes/2018/07/19/20005-20180719ARTFIG00320-avion-de-combat-du-futur-dassault-veut-avancer.php

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