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November 19, 2023 | International, Naval

China, Pakistan wrap up naval drill featuring sub, high-tech destroyer

India is likely concerned about the submarine's presence, an expert tells Defense News.

https://www.defensenews.com/training-sim/2023/11/17/china-pakistan-wrap-up-naval-drill-featuring-sub-high-tech-destroyer/

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    September 17, 2023 | International, Aerospace, Security

    SAIC hires former Air Force CIO Knausenberger for tech innovation role

    SAIC brought in $3.7 billion in defense-related revenue in 2022, according to Defense News "Top 100" analysis.

  • AIR2030: A la rencontre du consortium Eurofighter et du Typhoon (3/5)

    October 25, 2018 | International, Aerospace

    AIR2030: A la rencontre du consortium Eurofighter et du Typhoon (3/5)

    Alexis Pfefferlé Que produire en Suisse ? Mercredi 17 octobre 2018, 0800, Lausanne. Troisième journée BtoB et troisième introduction du Président du Groupe romand pour le matériel de Défense et de Sécurité (GRPM). « On ne vient pas en Suisse pour produire des choses simples et pas chères, on vient produire en Suisse des biens complexes ou pour dépasser des challenges techniques » C'est direct mais le ton est donné. Pour détendre l'atmosphère, l'introduction est ponctuée par une petite plaisanterie bienvenue car, on le sait bien à Berne, le rire, c'est bon pour la santé. D'European Fighter Aircraft à Typhoon Troisième journée BtoB et dernier avion européen en lice pour le programme AIR2030, l'Eurofighter-Typhoon. Produit d'une coopération unique en Europe et dans le monde, l'Eurofighter –Typhoon est un biréacteur de 4ème génération + né du souhait, au début des années 80, de plusieurs pays de fabriquer en coopération un avion multi-rôles européen dans un contexte de guerre froide. Partenaire au début, la France quitte rapidement le programme en 1985 pour développer son propre chasseur, le Rafale, lequel a fait l'objet de la journée BtoB du 16 octobre dont le compte rendu est disponible ici. Les « Eurofighters » ont tour à tour pris différents noms, d'abord EFA (European Fighter Aircraft) puis Eurofighter, puis Eurofighter 2000 pour enfin prendre le nom d'Eurofighter Typhoon. L'exemple de la coopération européenne et industrielle La présentation du jour se veut ambitieuse. En effet, l'Eurofighter Typhoon est aujourd'hui produit par un consortium industriel composé de quatre entreprises principales rattachées au quatre pays piliers du programme, AIRBUS pour l'Allemagne, BAE SYSTEMS pour le Royaume-Uni, LEONARDO pour l'Italie et EUROJET pour l'Espagne. Les différents pays / industries se partagent la production selon les investissements de leur pays dans le programme. Nous avons donc 33 % pour l'Allemagne, 33 % pour le Royaume-Uni, 21 % pour l'Italie et 13 % pour l'Espagne. Les quatre sociétés vont se succéder sur scène en l'espace d'une petite heure. Nous démarrons avec une introduction par le représentant d'AIRBUS. La force du programme Eurofighter c'est l'expérience industrielle et la coopération maitrisée. Les chiffres sont impressionnants : 623 avions commandés dont près de 500 actuellement en utilisation dans 5 forces aériennes européennes, 9 pays utilisateurs au total, 100'000 places de travail et plus de 400 sociétés impliquées dans 180 lieux de production différents. Toutefois, comme pour le Rafale, l'Eurofighter Typhoon est un programme mature avec peu ou pas de place pour une compensation directe dans le cadre du programme lui-même. Cependant, le consortium a fait ses devoirs avant de venir en Suisse et les exemples de coopération possibles ne vont pas manquer. Les quatre piliers On enchaine donc avec LEONARDO. Le groupe italien a décidé de mettre l'accent sur son expérience en matière d'affaires compensatoires. En chiffres, LEONARDO c'est 40 ans d'expérience dans les affaires compensatoires dans près de 30 pays, 100 projets en cours dans 12 pays différents et près de EUR 3mia à compenser dans les 15 prochaines années. Pour LEONARDO, l'EUROFIGHTER en Suisse c'est prendre part à un grand projet européen et pouvoir s'offrir un accès privilégié au marché international au travers des entreprises qui composent le consortium. C'est au tour du représentant de BAE SYSTEMS d'intervenir. Il insiste sur la taille du groupe, 3ème mondial, plus de 80'000 employés dans 40 pays et 80 pays clients. Pour son représentant, le groupe peut ouvrir à la Suisse les portes de marchés très intéressants comme les Etats-Unis ou le Golfe. BAE SYSTEMS met en avant les domaines du groupe à forte croissance et dans lesquels la Suisse pourra jouer un rôle de premier plan : Le cyber, l'électronique, surtout dans le domaine civil/commercial avec AIRBUS, et l'espace. Avec « la nouvelle philosophie suisse en matière de satellites » (petits satellites utilisés en réseaux) ils viennent chercher chez nous la technologie du futur. Touché, l'assemblée est flattée. Nous passons sans transition à l'espagnole EUROJET. Pour son représentant, la force d'EUROJET c'est sa capacité à travailler en équipe. EUROJET travaille sur l'EUROFIGHTER, l'A400 ou encore l'hélicoptère tigre, ces projets ont apporté au groupe l'expérience de la coopération internationale et de la coordination. Intégrer la Suisse ne sera pas un problème nous dit-on. S'en suit une présentation technique du moteur de l'Eurofighter. Comme mes voisins, je ne comprends pas tout mais je crois comprendre que pour son créateur, c'est un excellent moteur. Après cet interlude technico-ibérique, c'est au tour du représentant d'AIRBUS de conclure. En premier lieu quelques chiffres sur le groupe : EUR 59mia de chiffre d'affaire en 2017, 12'000 sous-traitants qui se partagent EUR 50 mia de commandes et 129'442 employés. Précis, allemand, efficace. Il précise qu'AIRBUS a 7'265 avions en commande dont 1'019 commandés en 2017. Vous cherchez un partenaire solide et pérenne ? Vous l'avez trouvé. En second lieu, comme pour BAE SYSTEMS, le représentant d'AIRBUS confirme que les secteurs qui montent et dans lesquels ils cherchent des partenaires sont le cyber, l'espace, l'urban mobility ou encore les drones. Autant de secteurs qui, très justement, aiguisent depuis quelques années l'appétit de l'industrie suisse et des EPF. Enfin, et c'est le premier constructeur à le soulever, AIRBUS souligne que remplir CHF 6mia en offset c'est une t'che difficile. Les partenaires d'EUROFIGHTER ne veulent pas acheter pour acheter ou simplement faire leur marché. La présentation se conclut en ces termes : Le consortium souhaite une vraie collaboration bilatérale avec la Suisse (!). L'Europe n'aura de cesse de nous surprendre. https://blogs.letemps.ch/alexis-pfefferle/2018/10/22/air2030-a-la-rencontre-du-consortium-eurofighter-et-du-typhoon-3-5/

  • After delay, US Army clears Joint Light Tactical Vehicle for full-rate production

    June 25, 2019 | International, Land

    After delay, US Army clears Joint Light Tactical Vehicle for full-rate production

    By: Jen Judson WASHINGTON — The U.S. Army has approved the Oshkosh-built Joint Light Tactical Vehicle's transition to full-rate production after a roughly six-month delay, according to a June 21 announcement. Full-rate production for the JLTV was pushed from an original schedule of December 2018 out to May this year due to a number of changes to the Humvee replacement. The Army decided to make a series of alterations as the result of soldier feedback, including a larger back window and the addition of a muffler. The approach was designed to minimize the cost and quantity of the vehicles that would need to be retrofitted, the vehicle's program office told Defense News at the time. The decision to delay the full-rate production did not stop the service from beginning to field 300 of the new vehicles to the Army's 1st Brigade, 3rd Infantry Division at Fort Stewart, Georgia, making it the first unit equipped with the vehicle in April 2019. “We are also grateful for soldier feedback on new features and enhancements,” Jeffrey White, the Army acquisition chief's principal deputy said in the Army announcement. “The Soldiers of the 1st ABCT, 3rd Infantry Division provided valuable input on enhancements such as increased situational awareness, reduction of system noise, a troop seat kit, and a companion JLTV trailer. Their assessments helped bring us all to a successful Full-Rate Production decision.” Oshkosh beat out Humvee-maker AM General and Lockheed Martin in 2015 to build the replacement for the Humvee for both the Army and the Marine Corps. The low-rate initial production, or LRIP, contract was worth $6.7 billion, and the entire program is estimated to be worth $30 billion through 2024. “Important insights from manufacturing and rigorous developmental and operational test during LRIP contributed to shaping the vehicle's current configuration,” George Mansfield, vice president and general manager of joint programs for Oshkosh Defense, said in a statement sent to Defense News. “The program remains on schedule and on budget, and ensures our troops have the protection, connection, and extreme off-road mobility they need today for current and future battlefields. The JLTV is the only light tactical vehicle being fielded today that can maneuver within combat formations,” he said. At the time of the LRIP award, a total of 49,100 JLTVs were planned for the Army, not including what the Marine Corps is planning to buy as well as a small number for the Air Force and Navy. The service cut its procurement of the JLTV in its fiscal 2020 budget request by 863 vehicles. The Army procured 3,393 vehicles in FY19 in LRIP but only plans to buy 2,530 vehicles in FY20. The Army originally planned in its FY19 request to buy 3,035 vehicles in FY20. It is unclear if more cuts will come for the JLTV. Army Secretary Mark Esper said at the time the FY20 budget rolled out that the vehicle was designed and procured in “the context of Afghanistan and Iraq,” and hence was just not as relevant anymore when applied to the fresh National Defense Strategy now guiding Army investment. “We are certainly cutting the total number” of JLTV procurement, Esper said. “I know that much. But whether it settles out, finals out right here, today, I can't tell you. In five years, I could maybe have a different number for you.” While the JLTV was designed for the counterinsurgency fight — a light vehicle with the protection to endure the blast of an improvised explosive device much like mine-resistant, ambush-protected vehicles — Oshkosh has used the JLTV's highly configurable design to increase firepower options on board a JLTV and to protect it from missile and rocket attacks. Over the past three years, it integrated remote weapon systems, a lightweight 30mm cannon paired with a 7.62mm coaxial machine gun, a Javelin integration kit, several .50-caliber machine guns, and a lightweight automatic chain gun, among other weapon systems. The IMI Iron Fist Active Protection System and Rafael's Trophy Light APShave both been integrated onto JLTVs for evaluation. And the Boeing Maneuver Short-Range Air Defense launcher, which was not selected by the Army for its interim SHORAD solution, was also integrated onto the JLTV to include an M3P .50-caliber machine gun, M299 launcher with four Longbow Hellfire missiles, a sensor suite, and a communications suite with the Thales VRC-111. Now that the Army has approved full-rate production for the JLTV, it is anticipated Foreign Military Sales prospects could begin more rapid materialization. Slovenia has already placed an order for a small number of JLTVs, and it's likely the United Kingdom as well as Lithuania will be future customers. https://www.defensenews.com/land/2019/06/21/after-delay-army-clears-joint-light-tactical-vehicle-for-full-rate-production/

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