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November 23, 2024 | International, C4ISR, Security

China-Linked TAG-112 Targets Tibetan Media with Cobalt Strike Espionage Campaign

TAG-112 hacks Tibetan websites, using fake TLS certificates to deliver Cobalt Strike malware payloads.

https://thehackernews.com/2024/11/china-linked-tag-112-targets-tibetan.html

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  • IAI and Aerotor Unmanned Systems have signed an MOU

    April 3, 2024 | International, Aerospace

    IAI and Aerotor Unmanned Systems have signed an MOU

    Within the framework of the MOU,  advanced drone systems for a variety of tactical military missions for users on land, at sea and in the air will be developed.

  • The US Navy’s unmanned dream: A common control system

    May 7, 2019 | International, Aerospace, Naval

    The US Navy’s unmanned dream: A common control system

    By: David B. Larter NATIONAL HARBOR, Md. — The U.S. Navy's growing and increasingly diverse portfolio of unmanned systems is creating a jumble of control systems, creating problems for a force that hopes robot ships, aircraft and submarines will help it regain a significant advantage over rivals China and Russia. One significant issue is having to train sailors on a number of different systems, which can prove time-consuming, inefficient and expensive. “From a manned-machine teaming and sailor-integration perspective, we need a portfolio of systems to do a wide variety of things,” said Capt. Pete Small, the head of unmanned maritime systems at Naval Sea Systems Command. “We can't bring a different interface for each platform to our sailors — from a training perspective but also from an integration perspective. “We might have a destroyer that needs to operate an [unmanned surface vessel] and an [unmanned underwater vehicle] and they all need to be linked back to a shore command center. So we've got to have common communications protocols to make that all happen, and we want to reduce the burden on sailors to go do that.” That's driving the Navy toward a goal of having one control system to run all the unmanned platforms in the service's portfolio: a goal that is a good ways away, Small said. “The end state is — future state nirvana — would be one set of software that you could do it all on,” he said. “I think that's a faraway vision. And the challenges are every unmanned system is a little bit different and has its own requirements. And each of the integration points — a destroyer, a shore base or a submarine — has slightly different integration requirements as well. “But the vision is that we can enjoy commonality as much as possible and share pieces of software wherever possible.” The effort mirrors a similar endeavor in the surface Navy to develop a single combat system that controls every ship's systems. The goal here is that if a sailor who is trained on a big-deck amphibious ship transfers to a destroyer, no extra training will be necessary to run the equipment on the destroyer. “That's an imperative going forward — we have to get to one, integrated combat system,” Rear Adm. Ron Boxall, the chief of naval operations' director of surface warfare, said in a December interview at the Pentagon with Defense News. https://www.defensenews.com/digital-show-dailies/navy-league/2019/05/06/the-us-navys-unmanned-dream-a-common-control-system

  • Le missile Air-Air très longue portée russe R37M entrera bientôt en service

    October 1, 2018 | International, Aerospace

    Le missile Air-Air très longue portée russe R37M entrera bientôt en service

    FABRICE WOLF Avec plus de 4000 avions de combat modernes de tout type, l'OTAN dispose de la plus formidable force aérienne au monde, très supérieure aux forces russes (1300 appareils) et chinoises (1500 appareils). Consciente qu'elle ne pourra jamais rivaliser numériquement avec cette force, la Russie a développé une stratégie de défense aérienne multi-couches reposant sur des systèmes de défense anti-aérienne à longue, moyenne et courte portée, intégrée dans un réseau global et coordonnant ses actions avec l'importante flotte de chasseurs russes de plus de 800 appareils Su27-30-35 et MIG-29, et les 130 intercepteurs MIG-31. Ainsi organisée, la défense anti-aérienne russe représente un challenge important pour les forces aériennes occidentales, qui doivent utiliser des avions de brouillage ou des appareils furtifs pour espérer garder la supériorité aérienne. Pour articuler cette puissance aérienne, qui représente aujourd'hui 80% de la puissance de feu de l'Alliance selon le British Defense Comittee, l'OTAN déploie un nombre important d'appareils de veille aérienne AWACS, de surveillance électronique, et une flotte massive d'avions ravitailleurs. Le missile à longue portée hypersonique R37M a été développé pour engager et abattre ces appareils, avec une portée supérieure à 300 km et une vitesse supérieure à Mach6. Destiné à équiper les intercepteurs rapides MIG-31 et les chasseurs lourds furtifs Su-57, le R37M permettra de repousser les appareils de soutien de l'OTAN très loin de la zone d'engagement, limitant de fait très sensiblement leurs performances. Un appareil qui, comme le F-35 américain, n'a qu'un rayon d'action de 1000 km, sera ainsi largement contraint s'il doit se ravitailler à 500 km de ses objectifs. En outre, les forces russes auront la possibilité de mener des « raids tactiques », des incursions rapides destinées à porter le danger au plus profond du dispositif adverse, suivi d'un retour rapide dans la zone de supériorité alliée. Au delà des AWACS et ravitailleurs, le nouveau missile menacera donc l'ensemble des appareils lourds de l'alliance atlantique, incluant les avions de transport en charge du train logistique transatlantique indispensable, ainsi que les appareils de patrouille maritime, surtout ceux évoluant à moyenne altitude comme le P8 Poséidon, très exposés dès qu'ils évolueront à moins de 2000 km d'une base aérienne russe. Les mêmes causes ayant les même conséquences, la Chine a elle-aussi développé un missile à très longue portée, estimée à 400 km, et destiné à abattre les appareils de soutien occidentaux. Le nouveau missile, dont la nomenclature est encore floue, a déjà été aperçu sous les ailes des J-11 et des J-16 de l'Armée Populaire de Libération. Ce type de missile n'a pas d'équivalent en Occident. En effet, les forces aériennes chinoises et russes dépendent beaucoup moins des appareils de soutien que leurs homologues occidentaux. En revanche, les états-majors de l'OTAN ont privilégié des missiles d'une portée inferieure, de l'ordre de 150 km, mais très efficaces contre les agiles chasseurs adverses, comme le missile européen Meteor. L'entrée en service du R37M devra donc engendrer une rapide évolution des doctrines aériennes de l'OTAN, comme dans la conception des appareils lourds, qui devront nécessairement être équipés de systèmes d'autodéfense performants capables de détecter, brouiller et leurrer de tels missiles. https://analysedefense.fr/blogs/articles/le-missile-air-air-tres-longue-portee-russe-r37m-entrera-bientot-en-service

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