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March 9, 2021 | Local, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

Canadian military gets its 1st female vice-chief of the defence staff in major shakeup | CBC News

An important shakeup is happening at the top of the Canadian military. The deputy commander of the Armed Forces has been replaced. Lt-Gen. Mike Rouleau will step aside as vice-chief of the defence staff to make way for Lt.-Gen. Frances Allen, the country's first woman deputy commander.

https://www.cbc.ca/news/politics/military-commanders-shakeup-1.5941936?cmp=rss

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  • Cormorant mid-life upgrade project: less search, more rescue

    November 3, 2020 | Local, Aerospace, Security

    Cormorant mid-life upgrade project: less search, more rescue

    Posted on November 3, 2020; Leonardo Press Release The Royal Canadian Air Force (RCAF) has been operating the AW101/CH-149 Cormorant since 2001 undertaking thousands of lifesaving search and rescue (SAR) missions in the most extreme and harsh environmental conditions, from coast-to-coast. The Cormorant Mid-Life Upgrade (CMLU) Project is included in Canada's Strong, Secure and Engaged (SSE) Defence Policy as a key defence procurement program, and is currently in the “Definition Phase.” The CMLU Project will: Extend the life of the Cormorant helicopter until 2040 and beyond; Return the Cormorant fleet to Canadian Forces Base Trenton as the primary SAR helicopter; Provide enhanced aircraft flight management, communication and navigation systems, complying with latest regulations; Address existing and projected obsolescence while incorporating maintainability and reliability enhancements; Introduce modern SAR mission sensors; Ensure there is no disruption to Cormorant Rotary-Wing SAR capability during the Project; Deliver Industrial Technological Benefits to Canadian companies. The CMLU solution will leverage the existing design and development work undertaken by Leonardo on the latest generation of the AW101 – the Norwegian All Weather Search and Rescue Helicopter (NAWSARH) – which is currently being delivered to Norway. Dominic Howe, Head of International Campaigns – America and Canada at Leonardo Helicopters, said, “From the outset we have proposed a low risk upgrade solution utilizing an existing design which will provide the RCAF with much greater SAR capability and provide greater peace of mind to all Canadians across Canada.” The CMLU Project includes augmentation of the fleet with a minimum of two additional helicopters enabling the return of the Cormorant helicopter to the Trenton Main Operating Base which covers the Great Lakes region. The CMLU Project will include state-of-the-art avionics, a new glass cockpit, the addition of the latest SAR sensors including a surveillance radar, Electro Optical Infra-Red device, more powerful digitally-controlled engines, wireless in-cabin communications, LED lighting, rescue hoist upgrades, synthetic training solutions from CAE which include: a training centre, Full Mission Simulator and Rear Crew Trainer, among others. This isn't a development program – it's using Commercial Off-The-Shelf technology,” said Howe. “This is utilizing the design and development undertaken for the NAWSARH project which will provide Canada with a low risk, and value for money solution; it also provides long-term benefits with a drive towards a standardized common configuration across multiple AW101 operators.” Leonardo and its Team Cormorant partners: IMP Aerospace, CAE, GE Canada and Collins Aerospace will provide significant Industrial Technological Benefits with a strong Value Proposition and the provision of long-term Canadian employment – with Leonardo transferring knowledge and technology enabling the vast majority of the CMLU work to be performed in Canada by Canadians. Howe commented, “The significant capability the CMLU Project will deliver, through the introduction of the surveillance radar, EO/IR device, the Mobile Phone Detection and Localization System and other updated systems, will ensure less search and more rescue.” https://www.skiesmag.com/press-releases/cormorant-mid-life-upgrade-project-less-search-more-rescue

  • Une innovation québécoise à l'assaut de l'armée américaine

    October 24, 2018 | Local, Land

    Une innovation québécoise à l'assaut de l'armée américaine

    JEAN-FRANÇOIS CODÈRE Le rêve d'un exosquelette qui aidera les soldats à transporter leurs lourdes charges sans se blesser approche et c'est une firme de Saint-Jean-sur-Richelieu Mawashi, qui est en pôle position d'un marché évalué à «des milliards et des milliards de dollars». Le tiers des soldats évacués en Afghanistan ou en Irak n'avaient pas subi de «blessures de guerre», avance Alain Bujold, chef de la direction et chef de la direction technologique de Mawashi. Ils avaient plutôt subi les dommages, notamment au dos, du trop grand poids placé sur leurs épaules. «Ça coûte 500 millions de dollars par année à l'armée américaine pour s'occuper des soldats blessés parce qu'ils transportaient trop de poids», ajoute-t-il. Spécialiste de la recherche et de l'ingénierie pour «tout ce qui se met sur le corps humain» depuis des années, Mawashi s'est intéressée de plus près aux exosquelettes en 2013. Elle avait alors été invitée à participer à un projet de l'armée américaine, le projet Talos, qui consistait à créer une sorte d'armure à la Iron Man. «Ils ont donné de l'argent à un paquet de compagnies, et on les a toutes clenchées», raconte fière M. Bujold. Alléger la charge L'exosquelette Uprise mis au point par Mawashi peut retirer jusqu'à 70% du poids transporté par un soldat de sa propre ossature. La structure épouse les formes du corps, mais n'est pas motorisée, ce qui est un avantage important selon M. Bujold, puisque les soldats peuvent ainsi être affectés à de très longues missions sans crainte d'épuiser leurs piles. Et sans avoir à transporter lesdites piles. Une plaque posée sous le pied du soldat, dans sa chaussure, sert de fondation à l'ensemble. Cette plaque s'arrête avant les orteils, de façon à permettre au soldat de bien ressentir le sol sous ses pieds. Des tiges métalliques articulées longent ensuite les jambes du soldat pour rejoindre une ceinture rigide. De là s'élève une «colonne vertébrale», de laquelle émergent des appendices qui permettent notamment de suspendre un sac à dos ou un plastron sans que le poids ne se dépose sur le squelette du soldat. En situation de combat, un soldat est chargé d'en moyenne une centaine de livres d'équipement protecteur, de munitions, d'armes et d'équipements de communication, entre autres, estime M. Bujold. «De plus en plus, les combats se déroulent dans des zones urbaines, ce qui fait qu'on ne peut utiliser de véhicules pour transporter l'équipement, ajoute-t-il. Et il y a de plus en plus de matériel pour les communications.» «Le but n'est pas de permettre de transporter plus de poids, prévient-il toutefois. C'est de réduire les blessures et d'aider à porter ce poids.» En avance En mars dernier, Mawashi a été invitée par l'OTAN à venir démontrer les bénéfices que pouvait procurer Uprise à des spécialistes du déminage, qui doivent revêtir une combinaison protectrice pesant à elle seule une centaine de livres. L'entreprise se concentre présentement à démontrer de façon claire les avantages de son produit. Elle a reçu un financement de trois ans de l'armée canadienne pour parvenir à cette fin. «Le dernier obstacle est de prouver qu'il y a vraiment un bénéfice, indique M. Bujold. Les tests préliminaires le démontrent.» Sur l'échelle de maturité technologique (Technology Readiness Level), qui va de 1 à 9, l'Uprise est au niveau 7. Aucune solution comparable ne le devance, selon M. Bujold, et l'Uprise est en position pour être le premier exosquelette déployé sur le terrain. «Le premier qui va arriver avec une technologie qui fonctionne, c'est le prochain Apple, croit l'entrepreneur. On ne parle pas de millions, mais de milliards.» C'est qu'au-delà des militaires, il y a une panoplie d'autres secteurs qui pourraient être intéressés à un exosquelette de ce genre, envisage-t-il, à commencer par l'important marché du plein air. Les pompiers, les travailleurs de la construction et les employés de chaînes d'assemblage pourraient eux aussi en bénéficier. L'Uprise pourrait coûter de 3000$ à 20 000$, estime-t-il, selon la configuration choisie. Jusqu'à présent, ce sont surtout des contrats de l'armée américaine qui ont permis à Mawashi d'avancer. «C'est tout récent que de recevoir du financement canadien», dit M. Bujold, qui est actionnaire à 50% de l'entreprise. L'autre moitié est détenue par Louis Bibeau, président de Logistik Unicorp, dans l'édifice de laquelle sont installés les bureaux de Mawashi. «Il y a 99% des chances qu'on finisse par être achetés par une compagnie américaine, estime M. Bujold. C'est triste.» «Il y a ici une mentalité de lenteur, de bureaucratie, alors qu'aux États-Unis, c'est pif, paf, maintenant.» Le volet militaire de son entreprise n'aide pas à approcher des investisseurs québécois ou canadiens, ajoute-t-il, même si son produit « sauve des vies ». Cette tiédeur n'existe pas aux États-Unis. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/quebec/201810/18/01-5200809-une-innovation-quebecoise-a-lassaut-de-larmee-americaine.php

  • Airbus se retire de la course pour remplacer les CF-18 canadiens

    September 3, 2019 | Local, Aerospace

    Airbus se retire de la course pour remplacer les CF-18 canadiens

    Par LEE BERTHIAUME La division Airbus Defence and Space, en partenariat avec le gouvernement britannique, était l'une des quatre entreprises qui devaient selon toute vraisemblance soumissionner pour ce contrat de 19 milliards portant sur la construction des 88 nouveaux avions de chasse qui doivent remplacer les CF-18 vieillissants de l'Aviation royale canadienne. Mais dans un communiqué publié vendredi, Airbus annonce qu'elle a informé le gouvernement canadien de sa décision de retirer de la course son « Eurofighter Typhoon » pour deux motifs — déjà évoqués par ailleurs avant même le lancement officiel de l'appel d'offres en juillet. Le premier motif concerne l'obligation pour les soumissionnaires de préciser comment ils comptent s'assurer que leurs avions pourront s'intégrer au réseau canado-américain ultra-secret de renseignement, connu sous le nom de « Two Eyes », qui est utilisé pour coordonner la défense commune de l'Amérique du Nord. Airbus conclut que cette exigence fait peser « un coût trop lourd » sur les avions qui ne sont pas américains. Le géant européen explique qu'il aurait été tenu de démontrer comment il envisageait d'intégrer son Typhoon au système « Two-Eyes » sans même connaître les détails techniques de ce système ultra-secret de renseignement. Le deuxième facteur a été la décision du gouvernement libéral de modifier la politique qui obligeait traditionnellement les soumissionnaires à s'engager légalement à investir autant d'argent dans des produits et activités au Canada que ce qu'ils tirent des contrats militaires décrochés. En vertu du nouveau mécanisme, les soumissionnaires peuvent plutôt établir des « objectifs industriels » et signer des accords non contraignants promettant de tout mettre en œuvre pour les atteindre. Ces soumissionnaires perdent des points dans l'appel d'offres, mais ils ne sont plus écartés d'emblée de la course. Les États-Unis soutenaient que la politique précédente violait un accord signé par le Canada en 2006 pour devenir l'un des neuf pays partenaires dans le développement du F-35 de Lockheed Martin. Or, cet accord prévoit que les entreprises des pays partenaires se feront toutes concurrence pour obtenir des contrats en sous-traitance. Deuxième retrait Dans son annonce, vendredi, Airbus soutient que la nouvelle approche ne valorise pas suffisamment les engagements contraignants qu'elle était prête à offrir et qui constituaient l'un de ses principaux arguments. La ministre des Services publics et de l'Approvisionnement, Carla Qualtrough, a défendu à nouveau l'approche de son gouvernement dans ce dossier. Dans une déclaration écrite publiée après l'annonce du retrait d'Airbus, elle a estimé que cette nouvelle approche « assurera une participation maximale des fournisseurs ». « Notre gouvernement priorise les retombées économiques solides dans ce projet, a soutenu Mme Qualtrough. Nous sommes convaincus que cet investissement soutiendra la croissance de la main-d'œuvre canadienne hautement qualifiée dans les industries de l'aérospatiale et de la défense pour les décennies à venir et créera d'importantes retombées économiques et industrielles dans l'ensemble du pays. » Airbus devient la deuxième entreprise à retirer son chasseur de l'appel d'offres canadien, après le retrait du « Rafale » de la société française Dassault en novembre dernier. Il ne reste plus maintenant comme prétendants que le « F-35 » de Lockheed Martin, le « Super Hornet » de son concurrent américain Boeing et le « Gripen » du suédois Saab. Boeing et Saab ont déjà exprimé leurs préoccupations au sujet de la nouvelle politique en matière d'exigences industrielles, affirmant que ces changements ne profiteront pas aux contribuables et à l'industrie canadienne de l'aérospatiale et de la défense. Les entreprises devraient soumettre leurs offres l'hiver prochain et le contrat final doit être signé en 2022 ; le premier avion ne sera pas livré avant au moins 2025. Les gouvernements fédéraux successifs s'emploient à remplacer les CF-18 depuis plus de dix ans. Selon le porte-parole conservateur en matière de défense, James Bezan, le retrait d'Airbus prouve que le gouvernement libéral a mal géré tout ce dossier pendant son mandat — notamment en attendant quatre ans avant de lancer l'appel d'offres promis en campagne électorale en 2015. « Alors que d'autres pays ont choisi des avions de combat en moins de deux ans, le bilan du premier ministre Justin Trudeau en matière d'achats militaires en est un de retards et d'échecs », a estimé M. Bezan. Le gouvernement conservateur précédent avait annoncé en 2010 un plan pour acheter des F-35 de Lockheed Martin sans appel d'offres, mais il y a renoncé deux ans plus tard à la suite de préoccupations concernant les coûts et les capacités de ce chasseur furtif. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/201908/30/01-5239279-airbus-se-retire-de-la-course-pour-remplacer-les-cf-18-canadiens.php

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