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August 28, 2018 | International, Aerospace, Land

Can Army Futures Command Overcome Decades Of Dysfunction?

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ARMY S&T CONFERENCE: How broken is the procurement system the new Army Futures Command was created to fix? It's not just the billions wasted on cancelled weapons programs. It's also the months wasted because, until now, there has not been one commander who can crack feuding bureaucrats' heads together and make them stop bickering over, literally, inches.

“I have not always been an Army Futures Command fan,” retired Lt. Gen. Tom Spoehr told the National Defense Industrial Association conference here. But as he thought about his own decades in Army acquisition, he's come around.

How bad could things get? When he was working in the Army resourcing office (staff section G-8), Spoehr recalled, the Army signals school at Fort Gordon wanted a new radio test kit that could fit in a six-inch cargo pocket. The radio procurement programmanager, part of an entirely separate organization, reported back there was nothing on the market under eight inches. The requirements office insisted on sixinches, the acquisition office insisted they had no money to develop something smaller than the existing eight-inchers, and memos shot back and forth for months. At last, Spoehr warned both sides that if they didn't come to some agreement, he'd kill the funding. Suddenly Fort Gordon rewrote the requirement from “fit in a cargo pocket” to “cargo pouch” and the procurement people could go buy an eight-inch kit.

That kind of disconnected dithering is what Army Futures Command is intended to prevent. “I had the money, but nobody really had control of all of this,” Spoehr said. As a result, he said, “we probably spent six months trading memos back and forth on the size of the radio frequency test kit.”

Multiplying that by thousands of requirements over hundreds of systems, and the wasted time and money gets pretty bad. But what's often worse is when the requirements are unrealistic and no one pushes back. Most notoriously ,Chief of Staff Eric Shinseki demanded easily airlifted Future Combat Systems vehicles that weighed less than 20 tons but had the combat power of a 60-ton M1 Abrams tank. The designs eventually grew to 26 tons, and the performance requirements came down, but by then FCS had lost the confidence of both Congress and Defense Secretary Bob Gates, who canceled it in 2009. It was another casualty of overly ambitious requirements drawn up by staff officers in isolation from the people who'd actually have to build them. Army Futures Command is structured to force those two groups to talk to each other from the start.

Full article: https://breakingdefense.com/2018/08/can-army-futures-command-overcome-decades-of-dysfunction

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    Par Maxime Bertrand Airbus vise toujours une réduction de 20 % des coûts de la part de ses fournisseurs afin d'assurer la rentabilité de l'A220. C'est ce qu'ont déclaré les pdg d'Airbus et d'Airbus Canada, Guillaume Faury et Philippe Balducchi, lors d'une rencontre avec la presse montréalaise jeudi. Nous avons progressé, mais le processus n'est pas terminé, a déclaré Philippe Balducchi, pdg d'Airbus Canada L'A220 a vraiment besoin d'une accélération, d'un renforcement du programme de réduction des coûts, a renchéri Guillaume Faury, pdg d'Airbus. Le géant européen a pris les commandes du programme né de la C Series de Bombardier – renommé A220 depuis – en juin 2018. Pas plus tard qu'en octobre 2018, le pdg d'Airbus affirmait qu'il lui faudrait « des années » avant que l'A220 devienne une réussite économique. En entrevue avec la presse montréalaise, les deux dirigeants ont soutenu jeudi qu'il était normal que l'effort demandé soit plus important pour l'A220 que pour les autres appareils de la flotte d'Airbus, car le programme en est à ses débuts et qu'il faut repositionner l'appareil, accélérer la cadence de production et entrer dans une zone de rentabilité. Selon la direction de l'avionneur, tous les appareils en début de production doivent relever ce genre de défi. Airbus se donne trois ans pour terminer le processus entamé il y a une quinzaine de mois et parvenir à une réduction des coûts de 20 %. La démarche ne s'arrêtera pas là, préviennent les dirigeants, car les baisses des coûts devront également s'inscrire dans le temps. À la fin de mai dernier, le carnet de commandes d'Airbus comptait 536 appareils A220. Au salon aéronautique du Bourget, en juin, l'entreprise a annoncé de 70 appareils A220. Dossier des avions de chasse Dans le dossier des avions de chasse, la direction d'Airbus a dit s'être retirée avec beaucoup de regret de l'appel d'offres du gouvernement canadien. Elle croit que sa présence au Canada gr'ce à l'A220 permettra d'accroître sa visibilité et de saisir les occasions futures qui se présenteront. Différend commercial entre l'Europe et les États-Unis Par ailleurs, la direction d'Airbus a réagi à la décision de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) d'autoriser les États-Unis à imposer des droits de douane annuels de 7,5 milliards de dollars sur les produits européens dans le cadre du conflit sur les subventions dans le domaine de la construction aéronautique. Il s'agit d'un différend de 15 ans entre Boeing et Airbus, donc entre les États-Unis et l'Europe, qui s'accusent mutuellement de consentir des aides illégales à leurs avionneurs. Nous croyons que tout le monde sort perdant d'une guerre commerciale, a déclaré Guillaume Faury. Si des droits sont imposés par les deux parties, cela entraînera une hausse des coûts de déplacement et nous rendra moins concurrentiels. Nous croyons que les parties finiront par s'entendre et que la voix de la sagesse sera la plus forte. Nous continuons à militer en faveur d'une entente, nous croyons qu'il est possible d'y parvenir. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1319890/a220-avion-reduction-couts-programme-airbus

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