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April 24, 2022 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

Britain's military procurement agency gets new management

A former defense industry executive is taking over the British government's multibillion-pound defense procurement effort.

https://www.defensenews.com/global/europe/2022/04/21/britains-military-procurement-agency-gets-new-management/

On the same subject

  • NGA looking to academia and industry to boost research efforts

    July 9, 2020 | International, Aerospace

    NGA looking to academia and industry to boost research efforts

    Nathan Strout The National-Geospatial-Intelligence Agency issued a new Broad Agency Announcement July 6, giving researchers and academics a new pathway to present intelligence solutions to the agency. NGA is responsible for delivering geospatial-intelligence to war fighters, policy makers and the intelligence community. Under this announcement, the agency is looking for solutions from industry and academia to help them accomplish that mission. “The release of this BAA will help accelerate our research endeavors and provide NGA with the ability to expand and diversify its research performer base, while giving us better flexibility and agility in research contracting efforts,” said Cindy Daniell, director of research and NGA, in a statement. The BAA is seeking research and development concepts that address one or more of the following topics: Foundational GEOINT; advanced phenomenologies, and analytic technologies. Foundational GEOINT - The creation of always accurate, high-resolution, continually updated representations of the earth's properties, available on demand. Advanced Phenomenologies - The use of novel methods and efficient strategies to deliver spatially, spectrally and temporally resolved data from a growing number of traditional and non-traditional sources. Analytic Technologies - The ability to leverage new data sources and new analytics techniques to add geospatial intelligence to multi-intelligence analytics in an effort to address emerging threats and mission domains. More details on each technical domain can be found in the BAA. According to the announcement, NGA plans to make multiple awards, which may take the form of procurement contracts, grants, cooperative agreements or other transactions for prototypes and follow-on production. The agency will be issuing response dates for individual topic areas within the three stated technical domains periodically. A COVID-19 rapid response topic will be one of the first items posted under the BAA according to NGA. https://www.c4isrnet.com/intel-geoint/2020/07/07/nga-looking-to-academia-and-industry-to-boost-research-efforts/

  • Camille Grand : « Tous les alliés de l'Otan augmentent leurs dépenses de défense »

    July 11, 2018 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR

    Camille Grand : « Tous les alliés de l'Otan augmentent leurs dépenses de défense »

    Camille Grand, secrétaire général adjoint de l'Otan, se veut rassurant sur les relations entre les Etats-Unis et l'Europe sur les questions de défense. JACQUES HUBERT-RODIER L'Organisation militaire qui unit les puissances occidentales n'est pas en danger, selon le secrétaire général adjoint de l'Otan. Les critiques répétées du président américain Donald Trump sur l'implication financière insuffisante des pays européens sont plutôt justifiées, selon lui, et ne devraient pas dégénérer en une confrontation ouverte. Le renforcement de l'Europe de la défense, complémentaire de l'Otan, serait également bien accepté outre-Atlantique, à condition qu'elle reste complémentaire dans ses développements. L'Otan peut-elle surmonter la tension entre les Etats-Unis, l'Europe et le Canada ? Ce n'est pas la première fois que l'Alliance atlantique connaît des tensions entre ses Etats membres. C'est arrivé avec le départ de la France des structures militaires intégrées dans les années 1960, puis au moment des décisions de déploiement des euromissiles dans les années 1980, et plus récemment lors de la guerre en Irak, en 2003. Mais les Alliés ont toujours su surmonter ces débats et il ne faut pas dramatiser ces tensions, d'autant plus que, sur les dossiers de fond, l'Otan avance et s'adapte. Certes, il y a aujourd'hui de vrais désaccords transatlantiques, mais sur des sujets extérieurs à l'Otan, comme sur le changement climatique,les questions de commerce international ou l'Iran. Ce ne sont pas des sujets sur l'agenda, quotidien ou régulier, de l'Otan. Le président Trump ne cesse de critiquer l'Otan... Malgré les critiques adressées aux Alliés par le président Trump, il y a aux Etats-Unis un consensus assez large sur le soutien à l'Otan et à la relation transatlantique. La forte critique sur le partage du fardeau financier de l'Alliance est un thème récurrent depuis des années de la part des Américains qui estiment, non sans raison, que les dépenses militaires sont trop déséquilibrées entre les Etats-Unis et les autres alliés. Les choses évoluent aujourd'hui. Européens et Canadiens font-ils assez pour leur défense ? Les Américains demandent aux Alliés de respecter l'objectif qu'ils se sont assignés eux-mêmes lors du sommet de 2014 à Newport, au pays de Galles , c'est-à-dire de parvenir à 2 % de leur PIB consacré à la défense en 2024 - dont 20 % pour l'investissement dans de nouveaux matériels et à la recherche et développement. Aujourd'hui, le tableau est contrasté : d'un côté, tous les Alliés ont augmenté leur effort de défense. Canadiens et Européens ont au total dépensé 87 milliards d'euros de plus. En 2018, huit alliés (1) consacreront au moins 2 % de leur PIB à la défense, contre trois il y a quatre ans. Dix-huit ont annoncé qu'ils atteindront cet objectif en 2024 ou peu après. La France s'y est, pour sa part, engagée pour 2025. De l'autre côté, il est vrai qu'un certain nombre de pays sont encore un peu en retrait et n'ont pas pris d'engagement clair pour parvenir aux 2 % en 2024, même s'ils augmentent leur effort. C'est un peu un débat sur le verre à moitié plein ou à moitié vide. Donald Trump accuse surtout l'Allemagne ? L'Allemagne s'est engagée fermement à parvenir à 1,5 % de son PIB en 2024. Ce qui constitue une augmentation déjà significative de ses dépenses pour une grosse économie. Parviendra-t-elle à 2 % dans un avenir rapproché ? Politiquement, c'est encore en discussion au sein de la coalition et du Bundestag. Techniquement, l'Allemagne, je pense, peut et doit y arriver car l'argument de dire « nous sommes un pays trop riche » n'est pas recevable alors que des pays plus pauvres font cet effort. Cela sera sans doute étalé dans le temps. Pourquoi 2 % ? Cet objectif existe depuis longtemps mais il est devenu politiquement très engageant depuis 2014 avec la promesse faite au sommet du pays de Galles. C'est un chiffre raisonnable si l'on compare à la période de la guerre froide où la plupart des pays de l'Otan étaient plutôt entre 3 % et 4 % du PIB, ou aux dépenses d'autres puissances majeures. Ce n'est pas une course frénétique aux armements mais une norme cohérente avec un environnement stratégique incertain et dégradé. L'Europe de la défense est-elle concurrente de l'Otan ? Ce débat est aujourd'hui largement dépassé. L'Europe de la défense et l'Alliance atlantique doivent être complémentaires. Si l'Otan plaide bien sûr pour éviter les duplications inutiles et assurer la meilleure coordination possible, les décisions récentes de l'Union européenne pour renforcer l'Europe de la défense sont bienvenues et utiles avec la mise en oeuvre de la coopération structurée permanente, et surtout avec des investissements dans le prochain cadre budgétaire européen 2021-2027 dans deux domaines importants vu de l'Otan : 6,5 milliards d'euros pour des infrastructures liées à la « mobilité militaire » et la création du Fonds européen de défense doté de 13 milliards d'euros. Certes, tout cela représente 1 % des dépenses de défense en Europe, mais cela aide à faire de l'Union européenne un acteur de la scène stratégique avec lequel l'Otan travaille dans un nombre croissant de domaines. Les relations entre les deux organisations sont denses et n'ont d'ailleurs sans doute jamais été aussi bonnes Comment voyez-vous les relations avec la Russie ? Depuis deux ans, l'Otan mène une double approche : d'une part, de dissuasion et de défense avec la consolidation du flanc oriental de l'Alliance gr'ce à une présence avancée, légère, de quatre bataillons dans les trois pays Baltes et en Pologne, et un renforcement de ses structures de commandement ; et, d'autre part, de dialogue. Depuis 2016, le conseil Otan-Russie (COR) s'est réuni sept fois. La rencontre du 16 juillet, à Helsinki, entre les présidents Poutine et Trump s'inscrit ainsi dans les échanges normaux et réguliers entre les leaders de l'Alliance et la Russie. La menace terroriste est-elle un autre sujet de préoccupation ? L'Otan est engagée dans la défense collective. C'est notre « coeur de métier ». Ce qui est nécessaire face à l'attitude russe des dernières années, comme en Ukraine avec l'annexion illégale de la Crimée. Mais elle l'est aussi dans la lutte contre le terrorisme. Plus de 16.000 soldats sous le drapeau Otan sont déployés en Afghanistan pour aider et soutenir l'armée afghane. L'organisation prépare, en outre, une mission d'entraînement en Irak. Ce qui est une contribution à la lutte contre Daech. La Turquie pose-t-elle un problème pour l'Alliance ? La Turquie est un allié majeur et toujours actif, depuis 1952, dans nos débats. Elle est confrontée à des défis de sécurité exceptionnels du fait de sa situation stratégique et de la menace terroriste. La situation dans le nord de la Syrie a pu donner lieu à quelques tensions. Actuellement, il y a cependant une feuille de route américano-turque sur la Syrie, et les tensions et les incompréhensions sont moins perceptibles. https://www.lesechos.fr/monde/enjeux-internationaux/0301937638238-camille-grand-tous-les-allies-de-lotan-augmentent-leurs-depenses-de-defense-2191399.php

  • Turkey eyes new markets for exports

    September 24, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security, Other Defence

    Turkey eyes new markets for exports

    Burak Ege Bekdil ANKARA— Turkish government officials and industry executives are hoping to find new sales in what they see as emerging export markets in Pakistan, Bangladesh and Afghanistan. “These are promising markets for Turkish manufacturers,” said one senior procurement official. A Turkish diplomat familiar with the three countries said that “smooth, friendly, problem-free political relations” with all three Asian countries promise export deals for Turkish companies. “As more Turkish-made systems become combat-proven [by local use], interest from those countries will increase,” he said. Hakan Kurt, chairman of Capital Exhibition, calls Pakistan, Bangladesh and Afghanistan as “hot markets” for Turkish defense and aerospace industries. Capital Exhibition organizes Defence Port Turkey South Asia. “Turkish manufacturers do not have the problem of ‘lack of sellable platforms' like they had a decade ago,” Kurt said. Kurt expects that Turkish defense and aerospace exports to the three Asian countries could reach $5 billion in the next 10 years. Turkey's overall defense exports stood at $2.74 billion in 2019, down from the official target of $3 billion. A defense specialist in Ankara advised caution about Asian markets. “These countries need hardware. They have good political ties with Turkey. But their economies are often cash-strapped. Turkey may also have licensing problems in any potential export deal as it depends on foreign technology for local production,” he said. In 2018, Turkish Aerospace Industries (TAI) signed a $1.5 billion agreement to sell a batch of 30 T129 attack helicopters to Pakistan. But the deal has not moved forward as TAI has failed to secure U.S. export licenses for the contract. The T129 is a twin-engine multirole attack helicopter produced under license from the Italian-British company AgustaWestland. It's powered by two LHTEC T800-4A turboshaft engines. Each engine can produce 1,014 kilowatts of output power. The T800-4A is an export version of the CTS800 engine. LHTEC, the maker of the engine, is a joint venture between the American firm Honeywell and the British company Rolls-Royce. The defense specialist said that most likely Turkish hardware to go into Pakistan, Bangladesh and Afghanistan would include naval vessels and patrol boats (except Afghanistan), smart ammunition, drones and armored vehicles. https://www.defensenews.com/global/2020/09/23/turkey-eyes-new-markets-for-exports/

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