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October 31, 2023 | International, Aerospace, Naval, C4ISR

Britain unveils details on AI defense programs

One involved a beach-landing exercise, while the other looked at helicopter maintenance.

https://www.defensenews.com/artificial-intelligence/2023/10/31/britain-unveils-details-on-two-ai-defense-programs/

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  • German brigade entering Lithuania is a welcome change for NATO

    July 10, 2024 | International, Land, Security

    German brigade entering Lithuania is a welcome change for NATO

    Opinion: Lithuania, Latvia and Estonia are the NATO member states with the most pressing need for additional assets capable of deterring Russia.

  • An ocean apart: Few naval vendors manage to pierce US and European protectionism

    January 15, 2019 | International, Naval

    An ocean apart: Few naval vendors manage to pierce US and European protectionism

    By: Tom Kington , Andrew Chuter , and Sebastian Sprenger ROME, LONDON and COLOGNE, Germany — The U.S. and European shipbuilding industries lead largely separate lives against the backdrop of a massive Asian naval buildup, but some trans-Atlantic projects still manage to thrive. The building of warships has always been a prime example of nations nurturing a highly specialized industry deemed so crucial that outside economic forces cannot be allowed to intervene. And while some European nations have begun to think about pooling shipbuilding forces on the continent, analysts and industry executives in Europe say the wall separating the U.S. and European naval markets remains high. Barring missile launchers and the Aegis combat management system, U.S. firms have not grabbed a large slice of naval work in Europe, and no change is on the horizon, according to Peter Roberts, director of military sciences at the Royal United Services Institute in London. “Warships are historically linked to national power, and if you stop building them you are no longer seen as a great power — you are at the bidding of others,” Roberts said. “The Spanish, the British, the French — they haven't given up shipbuilding, even if they were better off buying off the shelf, and we are unlikely to see a reduction of yards in Europe,” he added. At the same time, the U.S. market has been relatively closed off to European shipbuilders, though there is a chance that could change somewhat with the Navy's Future Frigate program. “It's a bit like two different planets,” said Sebastian Bruns, head of the Institute for Security Policy at Kiel University in northern Germany. The reflex to buy only American-made warships is especially strong in the current political climate, he added. The sheer number of ships needed on each side of the Atlantic creates a natural differentiator, according to Bruns, who spent time working U.S. naval policy as a House staffer on Capitol Hill. He said the Navy tends to prefer no-frills designs made for maximum war-fighting power in a great powers competition, while Europeans have taken to building vessels with a kind of peace-maintenance role in mind, affording a greater level of automation and comfort for the crew, for example. One British naval executive, who spoke on condition of anonymity, said the lack of trans-Atlantic industrial touch points wasn't limited to market access, arguing that cost-effectiveness was also an issue. “Despite the problems we have and the programs that don't go exactly according to plan ton for ton and capability for capability, the U.K. manages to build and deliver surface ships at a much lower cost than the United States,” he said. “The U.S. shipyards know they would have difficulty competing in the region, particularly if you are talking about yards that have built a good track record. Naval Group, Fincantieri, Damen Shipyards, ThyssenKrupp Marine Systems — these are yards that have been competitive and build with export experience behind them. They are already ahead of the game and I do think it comes back to the cost base, I think it is difficult for the United States to build as cost-effectively as the Europeans,” the executive argued. Full article: https://www.defensenews.com/global/europe/2019/01/14/an-ocean-apart-few-naval-vendors-manage-to-pierce-us-and-european-protectionism

  • Thales inaugure un hub Innovation et un Digital Competence Center à Toulouse

    January 3, 2019 | International, C4ISR

    Thales inaugure un hub Innovation et un Digital Competence Center à Toulouse

    MARINA ANGEL Dans la foulée de sa Digital Factory, qui après Paris, vient de s'installer à Montréal et Singapour, le groupe Thales vient de se doter à Toulouse d'un nouveau hub d'innovation et d'un Digital Competence Center. De nouveaux outils pour accélérer la transformation digitale du groupe, qui pourraient bientôt être dupliqués au sein d'autres sites du groupe. Le groupe Thales vient d'inaugurer à Toulouse, ce 19 décembre 2018, un nouveau hub Innovation et un Digital Competence Center. Deux nouveaux outils destinés à accélérer sa stratégie de transformation digitale au plus près de ses équipes de développement et avec une volonté de renforcer ses coopérations avec l'éco-système régional.Les deux structures sont hébergées dans un espace dédié de 1 500 m2, au cœur du site avionique toulousain de Thales, où quelque 950 personnes (principalement des ingénieurs) travaillent notamment sur le développement de systèmes et de solutions pour les cockpits et les cabines des avions du futur. "L'objectif est de développer en région de nouvelles méthodes d'innovation et d'amplifier une dynamique déjà bien amorcée avec la création de notre Digital Factory", annonce Gil Michielin, directeur général des activités avioniques mondiales de Thales. PRIORITÉ À L'AVION CONNECTÉ ET PLUS AUTONOME Créée en juin 2017 à Paris, l'équipe de la Digital Factory de Thales occupe déjà 250 spécialistes principalement en intelligence artificielle, big data et cybersécurité, recrutés à la fois au sein du groupe et en externe, dont la mission est d'accélérer la transformation digitale du groupe en appliquant toutes les recettes de l'open innovation et du travail collaboratif. Des relais, les "Digital Champions", ont été désignés au sein des différents sites du groupe et par métier, pour faire émerger des besoins utilisateurs et les soumettre aux équipes de la Digital Factory qui travaillent ainsi pour le compte de toutes les entités du groupe."Nous montons des équipes très agiles de 3 à 8 personnes, qui s'engagent à livrer des premiers MVP (Minimum Viable Product) dans un délai très court de 4 mois maximum", explique Olivier Flous, directeur de la Digital Factory. Le concept a déjà fait ses preuves. "Nous avons à notre actif le développement d'une vingtaine de MVP avec pour certains des premiers déploiements en cours", précise Olivier Flous. Dotée d'un budget de 150 millions d'euros sur trois ans, la Digital Factory dispose aujourd'hui de deux nouvelles bases à Montréal, au Canada et à Singapour. Avec son propre hub Innovation et son nouveau Digital Competence Center, le site de Toulouse se dote à son tour de ses propres espaces collaboratifs, avec une spécificité régionale. "A Toulouse, l'accent sera mis tout particulièrement sur l'avion connecté et l'autonomie", précise Gil Michielin. FAIRE ÉMERGER DE NOUVEAUX PROJETS Le hub Innovation et le Digital Competence Center ont la même ambition de faire émerger de nouveaux projets, à la fois en s'appuyant sur les expertises de la Digital Factory, en valorisation le savoir-faire des équipes de R&D toulousaines et en favorisant de nouvelles coopérations avec les entreprises du territoire régional, notamment en direction des PME et des start-up. "Nous avons conçu ces nouveaux espaces pour faire émerger de nouveaux projets, mais aussi pour accompagner leur développement et leur déploiement", insiste Gil Michielin. Il s'agit à la fois de booster les équipes toulousaines du groupe pour développer en interne de nouvelles méthodes d'innovation et de s'ouvrir en direction de clients ou de partenaires, dans une dynamique d'open innovation. Un premier challenge toulousain sur la cybersécurité vient ainsi d'être organisé, associant des équipes de Thales, des ingénieurs d'Airbus et de Latécoère, mais aussi de sociétés régionales, telles que Pole Star ou iTrust. "En parallèle, nos équipes sont allées à la rencontre d'une centaine de startups toulousaines et en ont identifié environ 25, avec lesquelles nous serions susceptibles de développer de nouveaux projets", indique par ailleurs Laurent Lenoir, directeur du site avionique de Thales à Toulouse. ACCÉLÉRER LE DÉPLOIEMENT DE NOUVEAUX CONCEPTS L'objectif est de faire émerger de nouveaux projets, mais aussi d'accompagner des projets issus d'autres sites et de les amener jusqu'au développement commercial. Après une première phase pilote conduite sur son site de Chatellerault (Vienne), le groupe a ainsi décidé de transférer à Toulouse, le projet "PartEdge", issu initialement d'un MVP identifié par les équipes de la Digital Factory. Le projet porte sur le développement d'un nouveau système de gestion de pièces de rechange pour les équipements aéronautiques. Pour répondre aux attentes des compagnies aériennes et contribuer à réduire une des causes d'immobilisation au sol des avions commerciaux, PartEdge veut créer une marketplace où les compagnies pourront trouver en temps réel la bonne pièce, au bon prix et dans les meilleurs délais. L'objectif est maintenant de changer d'échelle et d'accompagner le projet jusqu'à sa maturité commerciale. Le Digital Competence Center est aussi déjà impliqué dans un projet industrie 4.0 visant à améliorer des process de production de calculateurs et de capteurs. DUPLIQUER L'INITIATIVE SUR D'AUTRES SITES DU GROUPE Une trentaine d'ingénieurs travaillent déjà au sein du Digital Competence Center de Toulouse, conçu pour accueillir jusqu'à une centaine de personnes. Cet espace sera probablement amené à grandir, mais aussi à être dupliqué sur d'autres sites du groupe. Un Digital Competence Center devrait ouvrir prochainement ses portes à Mérignac, en Gironde. Le concept pourrait ensuite essaimer au sein du groupe. "En injectant dans notre organisation des structures agiles et en migrant le développant de projets sur des plates-formes conçues pour libérer la capacité de créativité et d'innovation, nous contribuons aussi à l'attractivité de nos sites", remarque aussi Gil Michielin. Le groupe, qui emploie 4 500 salariés à Toulouse, avec, outre l'avionique, des sites et des équipes impliqués dans le spatial, la sécurité et la défense), a recruté cette année 150 personnes et table sur un niveau de recrutement similaire pour 2019. MARINA ANGEL https://www.usine-digitale.fr/article/thales-inaugure-un-hub-innovation-et-un-digital-competence-center-a-toulouse.N786814

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