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October 10, 2023 | International, Land

Biden vows US resolve to back Israel as USS Ford enters region

The White House confirmed it has already begun delivering critically needed munitions and military equipment to Israel.

https://www.defensenews.com/management/leadership/2023/10/10/biden-vows-us-resolve-to-back-israel-as-uss-ford-enters-region/

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  • Le voie est ouverte pour une votation sur les jets de combat

    June 27, 2019 | International, Aerospace

    Le voie est ouverte pour une votation sur les jets de combat

    KEYSTONE/EDDY RISCH La voie est ouverte pour une votation sur les avions de combat. Le Conseil fédéral a remis mercredi au Parlement son projet d'arrêté attaquable par référendum. La facture est de six milliards. Les exigences pour les affaires compensatoires ont été revues à la baisse. Quatre jets sont sur les rangs. De ce côté-ci de l'Atlantique, on retrouve le Rafale français (Dassault) et l'européen Eurofighter (Airbus). S'y ajoutent deux avions américains: le successeur du FA-18, le Super Hornet de Boeing, et le F-35A de Lockheed-Martin. Le Gripen E suédois (Saab) n'est plus dans la course depuis deux semaines. Les Suisses ne voteront pas sur le modèle d'avion mais uniquement sur le principe de l'achat. Le Conseil fédéral se prononcera sur le type de jet après le scrutin populaire, qui devrait avoir lieu en septembre ou en novembre 2020. Le recours aux urnes est une attente dont il faut tenir compte sur le plan politique, selon le gouvernement. Les deux derniers projets d'achats de jets avaient été marqués par un scrutin populaire. L'acquisition de F/A-18 avait été rendue possible après l'échec en 1993 de l'initiative populaire s'y opposant. L'achat de Gripen a été rejeté en 2014 après un référendum contre le fonds qui aurait dû être mis sur pied pour le financer. A la mi-mai, la ministre de la défense Viola Amherd avait déjà exposé la marche à suivre pour les nouveaux jets. Elle avait alors revu et corrigé le projet d'arrêté de planification lancé par son prédécesseur Guy Parmelin. Seulement les avions Plus question désormais d'impliquer aussi l'achat d'un système de défense sol-air de longue portée, qui se fera dans le cadre des programmes d'armement ordinaires. L'arrêté précise toutefois que l'acquisition des jets sera coordonnée, sur le plan technique et du point de vue du calendrier, avec la défense sol-air. Dans un rapport, l'expert, ancien spationaute et pilote militaire Claude Nicollier plaidait pour l'acquisition d'une quarantaine d'avions ainsi que pour un système de défense sol-air de longue portée pouvant couvrir environ 15'000 km2. Soit une facture totale de 9 milliards. Le gouvernement en reste à son plafond de 8 milliards. L'arrêté de planification ne comporte que le volume de financement maximal pour les avions, soit 6 milliards. Un volume inférieur compromettrait la taille de la flotte. Prévoir davantage ne laisserait pas de cadre financier suffisant pour le système de défense sol-air, selon Viola Amherd. Affaires compensatoires Le Conseil fédéral est surtout revenu sur ses exigences en matière d'affaires compensatoires. Les entreprises étrangères qui se voient confier des mandats dans le cadre de l'acquisition des jets devront compenser 60% de la valeur contractuelle par l'octroi de mandats en Suisse, dont 20 % directement et 40 % indirectement dans le domaine de la base technologique et industrielle en lien avec la sécurité. Dans un rapport, l'ancien directeur du Contrôle fédéral des finances Kurt Grüter s'était montré sceptique face à une compensation à 100%, qui enfreindrait le principe de la liberté du commerce et de l'industrie. Pour lui, les compensations ne doivent être utilisées que pour renforcer la base technologique et industrielle suisse et il est impossible de compenser intégralement un volume de 6 à 7 milliards. Une exigence moindre en affaires compensatoires pourrait aussi faire baisser le prix des avions, a reconnu Viola Amherd. D'ici 2030 Pour le reste, l'arrêté précise que la mise en service des nouveaux avions de combat doit être achevée d'ici à fin 2030. Et que leur acquisition est proposée à l'Assemblée fédérale dans le cadre d'un programme d'armement. Le Conseil fédéral en profite pour souligner qu'il faut que l'armée puisse protéger la Suisse, à l'avenir aussi, contre des attaques aériennes, qu'elles soient menées par des forces armées ou par des groupes terroristes. Cette protection est cruciale. Les avions de combat actuels (30 F/A-18 et 26 Tigers) arriveront à la fin de leur durée d'utilisation au plus tard vers 2030. S'ils ne sont pas remplacés à temps, l'armée ne pourra plus remplir sa mission. Le projet d'acquisition s'étendra sur plus de dix ans. https://www.swissinfo.ch/fre/le-voie-est-ouverte-pour-une-votation-sur-les-jets-de-combat/45057728

  • Italy to buy drones to keep company alive, but the Air Force doesn’t want them

    April 29, 2019 | International, Aerospace

    Italy to buy drones to keep company alive, but the Air Force doesn’t want them

    By: Tom Kington ROME — The Italian government said it will purchase the troubled P.1HH drone from Italy-based Piaggio Aerospace as it seeks to keep the firm afloat, despite an apparent lack of interest in the platform from the Italian Air Force. The Ministry of Economic Development announced April 24 the acquisition of four drones, which are unmanned variants of the firm's P180 business aircraft. Confirming the purchase, the Defence Ministry said the purchase would serve the “operational needs” of the Italian armed forces and protect the “strategic value” of the company, while strengthening Italy's credentials as a partner in the pan-European EuroMALE drone program. The Ministry of Economic Development added that future purchases would follow, with an industrial source telling Defense News another four drones would be bought. Piaggio Aerospace was placed in receivership late last year by then-owner Mubadala, an investment fund based in the United Arab Emirates, which also canceled its planned order of eight Piaggio P.1HH drones. One reported reason for Mubadala's decision was its impatience as Italy dragged its heels on promises to buy an enhanced version of the drone, preferred by the Italian Air Force and known at the P.2HH. As Italy's parliamentary defense commission dragged its heels on approving the P.2HH order last year, Mubadala pulled the plug on the firm, even as work on its order of P.1HH drones was nearing completion. The decision put hundreds of jobs at Piaggio in jeopardy and left the firm with incomplete P.1HH drones. In March, Italian Air Force chief Gen. Alberto Rosso told Italy's parliament he was not interested in buying them, adding to speculation the drone program was dead. But he appears to be have been overruled, as Italy's government seeks to save jobs at the company. The industrial source said the four drones set to be purchased by Italy for the Air Force, plus the further four to be bought in the future, would be those originally destined for the UAE. One drone that had already been delivered to the UAE could now be returned for delivery to the Italian Air Force. The source said €70 million (U.S. $78 million) will be spent by the Italian Defence Ministry to achieve flight certification for the drones, which is expected to take between 12 and 18 months. Maintenance work and construction of the P180 will also now continue. The deal will allow a revived Piaggio to avoid layoffs and to find an “industrial partner,” the Ministry of Economic Development said. That could be Italy's Leonardo, although CEO Alessandro Profumo this month told Defense News he was only interested in Piaggio's engine maintenance activity. https://www.defensenews.com/unmanned/2019/04/26/italy-to-buy-drones-to-keep-company-alive-but-the-air-force-doesnt-want-them

  • Une législation américaine bloque la vente de «Rafale» à l'Egypte par la France

    February 20, 2018 | International, Aerospace

    Une législation américaine bloque la vente de «Rafale» à l'Egypte par la France

    L'information a été révélée par le journal économique français La Tribune. Une nouvelle vente de « Rafale » en Egypte serait bloquée à cause des Etats-Unis. Washington brandit sa législation sur les exportations d'armement pour compromettre la vente de missiles de croisière européen « Scalp » que l'armée égyptienne souhaite à tout prix monter sur ses « Rafale ». Jusqu'à la révolution égyptienne, Le Caire était un très bon client des Etats-Unis, mais les Français et les Russes ont effectué depuis une impressionnante percée dans ce pays. Les autorités françaises essayeraient donc de trouver un arrangement avec les Américains, pour qu'ils autorisent l'exportation vers l'Egypte, de composants fabriqués aux Etats-Unis entrant dans la fabrication de missiles européens. C'est l'un des arguments de poids, des industriels de l'armement sur le vieux continent. « Acheter Européen, pour se soustraire à la domination américaine ». Mais les choses ne sont pas si simples, car les Etats-Unis disposent d'une carte maitresse dans leur jeu, la norme ITAR (International Traffic in Arms Regulation) destinée à réguler leurs ventes d'armes dans le monde. Le problème, c'est qu'elle ne concerne pas uniquement les matériels fabriqués aux Etats-Unis, mais qu'elle peut s'appliquer à tout système d'arme étranger incorporant un composant américain. Dans le cas de l'Egypte, Washington s'offusquerait de la vente de missiles MBDA Scalp assemblés dans une usine du Loir-et-Cher dans le centre de la France mais dans lesquels se cachent des éléments fabriqués aux Etats-Unis. Il s'agit souvent de petites puces électroniques. La question s'était déjà posée quand la France voulait vendre des Rafale au Brésil, mais cela n'avait finalement pas pesé significativement sur la négociation. Joint par RFI, le Groupe Dassault certifie qu'il n'y a pas de composants américains dans ses avions de combat, mais qu'il y en a effectivement dans les missiles de croisières qu'emporte le Rafale. L'application de la norme ITAR, n'est toutefois pas toujours aussi rigide. Sous l'administration Obama, la France n'avait pas eu trop à s'inquiéter des blocages de Washington pour vendre des armes au Moyen-Orient mais avec Donald Trump la donne est différente. http://www.rfi.fr/economie/20180216-une-legislation-americaine-bloque-vente-rafales-egypte-france

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