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July 25, 2023 | International, Land, Other Defence

BAE Systems unveils $1.9 billion economic impact of ground vehicle and weapon systems network

Through operations at its 12 sites, BAE Systems’ ground vehicle, amphibious vehicle and weapon systems product lines contributed to local families and economies by providing more than 5,000 jobs and...

https://www.epicos.com/article/768974/bae-systems-unveils-19-billion-economic-impact-ground-vehicle-and-weapon-systems

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  • A la recherche de l'IA hybride

    April 3, 2020 | International, Aerospace

    A la recherche de l'IA hybride

    Vice-président recherche, technologie, innovation du groupe Thales, David Sadek intervenait jeudi 24 octobre à Toulouse au Forum Innovation IA, un événement organisé par Sciences et Avenir pour le groupe Challenges. Explicabilité, validité, intégrité... " Pour une IA de confiance " : c'était l'intitulé de l'intervention de David Sadek, le vice-président recherche, technologie, innovation du groupe Thales. "Nous aimerions tous pouvoir toujours faire confiance à tous nos outils technologiques. Mais en réalité tout dépend du contexte. Dans le cas des outils reposant sur l'IA, si Netflix me recommande un film que je trouve détestable, ce n'est pas bien grave, on s'en remettra. Mais dans le cas des systèmes critiques tels que l'on en conçoit régulièrement chez Thales pour des applications défense, espace et aéronautique, la question de la confiance est primordiale". David Sadek énonce trois impératifs, qui sont autant d'axes stratégiques de la feuille de route IA chez Thales, pour aller vers cette " IA de confiance ". Pour qu'une application de l'IA soi digne de confiance, il faut d'abord qu'elle soit capable d'expliquer. Si elle se contente de proposer ou décider sans être capable de dire pourquoi et comment elle est arrivée à cette proposition ou décision, la défiance s'installera. Elle doit donc être capable de répondre à la question : " Pourquoi ? ". "Si par exemple un copilote IA recommande au pilote humain de virer à 45°, et que ce dernier demande " pourquoi ", le copilote doit pouvoir répondre par exemple : " parce qu'il y a un problème météo (ou une menace ...) droit devant ". Il ne s'agit pas de simplement tracer la décision, de pouvoir indiquer à ses concepteurs quels neurones, quelles couches de neurones, ont fait pencher la balance dans un sens ou un autre, mais bien d'expliquer dans une langue compréhensible immédiatement par le pilote". Ce qui indique qu'à l'aspect intelligence artificielle s'ajoute celui de " l'interaction homme-machine ". IA connexionniste et IA symbolique Cela implique, en restant sur cet exemple, une capacité de compréhension et de génération du langage naturel. Mieux, le pilote appréciera de pouvoir dialoguer dans un langage mixte, reposant sur l'oral et le geste (pour désigner un point sur une carte, etc.). Deuxième impératif selon David Sadek : il faut pouvoir démontrer la validité d'une application de l'IA. C'est-à-dire sa conformité aux spécifications. "Le système développé doit faire tout ce l'on attend de lui et rien que ce que l'on attend de lui. Ce qui suppose que l'on sache spécifier très proprement". On connait l'exemple d'un jeu de bataille navale, un " serious game " destiné à former des officiers de la marine, qui gagnait à tous les coups, parce qu'il sacrifiait systématiquement chaque vaisseau touché, pour ne pas ralentir la flotte. Aucune règle ne prévoyait, n'interdisait ce cas de figure, passablement inacceptable. Troisième impératif pour une " IA de confiance ", selon David Sadek, la responsabilité des systèmes reposant sur l'IA. C'est-à-dire leur conformité aux cadres légaux, réglementaires et moraux. On connait le tendon d'Achille des réseaux de neurones : ce sont des boîtes noires, on voit ce qui entre et ce qui sort, mais on ne sait pas (trop) ce qu'il se passe à l'intérieur. C'est pourquoi David Sadek insiste sur le fait qu'il faut s'intéresser aussi à " l'autre IA ", l'IA symbolique, celle qui repose sur des règles et des raisonnements et qui s'oppose à l'IA connexionniste des réseaux de neurones. Cette IA symbolique, qui fait moins les gros titres, qui n'a pas connu les progrès fulgurants de l'IA des réseaux de neurones, est plus à même de répondre à ces trois exigences : expliquer, valider, responsabilité. C'est pourquoi la réponse à cette triple exigence passe sans doute, entre autres, par " l'IA hybride ", une IA tirant parti de ces deux branches de l'intelligence artificielle. Par Pierre Vandeginste https://www.sciencesetavenir.fr/high-tech/intelligence-artificielle/ia-pvdg_138526

  • ATHENA Successfully Defends Drone Threat

    November 7, 2019 | International, Aerospace

    ATHENA Successfully Defends Drone Threat

    FORT SILL, Okla., Nov. 7, 2019 /PRNewswire/ -- Lockheed Martin (NYSE: LMT) recently demonstrated their laser weapon system for the U.S. Air Force at a government test range at Fort Sill, Oklahoma, where the system successfully engaged and shot down multiple fixed wing and rotary drones. The Advanced Test High Energy Asset (ATHENA) operated in a fully-netted engagement environment with a government command and control (C2) system and radar sensor. The radar track was provided to airmen who operated ATHENA via cues from the C2, then ATHENA's beam director slewed, acquired, tracked and defeated the drone with a high-energy laser. Validating this type of full kill-chain performance has been a priority of the U.S. Air Force and other branches of the Department of Defense, and it remains a requirement for laser weapons to be effective against unmanned aerial systems (UAS) on the battlefield. "We've watched in recent news this type of laser weapon solution is essential for deterring unmanned vehicle type threats, so it's an exciting time for us to watch airmen compete Lockheed Martin's critical technology. ATHENA has evolved to ensure integration and agility are key and it remains an affordable capability for the warfighter," said Sarah Reeves, vice president of Missile Defense Programs for Lockheed Martin. The ATHENA system was developed by Lockheed Martin to integrate seamlessly and provide a cost-effective, complementary anti-drone capability with the network of systems the warfighter is already using. ATHENA was operated by USAF personnel during this demonstration, and it was able to destroy multiple drones in engagements representative of what is being encountered by U.S. armed forces today. The ATHENA high-energy laser system is transportable and therefore enables the Air Force to emplace it anywhere they need to defend bases and high-value assets. For additional information, visit our website: www.lockheedmartin.com/DE About Lockheed Martin Headquartered in Bethesda, Maryland, Lockheed Martin is a global security and aerospace company that employs approximately 105,000 people worldwide and is principally engaged in the research, design, development, manufacture, integration and sustainment of advanced technology systems, products and services. SOURCE Lockheed Martin https://news.lockheedmartin.com/2019-11-07-ATHENA-Successfully-Defends-Drone-Threat

  • US Air Force readies to award collaborative combat aircraft deals

    February 13, 2024 | International, Aerospace

    US Air Force readies to award collaborative combat aircraft deals

    This next round of collaborative combat aircraft development could involve the U.S.’s closest and “most strategic” international partners, Kendall said.

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