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October 30, 2019 | International, Aerospace

BAE Systems to Develop Advanced Decoy Countermeasures to Protect Aircraft From Future Threats

October 28, 2019 - BAE Systems announced a $36.7 million contract from the U.S. Navy to develop and demonstrate a next-generation, dual band Fiber-Optic Towed Decoy (FOTD) to protect aircraft and pilots from advanced threats.

This press release features multimedia. View the full release here: https://www.businesswire.com/news/home/20191028005081/en/

BAE Systems' FOTDs are radio-frequency countermeasure systems that provide robust self-protection capabilities for any aircraft, including fighters, bombers, and transports. The company's Dual Band Decoy development work is intended to expand the capabilities of its combat-proven AN/ALE-55 FOTD.

“Our towed decoys enable pilots to execute missions in highly contested airspace,” said Tom McCarthy, Dual Band Decoy Program Director at BAE Systems. “ALE-55 FOTD is a reliable, high-powered jamming system with years of mission success on the F/A-18E/F and extensive flight-testing on a variety of aircraft. Under this new Dual Band Decoy contract, our focus will be building upon the ALE-55's proven performance in order to defeat the threats of tomorrow.”

The primary role of the decoy is to protect the warfighter by luring threat missiles away from the aircraft. The decoy also combines techniques that disrupt adversaries' radar, preventing missile launch from occurring. Much like the ALE-55 FOTD, the Dual Band Decoy will interface with onboard electronic warfare (EW) equipment, but it can also operate independently, enhancing its effectiveness against current and future threats.

BAE Systems recently celebrated the production of its 3,000th ALE-55 FOTD unit – a milestone that builds on the company's leadership and technical strength in EW. The Dual Band Decoy engineering work will be performed at the company's facilities in Nashua, New Hampshire and will leverage the company's existing technologies and expertise.

DISTRIBUTION STATEMENT A: Approved for public release. Distribution is unlimited, as submitted under NAVAIR Public Release Authorization 2019-790

Contacts

Mark Daly, BAE Systems
Mobile: 603-233-7636
mark.g.daly@baesystems.com
www.baesystems.com/US
@BAESystemsInc

View source version on businesswire.com: https://www.businesswire.com/news/home/20191028005081/en/

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Objectif: développer un démonstrateur d'ici 2026 -- pour un coût estimé entre 2 et 3 milliards d'euros -- avant une entrée en service en 2040 de ce système associant avion de combat, drones, futurs missiles de croisière et drones évoluant en essaim. Pour le char, "les industriels préparent une offre pour l'étude d'architecture à horizon de l'été", indique-t-on de source gouvernementale française. Pour continuer à avancer, reste à venir à bout des inquiétudes et grincements de dents de part et d'autre du Rhin. Parmi les motifs de friction figure le partage des compétences de pointe censées alimenter ces grands programmes communs d'armement. En France, où le groupe Dassault a conduit seul le programme-phare du Rafale, certains ne cachent pas leur méfiance. "Il ne faudrait pas que les Allemands profitent de cette coopération pour chiper notre savoir-faire stratégique", glisse-t-on de source proche du dossier. 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C'est normal que ça tiraille, derrière il y a des enjeux financiers et de compétences industrielles", relativise-t-on à Paris, où l'on préfère vanter "la rapidité" avec laquelle un projet de cette ampleur s'est mis en route. Autre obstacle à franchir: la question des conditions d'exportation des armements, objet de frictions ouvertes entre Paris et Berlin. Depuis l'assassinat fin 2018 du journaliste saoudien Jamal Khashoggi à Istanbul, le gouvernement allemand a décidé de geler les exports d?armes à destination de l'Arabie Saoudite, client controversé de l'industrie française de défense. Une décision vertement critiquée par Emmanuel Macron, puis par l'ambassadrice de France en Allemagne, qui a déploré fin mars "la politisation croissante du débat allemand sur les exportations d'armements", susceptible selon elle de "faire peser un risque sur la coopération de défense européenne". 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