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September 30, 2019 | International, Naval, Land

BAE awarded $50.3M for nuclear missile work for U.S., Britain

ByTauren Dyson

Sept. 26 (UPI) -- BAE Systems Technology Solutions and Services has received a new contract for services on the nuclear weapon systems aboard U.S. and British submarines.

The $50.3 million contract, the Department of Defense announced Wednesday, covers services on Trident II D5 strategic weapon system programs, submarine guided-missile attack weapons systems, nuclear weapon surety and future concepts for both nations.

In early-September, the Navy launched four unarmed test Trident II missiles off the coast of Southern California as part of a Commander Evaluation Test to gauge performance expectation of the Trident II strategic weapon system.

The Trident II D5 strategic weapon system is equipped aboard Ohio-class submarines and carries up to 24 missiles. The Polaris Sales Agreement requires the system to be aboard the Vanguard-class submarines used by the U.K. Navy, as well.

The Trident missiles have a range of 4,000 nautical miles capable of carrying multiple W76-Mk4/Mk4A or W88-Mk5 reentry bodies. They were initially planned to be phased out of use by 2024 but the system went through a life-extending program to keep them operational through the 2040s.

Work under the new contract is expected to be completed by Sept. 30, 2020.

https://www.upi.com/Defense-News/2019/09/26/BAE-awarded-503M-for-nuclear-missile-work-for-US-Britain

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  • Drones militaires : la Cour des comptes pointe les échecs français

    February 26, 2020 | International, Aerospace

    Drones militaires : la Cour des comptes pointe les échecs français

    Projets européens avortés, achats de matériels américains, retards multiples : les armées peinent à s'équiper de systèmes aériens téléopérés. Par Guerric Poncet Dès 1964, les armées françaises ont expérimenté de premiers modèles de drones. Mais plus d'un demi-siècle après, force est de constater que la France est à la traîne, et pas qu'un peu. Si on la compare avec des États de même rang militaire, comme le Royaume-Uni par exemple, le constat est sans appel : Paris aligne cinq drones Reaper (armés depuis fin 2019) et quelques dizaines de drones tactiques et légers, là où Londres dispose de dix drones Reaper (armés depuis 2007), d'une cinquantaine de drones tactiques et de plusieurs centaines de drones légers. Dans son rapport public 2020, la Cour des comptes pointe cette défaillance majeure, expliquant que « la France a tardé à tirer les conséquences de l'intérêt des drones dans les opérations militaires modernes ». Pour les sages, « l'effet conjugué des mésententes entre industriels, du manque de vision prospective des armées et des changements de pied des pouvoirs publics ont eu pour conséquences, dommageables et coûteuses, de prolonger la durée de vie de matériels vieillissants ». Ils ont aussi « conduit à l'acquisition de matériels américains aux conditions d'utilisation contraignantes et restrictives ». Ainsi, les premiers drones Reaper acquis en 2013 par la France pour répondre à l'urgence opérationnelle dans la bande sahélo-saharienne ont été prélevés sur des lignes d'assemblage destinées aux forces américaines. Ils ont donc fait l'objet de restrictions d'utilisation drastiques qui ont beaucoup compliqué leur début de vie opérationnelle. Par exemple, leur déploiement hors d'Afrique subsaharienne étant verrouillé, « pour rapatrier un vecteur aérien de Niamey à Cognac (où se situe l'escadron de drones 1/33 Belfort, qui opère les Reaper), un accord américain préalable, attendu de longs mois, a été nécessaire », racontent les sages. 2 % du budget des programmes d'armement « Les investissements liés aux programmes d'acquisition se sont accélérés ces dernières années, surtout depuis 2015, mais restent encore limités (...) en termes d'efficacité et de coûts », soulignent les sages, en référence notamment aux longues négociations entre les industriels européens et le ministère des Armées, qui juge les programmes excessivement coûteux et répète qu'il ne signera pas tant que les tarifs n'auront pas été revus nettement à la baisse. Mais l'appétit des industriels n'est pas le seul problème : « rapportés aux investissements annuels du ministère des Armées dans les programmes d'armement sur la période récente, les montants totaux dédiés aux drones n'ont jamais représenté plus de 2 % de l'effort global », explique aussi le rapport. Pour ne pas être éjecté des grandes puissances aériennes mondiales, il va donc falloir changer de braquet sur les drones. « L'important investissement, de l'ordre de 800 millions d'euros, réalisé pour acheter des drones américains, n'est que la première étape d'efforts financiers conséquents à venir », prévient le texte, qui pointe en particulier le retard pris par la Marine nationale dans le domaine des drones aériens, en raison des arbitrages effectués par le ministère notamment. « Les besoins (de la marine, NDLR) sont portés par la surveillance maritime de la deuxième plus vaste zone économique exclusive (ZEE) au monde, après celle des États-Unis », rappelle la Cour, qui espère l'aboutissement rapide d'un « système de drones tactiques à décollage et atterrissage vertical ». Les marins devraient être équipés d'un drone par navire d'ici 2030, mais en l'absence d'un programme suffisamment avancé à dix ans de cette échéance, la promesse semble difficile à tenir... sauf à acheter, de nouveau, hors d'Europe. « Des résistances d'ordre culturel » chez les aviateurs Le rapport relève aussi les nombreux échecs de projets européens de drones MALE (moyenne altitude, longue endurance) comme EuroMALE, Advanced UAV/Talarion ou Telemos, et les « difficultés qui s'amoncellent » pour le nouveau programme MALE en cours de développement. Pour les quatre pays partenaires (Allemagne, Espagne, France et Italie), ce dernier projet « présente des enjeux stratégiques qui vont largement au-delà de l'acquisition des matériels », car son succès ouvrira ou fermera les vannes de la coopération — et donc de la souveraineté – européenne dans le domaine. Pour le ministère des Armées français, les négociations doivent être bouclées début 2020, pour une notification du contrat mi-2020, car la situation est critique. « Il serait difficilement compréhensible qu'en 2028, les armées françaises ne soient pas dotées d'équipements aussi performants que ceux d'ores et déjà disponibles sur le marché », martèle le ministère dans sa réponse, publiée en annexe du rapport de la Cour des comptes. Enfin, les sages pointent des problèmes qui ne sont pas directement liés aux programmes d'armement, dont « des résistances d'ordre culturel, en particulier au sein de l'armée de l'air, dans la mesure où les drones bousculent les équilibres actuels qui placent le pilote au cœur du dispositif aérien ». Avec les restrictions budgétaires, les heures de vol d'entraînement se font rares, et les missions opérationnelles sont méticuleusement réparties entre les pilotes au sein de l'armée de l'air comme de l'aéronavale : ils craignent logiquement que l'arrivée massive de drones n'empiète sur leurs platebandes. https://www.lepoint.fr/societe/drones-militaires-la-cour-des-comptes-pointe-les-echecs-francais-25-02-2020-2364337_23.php

  • Esper confirmed as new defense secretary, ending Pentagon leadership uncertainty

    July 24, 2019 | International, Other Defence

    Esper confirmed as new defense secretary, ending Pentagon leadership uncertainty

    By: Joe Gould and Leo Shane III WASHINGTON — The Senate on Tuesday overwhelmingly approved Mark Esper to be the country's 27th defense secretary, ending a wait of more than 200 days for a permanent Pentagon leader. Esper's relatively drama-free confirmation vote — 90-8 — stood in contrast to the seven months of uncertainty in the highest levels of the military's leadership. After former Defense Secretary Jim Mattis was forced out of his post early on the first day of 2019, acting Defense Secretary Patrick Shanahan helmed the department until he suddenly withdrew from consideration for the full-time job in June amid reports of domestic violence among his family members. Esper, who until then had served as Army secretary for since late 2017, bounced between that job and the acting defense secretary job over the last five weeks. Lawmakers and military officials expressed concerns over the temporary, unclear leadership in recent months, especially as other top military posts were vacated. Tuesday's vote ends the longest period the Defense Department has gone without a permanent, confirmed leader since it became a Cabinet-level agency. Senate Majority Leader Mitch McConnell, R-Ky., said ahead of the vote Tuesday that Esper is “beyond qualified” for the top military job. "His record of public service is beyond impressive,” McConnell said. “His commitment to serving our service members is beyond obvious. And the need for a Senate-confirmed secretary of defense is beyond urgent.” Senate Armed Services Committee Chairman Jim Inhofe, R-Okla., offered similar praise. “It's not very often we have someone that is enthusiastically supported by Republicans, by Democrats, and he is obviously the right person,” he said. “He has the trust of our president, the trust of our military, the trust of Congress and the country to keep our nation safe.” The only sharp opposition to Esper's nomination came from Massachusetts Democratic Sen. Elizabeth Warren, a Senate Armed Services Committee member and 2020 presidential hopeful, who grilled Esper over his ties to his former employer, Raytheon. But since President Donald Trump announced Esper's nomination last month, Democrats and Republicans have mostly offered effusive praise for Esper as the right candidate for the job. At Esper's confirmation hearing last week, Sen. Tim Kaine, D-Va., lauded Esper for hosting him and Sen. Mark Warner, D-Va., for an unvarnished look at problematic Army housing in Virginia. “That willingness to show personal accountability was very, very impressive,” Kaine said. “He's been proactive and he's been transparent. ... And I think those are trademarks of exceptional leadership.” Work ahead Esper, a West Point graduate and former Army lieutenant colonel, was vice president of government relations for Raytheon — the third-largest defense contractor in the United States — for seven years before becoming Army secretary. His most notable work leading the Army included a shake-up of the service's acquisitions portfolio. He inherits a military charged with following the National Defense Strategy's focus on competition with Russia and China but still grappling with Iran tensions, politically charged troop deployments on America's southern border and pressure from Trump to exit Afghanistan. The American Enterprise Institute's Rick Berger said the leadership vacuum after Mattis has left the Pentagon “adrift.” Esper would be wise to reset relationships with Capitol Hill and the press, who have both grumbled at a lack of engagement, he added. “The department has never been more timid about telling its story to the public or to Capitol Hill, a legacy of Secretary Mattis and his caretaker successor,” Berger said. Loren DeJong Schulman, a deputy director at the Center for a New American Security, said Esper's priorities will be to fill the department's widespread leadership vacancies, to dig into the fiscal 2021 budget process and to assert himself in decisions regarding tension with Iran. "In doing so, he has the opportunity to reorient some troubling trends in the Pentagon, such as the growing absence of transparency with the press, Hill, and American people, and the dominance of the Joint Staff in what should be political-military policy debates," she said. “Esper is also fighting a White House policy process driven by presidential tweet and instinct, without a responsible deliberate process. Like Mattis, Esper can insist on better cross-agency deliberation to develop policy ideas that support the president's objectives.” Senators will move onto the next Pentagon leadership vacancy tomorrow when they hold a confirmation hearing for David Norquist to be deputy secretary of defense. Trump has already nominated Ryan McCarthy to replace Esper as secretary of the Army. https://www.defensenews.com/news/pentagon-congress/2019/07/23/esper-confirmed-as-new-defense-secretary-ending-pentagon-leadership-uncertainty/

  • Small defense businesses see cash issues during coronavirus outbreak

    March 31, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Small defense businesses see cash issues during coronavirus outbreak

    By: Aaron Mehta WASHINGTON — More than 60 percent of small companies in the defense supply chain are seeing disrupted cash flow, according to a new survey put forth from the National Defense Industrial Association. “This survey shows how the defense lifeline runs through small business,” Hawk Carlisle, NDIA's president and CEO, said in a statement. “These companies must survive if the defense industrial base is to remain the best in the world on other side of COVID-19.” COVID-19 is a newly discovered coronavirus — a family of viruses, some of which cause disease in people and animals, named for crownlike spikes on their surfaces. As of Friday, 458 small businesses had responded to the survey, which will remain open through April 10. Fifty-five percent of respondents have less than $5 million in annual revenue, and 70 percent have less than 50 employees. Sixty-two percent of the respondents have seen disrupted cash flow as a result of the economic downturn. Primarily, those have come as cuts to billable hours or delayed payments from prime contractors because of shutdowns or telework. A lack of telework options is also an issue for contractors. Notably, 54 percent of respondents say they cannot work on a contract because they are currently under a shelter-in-place order. And optimistically, 69 percent do not expect cost overruns on fixed-price contracts as a result of the coronavirus-related disruptions. Those that do expect such overruns predict them to be in the 10-20 percent range. The results of the survey were delivered Friday to Ellen Lord, the undersecretary of defense for acquisition and sustainment. Speaking to reporters on Wednesday, Lord said she is closely watching the lower tier of the supply chain for weak spots that may appear. Last week, the Defense Department announced new measures to increase progress payments out to both small and large companies to ensure they are able to keep work moving on schedule. https://www.defensenews.com/industry/2020/03/27/small-defense-businesses-seeing-cash-issues-during-coronavirus-outbreak-survey/

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