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August 20, 2020 | International, Aerospace

Aviation firms Aero Precision, Kellstrom Defense merge

by Marc Selinger

US-based Aero Precision and Kellstrom Defense have merged their operations to form a military aircraft sustainment firm named AllClear, according to a 17 August announcement.

The combined entity, which is privately owned, supports “over 40 platforms” for the US military and allied forces. It is based in El Segundo, California, where Kellstrom was headquartered, and its CEO is Darryl Mayhorn, who previously led Aero Precision.

AllClear said it has been integrating the two companies since March, when Aero Precision, which was a parts distribution firm, acquired Kellstrom, which specialised in maintenance, repairs, and overhauls.

When the acquisition occurred, Aero Precision said the deal would streamline sustainment by creating a “new bundle of parts and services”.

https://www.janes.com/defence-news/news-detail/aviation-firms-aero-precision-kellstrom-defense-merge

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  • Coronavirus : retour au travail pour les industriels de la défense

    April 1, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Coronavirus : retour au travail pour les industriels de la défense

    L'arrêt de certaines usines a surpris nombre de militaires. Après un travail de concertation, tous les industriels ont rouvert afin d'assurer le soutien des armées. Par Anne Bauer Publié le 31 mars 2020 à 15h50Mis à jour le 31 mars 2020 à 16h06 C'est une des découvertes de la crise du coronavirus : la défense n'a pas d'obligations de production particulières par rapport à d'autres secteurs . De quoi surprendre les commandants militaires. Aussitôt le confinement déclaré, une entreprise comme Arquus (ex-Renault Trucks Defense), filiale de Volvo, annonçait la fermeture de ses sites industriels sans concertation avec ses partenaires, alors que l'entreprise fabrique avec Thales et Nexter les blindés de l'armée de terre. Après un certain flottement, les choses sont rentrées dans l'ordre et les sites industriels se remettent en marche depuis lundi. Cartographier les besoins prioritaires « Un dialogue s'est ouvert entre les industriels de la défense, la Direction générale de l'armement et le ministère des Armées pour faire une cartographie des activités les plus critiques pour la défense, donner des prévisions d'activité et bien mesurer tous les impacts sur les systèmes de soutien au profit des forces armées », explique-t-on au ministère des Armées. Dès le 20 mars, la ministre Florence Parly envoyait un courrier aux industriels pour leur rappeler que « sans transiger sur les mesures barrières dont le respect strict est indispensable pour endiguer la propagation du virus, l'activité des entreprises de défense devait continuer ». Pas question de ne pas assurer l'entretien des hélicoptères au moment où ils sont plus que jamais engagés dans le transport des malades , de baisser la garde sur la dissuasion nucléaire, ou encore de ne pas pouvoir changer les pièces défaillantes des blindés utilisés au Sahel. Renégociation prochaine des objectifs Après une grosse semaine de fermeture, histoire de bien analyser les conditions de production et de nettoyer les sites de fond en comble, les industriels de la défense ont rouvert. Chez Nexter, les sites de production sont de nouveau actifs, même si la totalité des effectifs n'est évidemment pas appelée. Arquus, de son côté, explique avoir terminé la semaine dernière son inventaire, ce qui lui a permis de livrer à la Direction générale de l'armement nombre de blindés stockés et de rappeler ses salariés pour assurer les livraisons des pièces de rechange, notamment à l'heure où les camions de l'armée sont extrêmement sollicités dans l'opération « Résilience » de soutien à la lutte contre la pandémie. Globalement, le soutien aux armées sur terre, mer et air est assuré, sachant qu'il y aura plus tard, au printemps, des négociations pour réviser les objectifs de livraison de matériel neuf, qui étaient inscrits dans la loi de programmation militaire. Il faudra tenir compte de la baisse de la mobilisation du personnel pour des raisons sanitaires - et sans doute, in fine, d'un recadrage des ressources budgétaires. https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/coronavirus-retour-au-travail-pour-les-industriels-de-la-defense-1190687

  • Deux candidats encore en lice pour l'achat de la défense sol-air

    March 26, 2019 | International, Aerospace, Land

    Deux candidats encore en lice pour l'achat de la défense sol-air

    Berne (awp/ats) - Deux systèmes de défense sol-air de longue portée sont encore dans la course pour le renouvellement de la défense de l'armée suisse. Le consortium français Eurosam et la société américaine Raytheon ont transmis leurs offres. Israël a renoncé. La soumission de cette première offre marque le début de la phase d'analyse et d'essais, a indiqué armasuisse lundi. Un deuxième appel d'offres aura lieu dans le courant de l'hiver prochain. Des spécialistes du Département fédéral de la défense vont analyser les offres des fabricants en évaluant l'efficacité des différents systèmes et en testant la performance du radar. Aucun essai de tir ne sera effectué. Ces analyses donneront lieu à des rapports individuels. Les candidats ne seront comparés qu'ensuite. Suivra un deuxième appel d'offres. Le Conseil fédéral tranchera. La surface à couvrir par la défense sol-air doit être de 15'000 km2 au moins. Le système doit atteindre une altitude d'engagement de plus de 12'000 m et une portée supérieure à 50 km. Il n'est pas nécessaire de disposer d'une capacité de défense contre des missiles balistiques. Le renouvellement des moyens de défense sol-air de longue portée fait partie du programme d'achat de la nouvelle flotte d'avions de combat de l'armée suisse. La facture totale se monte à 8 milliards de francs suisses. Cinq appareils sont évalués pour remplacer les Tiger et les F/A-18 de l'armée: le Gripen E suédois (Saab), le Rafale français (Dassault), l'européen Eurofighter (Airbus), ainsi que les américains Super Hornet de Boeing et le F-35A de Lockheed-Martin. https://www.zonebourse.com/SAAB-6491624/actualite/Deux-candidats-encore-en-lice-pour-l-achat-de-la-defense-sol-air-28231928/

  • No stealth? No problem ― Eurofighter makes its pitch against F-35 in Berlin

    April 26, 2018 | International, Aerospace

    No stealth? No problem ― Eurofighter makes its pitch against F-35 in Berlin

    By: Sebastian Sprenger BERLIN ― Eurofighter officials are downplaying the F-35 fighter′s stealth capability at the Berlin Air Show, positing that the consortium's non-stealthy Typhoon still beats out the American competition in the race to replace Germany's Tornado fleet. “Stealth is only 10 percent of the capability mix,” Eurofighter marketing chief Raffael Klaschke told Defense News on Wednesday. “We're still better at the other 90 percent,” he argued, referring to the aircraft's combat capabilities. While the company could rest easy with the German Defence Ministry's recent proclamation that the Eurofighter is the preferred path for the upcoming multibillion-dollar Tornado-replacement program, Lockheed Martin's massive showing at the air show may have some officials nervous. Eurofighter CEO Volker Paltzo doubled down on the argument that the Typhoon would guarantee continued vibrancy in the European military aircraft market. “I want to underscore that every euro spent on Eurofighter within Europe stays in Europe,” he told reporters. Executives also stressed that the European aircraft would come free of any “black boxes,” a reference to the expectation that all technological and operational details would be owned by Europeans, which may not be the case with the F-35. F-35 advocates have touted the fifth-generation aircraft's stealth and other advanced capabilities for deep-strike and standoff combat, and there are some in Germany, especially in the Air Force, who believe that European technology simply cannot compare. At the same time, whatever follow-on aircraft Berlin chooses for its 90-strong Tornado fleet is only expected to be a bridge toward a brand-new development, raising the question of whether a costly acquisition of the U.S. planes would be a worthwhile investment. Klaschke described stealth as a “niche capability,” adding with a nod to the F-35′s competition: “We're not scared.” Officials were less willing to discuss the expected nuclear-weapons capability of the Eurofighter, which it would pick up from the Tornado. Paltzo pointed to “confidentiality” in discussing the topic, referring to the Defence Ministry for information. What is clear, however, is that the Eurofighter will be able to carry forward Germany's pledge to deploy U.S. atomic arms at the behest of NATO, according to Paltzo. And while the U.S. Defense Department must certify the aircraft-weapon pairing, the CEO said he does not expect America to influence the fighter decision toward its own industry's product. “This is a subject where we would not expect leverage by the U.S. over the Eurofighter,” Paltzo said. https://www.defensenews.com/industry/2018/04/25/no-stealth-no-problem-eurofighter-makes-its-pitch-against-f-35-in-berlin/

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