Back to news

January 17, 2024 | International, Aerospace

Airlines, planemakers set to unveil new orders at Indian aviation event

On the same subject

  • Avion de combat du futur : Dassault veut avancer

    July 23, 2018 | International, Aerospace

    Avion de combat du futur : Dassault veut avancer

    Par Véronique Guillermard Tout comme son partenaire Airbus, le groupe attend des contrats d'études et de développement de démonstrateurs. «Une bonne nouvelle.» La décision du Royaume-Uni de lancer, lundi 16 juillet, un nouvel avion de combat pour succéder à l'Eurofighter et au F-35 américain, qui équipent ses forces armées, est bien accueillie par Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation*. «Cette décision prouve que l'aviation de combat est un sujet stratégique pour les pays européens, qu'elle suscite de l'enthousiasme et de la compétition face à la volonté hégémonique des États-Unis», a-t-il développé en marge de la publication des résultats semestriels du groupe ce jeudi. Le programme britannique, baptisé Tempest, répond au projet d'avion de combat franco-allemand qui doit succéder au Rafale français, construit par Dassault Aviation, et à l'Eurofighter, fabriqué par Airbus Defence, BAE Systems et Leonardo. L'Eurofighter équipe plusieurs armées européennes dont l'Allemagne. Plusieurs jalons ont été franchis depuis l'impulsion politique donnée par Emmanuel Macron et la chancelière Angela Merkel, en juillet 2017. Dernier en date, la signature, lors du sommet franco-allemand de juin dernier, de deux lettres d'intention commune: la première pour la réalisation du Système de combat aérien du futur (Scaf), qui sera mis en service à horizon 2040 ; la seconde pour la conception d'un char de combat opérationnel à partir de 2035. Après cette étape importante, les deux grands partenaires du projet, Dassault Aviation, maître d'œuvre du futur avion de combat, et Airbus Defence attendent l'entrée en vigueur de contrats d'études et de développement de démonstrateurs. Il faut établir une feuille de route en balisant les développements et en passant par une réduction des risques gr'ce à la simulation et aux démonstrateurs. Dassault Aviation attend «un engagement dans le temps long» et un budget sanctuarisé. Et «le plus tôt serait le mieux», souligne Éric Trappier. Il relève que le Royaume-Uni a annoncé un investissement de 2 milliards de livres (2,3 milliards d'euros) d'ici à 2025 dans le projet Tempest. Comme si les Britanniques tentaient de prendre de vitesse l'alliance franco-allemande. À terme, ces deux projets pourraient-ils converger? Trop tôt pour le dire. Si le Scaf franco-allemand a vocation à embarquer d'autres pays européens, au préalable, il «faut une locomotive. Et elle est formée de deux pays, la France et l'Allemagne», résume Éric Trappier. À ce stade, Saab, qui construit le Gripen, le 3e avion de combat européen, n'a pas rendu publiques ses intentions. Le suédois modernise son appareil, tout comme Dassault Aviation, qui, parallèlement au Scaf qui prépare le long terme, améliore le Rafale avec le standard F3R et, demain, le standard F4. 12 Rafale pour le Qatar Au cours du semestre écoulé, le groupe français a continué à livrer des Rafale dont deux à la France. Dassault Aviation a également signé un nouveau lot de 12 Rafale pour le Qatar. Doha a levé une option prise, en mai 2015, dans le cadre d'un premier contrat portant sur l'achat de 24 avions de combat français. Le Qatar a également pris une nouvelle option pour 36 appareils de plus. L'activité militaire de Dassault est tirée par les livraisons du Rafale aux clients exports et à l'éventuelle concrétisation de nouveaux contrats à l'international. Le Rafale est notamment en lice en Belgique. Après trois années blanches (2019-2021), les livraisons aux armées françaises doivent reprendre en 2022. Quant aux jets d'affaires Falcon, ils évoluent sur un marché «qui va mieux et repart», souligne Éric Trappier. Les stocks de jets d'occasion ont décru et les ventes d'avions neufs se redressent (18 prises de commandes au 1er semestre). «L'embellie vient du marché américain et du redémarrage de l'Asie. Nous espérons que l'Europe va suivre», développe le PDG du groupe. Autre source de satisfaction, le lancement, en mars 2018, du 6X, le nouveau Falcon à long rayon d'action et large cabine, qui doit entrer en service en 2022. Son bon démarrage commercial a permis de tirer un trait sur le Falcon 5X, dont le carnet de commandes en a été totalement expurgé. Pour 2018, Dassault prévoit de livrer 12 Rafale et 40 Falcon et de réaliser un chiffre d'affaires proche de celui de 2017 (4,8 milliards d'euros). http://www.lefigaro.fr/societes/2018/07/19/20005-20180719ARTFIG00320-avion-de-combat-du-futur-dassault-veut-avancer.php

  • DIA announces winners in massive intelligence technology contract

    September 19, 2018 | International, C4ISR

    DIA announces winners in massive intelligence technology contract

    By: Brandon Knapp The Defense Intelligence Agency (DIA) awarded spots on a contract worth up to $500 million to eight defense companies and one research organization as part of the agency's effort to buy research, development, technical, and engineering services for intelligence missions, according to an announcement from the Department of Defense Sept. 14. DIA selected AT&T, Booz Allen Hamilton, Harris Corp., KeyW Corp., Leidos Inc., Lockheed Martin Corp., Macaulay-Brown Inc., Northrop Grumman Corp., and Southwest Research Institute for the procurement program, known as HELIOS. The companies won five year contracts that include five additional one-year options. The award winners will have multiple opportunities to compete for task orders on the indefinite delivery / indefinite quantity contract in support of DIA Directorate for Science & Technology missions. Unclassified documents released in 2017 describe in part the scope of HELIOS as offering support services for “sensor technology focus areas including Measurement and Signature Intelligence” as well as “cross-cutting technology areas such as unattended remote sensing, robotics...and data processing, exploitation and dissemination.” Mission areas for HELIOS include space situational awareness, foreign counter space threats, the Internet of Things, data exfiltration, and rapid prototyping. The Virginia Contracting Activity received nine responses to their original open solicitation posted in Dec. 2016. All nine solicitors received a contract with a minimum award of $10,000. The HELIOS program has an estimated completion date of September 2028. https://www.c4isrnet.com/intel-geoint/2018/09/18/dia-announces-winners-in-massive-intelligence-technology-contract

  • UN GROUPEMENT INDUSTRIEL MENÉ PAR AIRBUS DÉCROCHE UN CONTRAT DE 150 MILLIONS AUPRÈS DE LA DGA

    March 5, 2019 | International, Aerospace, Naval, C4ISR

    UN GROUPEMENT INDUSTRIEL MENÉ PAR AIRBUS DÉCROCHE UN CONTRAT DE 150 MILLIONS AUPRÈS DE LA DGA

    (AOF) - La Direction générale de l'armement (DGA) vient de confier à un groupement industriel mené par Airbus et composé de Naval Group et Rohde & Schwarz, le contrat RIFAN 2.1. Ce contrat a été signé pour une durée maximale de 8 ans et un montant maximum de 150 millions d'euros. Le contrat consiste à maintenir et adapter l'actuel Réseau IP de la Force Aéronavale étape 2 (RIFAN 2) aux besoins de la Marine nationale dans les années à venir, à y intégrer de nouveaux b'timents et à traiter les obsolescences des matériels et logiciels. Il permettra ainsi d'intégrer dans le réseau RIFAN 2 les frégates de défense et d'intervention (FDI), futures frégates de premier rang de la Marine nationale, ainsi que les futurs pétroliers-ravitailleurs du programme BRF (b'timent ravitailleur de forces). Les adaptations du réseau porteront tant sur son architecture centrale que sur la mise à jour du système de surveillance et de détection des incidents de cyber-sécurité. 63 b'timents sont équipés du réseau RIFAN 2 : du porte-avions et frégates aux b'timents de soutien et patrouilleurs basés outre-mer, ainsi que des sous-marins. Le programme vise à doter la force navale française, d'un véritable réseau sécurisé à haut-débit. Il est conçu pour échanger entre les navires à la mer et les centres de commandement à terre, des données de différents niveaux de classification allant de " non protégé " jusqu'aux niveaux " secret ". Le réseau permet de transmettre aussi bien les données issues des applications spécifiques à la conduite des opérations aéronavales que celles dédiées à la gestion quotidienne et logistique de la vie à bord, comme celles des systèmes d'information des états-majors de thé'tre embarqués pour la durée d'une opération. RIFAN 2 comprend également une capacité de gestion globale du réseau et de surveillance des incidents de cyber-sécurité. Cette supervision s'exerce à la fois depuis un centre de gestion et de contrôle à terre, que localement à bord des navires, conférant ainsi une certaine autonomie aux équipages afin d'assurer le meilleur emploi du réseau en fonction de la situation opérationnelle. AOF - EN SAVOIR PLUS Les points forts de la valeur - Numéro un européen et numéro deux mondial de l'industrie aéronautique, spatiale et de défense, né de la fusion en 2000 du français Aerospatiale Matra, de l'espagnol Casa et de l'allemand Dasa ; - Activité de 67 Mds€ répartie entre l'aéronautique civile avec Airbus pour 75 %, défense & espace pour 16 % et Airbus Helicopters pour 9 % ; - Excellente visibilité pour un secteur en croissance annuelle de 3 %, bénéficiant de fortes barrières à l'entrée et d'un bon « pricing power » ; - Famille d'avions civils la plus complète du marché, de l'A380 et l'A350 (long-courrier) à l'A330 (15 heures de vol) et l'A320 (10 heures) et numéro un mondial des hélicoptères (47 % du marché civil en termes de livraisons) ; - Carnet de commandes record de 997 Mds€, donnant une visibilité de près de 15 ans de chiffre d'affaires, provenant de l'Asie-Pacifique (29 %), d'Europe (22 %), d'Amérique du nord (20 %), du Proche-Orient (12 %) et d'Amérique latine (7 %) ; - Acquisition sans sortie de cash de 50,01% de C-Series, programme de l'avionneur canadien Bombardier, qui renforce la position d'Airbus Group face à Boeing ; - Trésorerie importante alimentée par les avances sur commandes et retour à un flux de trésorerie élevé, gr'ce à une bonne maîtrise des besoins en fonds de roulement ; - Vers une hausse du taux de distribution aux actionnaires. Les points faibles de la valeur - Retards de livraisons pesant sur l'autofinancement ; - Incertitudes judiciaires avec risques de pénalités entre 1 et 6 MdsE ; - Ralentissement des cadences des programmes A380 et A400M ; - Forte concurrence à venir dans le spatial de la part de Space X. Comment suivre la valeur - Performances étroitement liées à la santé des compagnies aériennes ; - Sensibilité aux parités de change, 60 % des ventes étant facturées en dollars américains pour une base de coûts majoritairement en euros ; - Poursuite du plan « Vision 2020 », initié en 2009 et visant à un équilibre entre l'aviation commerciale et les autres activités, à un doublement à 25 % de la part des services dans le chiffre d'affaires, à un renforcement à l'international avec 40 % des approvisionnements hors Europe ; - Capacité à redresser le programme C-Series et, dans les usines européennes, à diminuer le nombre d'avions retenus au sol pour problèmes techniques ; - Confirmation de l'accélération du rythme de livraison des A320neo ; - Après l'autorisation des autorités européennes pour l'A330-900, attente de celle des autorités américaines ; - Capital réparti depuis juin 2013 entre l'Etat français (11, % via la Sogepa), l'état allemand (11,1 % via GZbv) et l'état espagnol (4, % via SEPI), réunis par un pacte d'actionnaires. Aéronautique - Défense Le secteur aéronautique est soumis à une profonde mutation. A la recherche de relais de croissance et d'une amélioration de leur rentabilité, les acteurs ne se concentrent plus seulement sur leur cœur de métier (design et assemblage des avions) mais se tournent également vers les services. Ces derniers recouvrent aussi bien le service après-vente (maintenance et réparation des appareils) que la transformation d'avions de ligne en avions-cargos, ou la formation des équipages et des mécaniciens, l'aménagement des cabines et l'optimisation des appareils. Cette évolution amène les avionneurs à revoir complètement la conception de leur métier : ils ne livrent plus un produit mais un usage. Selon Boeing, le chiffre d'affaires des services à l'aviation commerciale pourrait ainsi dépasser celui des avions neufs pour atteindre 8.800 milliards de dollars d'ici à 2037. https://www.capital.fr/entreprises-marches/un-groupement-industriel-mene-par-airbus-decroche-un-contrat-de-150-millions-aupres-de-la-dga-1330006

All news