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March 23, 2021 | International, Aerospace

Air Force Commander Wants New F-16 Replacement To Support F-35 - AVweb

The commander of the Air Force says he needs a new clean sheet fighter to replace some of the 1,000 F-16s that long ago reached their best before date. In a news conference last month, reported by Air Force Magazine, Chief of Staff Gen. Charles Q. Brown said he wants a lighter, less sophisticated and […]

https://www.avweb.com/aviation-news/air-force-commander-wants-new-f-16-replacement-to-support-f-35/

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  • SASC Bill Adds Advanced Procurement To Navy’s Shipbuilding Funds

    May 31, 2019 | International, Naval

    SASC Bill Adds Advanced Procurement To Navy’s Shipbuilding Funds

    The Senate Armed Services Committee's (SASC) draft FY 2020 defense authorization bill would authorize a moderate amount of funds over the Navy's shipbuilding request for additional advanced procurement funds. According to the bill summary, the committee... https://www.defensedaily.com/sasc-bill-adds-advanced-procurement-navys-shipbuilding-funds/navy-usmc/

  • Suisse: Six milliards en jeu pour renouveler la flotte aérienne de l’armée

    August 31, 2020 | International, Aerospace

    Suisse: Six milliards en jeu pour renouveler la flotte aérienne de l’armée

    Après l'échec de l'achat des avions Gripen en 2014, le peuple suisse est à nouveau appelé à voter pour ou contre l'acquisition d'avions de combats. La Suisse doit renouveler sa flotte d'avions de combat. Les appareils en service actuellement seront en fin de vie d'ici 2030. Le Conseil fédéral et le Parlement veulent acquérir de nouveaux avions pour six milliards de francs. Les opposants y voient une dépense inutile. Le peuple tranchera le 27 septembre. La votation porte sur le montant maximal destiné à l'achat des avions de combat qui remplaceront les 26 F-5 Tiger et les 30 F/A-18 de l'armée. Les premiers, acquis en 1978, sont déjà obsolètes. Ils ne peuvent voler que de jour et par temps clair, et ne servent plus qu'à l'instruction. Les seconds atteindront leur limite dans une dizaine d'années. Après l'échec de l'achat des avions Gripen en 2014, le gouvernement a décidé de ne soumettre aux urnes que le cadre général de l'acquisition. Le choix du type et du nombre d'appareils nécessaires lui reviendra ensuite. L'enveloppe de 6 milliards de francs, soit deux fois plus que le Gripen, est plafonnée et ne pourra pas être augmentée. Elle pourra en revanche être ajustée à l'évolution des prix. L'achat des nouveaux avions de combat recueille dans les derniers sondages une majorité en sa faveur. Le clivage droite/gauche est marqué, le camp bourgeois étant favorable à la dépense et le camp rose-vert opposé. Objectif controversé Pour le comité référendaire, composé du PS, des Verts et du Groupe pour une suisse sans armée, dépenser 6 milliards de francs pour les avions est une fausse promesse de sécurité. Le scénario d'une guerre aérienne en Europe n'est pas réaliste. La Suisse doit plutôt se préparer à de nouveaux types de menace: catastrophes, cyberattaques, pandémies ou changement climatique. Les avions de combat ne pourront pas contrer ces menaces. Des investissements dans la lutte contre le réchauffement climatique ou la pénurie d'électricité seraient plus sensés, selon les opposants. L'émergence de nouvelles formes de guerre ne remplace pas les anciennes menaces, répond le camp des partisans dans les rangs duquel se trouvent des membres du PLR, de l'UDC, du PDC, du PBD, des Vert'libéraux, du PEV et de nombreuses organisations militaires. Bien qu'il n'y ait pas de conflit armé en Suisse, les conditions peuvent rapidement changer. Il s'agit de l'avenir de la politique de sécurité. Une menace imprévisible La menace évolue constamment et la population doit être protégée contre les attaques imprévisibles, argumente la ministre de la Défense Viola Amherd. L'armée de l'air a de nombreuses t'ches pour lesquelles des avions de combat sont nécessaires. Elle intervient si un avion se trouve en situation critique ou s'il viole les règles. Lorsque Genève accueille une conférence internationale sur la paix, des avions doivent en permanence être dans les airs. L'armée doit également pouvoir contrôler de manière plus intense ses frontières en cas de tensions dans les environs et s'assurer qu'aucun appareil militaire étranger ne survole le territoire. Elle doit protéger son espace aérien en cas d'attaque directe. Coûts à définir L'argent dépensé pour les avions fera défaut dans d'autres domaines comme l'éducation, la santé, la sécurité publique ou sociale ou encore la culture, rétorquent les opposants. Cet achat serait en outre un chèque en blanc donné au gouvernement et au Parlement. Le jour de la votation, les électeurs ne connaîtront pas les coûts concrets. Si l'on prend en compte l'ensemble des coûts sur la durée de vie des avions, la facture s'élève à 24 milliards, avancent les référendaires. Le Département fédéral de la défense estime pour sa part la dépense à 18 milliards. Le PS propose l'acquisition d'avions de combat légers, moins onéreux. Pour Viola Amherd, ces appareils ne valent rien pour le service de police de l'air et encore moins pour protéger la Suisse en cas de crise. Ils ne volent pas assez haut, sont trop lents ou n'ont pas les radars ou l'armement nécessaires. Compensations prévues L'arrêté sur lequel le peuple doit se prononcer inclut des conditions. Il précise que le constructeur remportant l'appel d'offres devra investir 60% du montant du contrat dans l'économie suisse (65% en Suisse alémanique, 30% en Suisse romande et 5% en Suisse italienne). L'achat sera coordonné avec la modernisation du système de défense sol-air. Quatre jets sont encore en lice: le Rafale du français Dassault, l'Eurofighter de l'européen Airbus et les deux avions américains, le Super Hornet de Boeing et le F-35A de Lockheed-Martin. https://www.lematin.ch/story/six-milliards-en-jeu-pour-renouveler-la-flotte-aerienne-de-larmee-442405814349

  • DSEI: UK’s Warrior fleet upgrade about 18 months away from kickoff

    September 12, 2019 | International, Land

    DSEI: UK’s Warrior fleet upgrade about 18 months away from kickoff

    By: Andrew Chuter LONDON — Negotiations are underway on a production contract to update the British Army's fleet of Warrior infantry fighting vehicles, according to the Ministry of Defence official running the program. “We are now talking about how we go forward on production,” Marcus Bruton, the MoD's Warrior upgrade director said during an interview at the DSEI show Sept. 10. Bruton said the two sides were probably 18 months away from a contract allowing Lockheed Martin and its supply chain to start upgrading the Warrior. The effort to progress the long running Warrior capability sustainment development program into the manufacturing phase has come on the back of Lockheed Martin successfully achieving 20 battlefield mission assessments – a key milestone in the reliability growth test program now underway. The MoD said in March it would open manufacturing contract negotiations once it was satisfied with progress on reliability trials. In late August Lockheed Martin achieved that milestone. The company said that in cooperation with the British Army Armoured Trials and Development Unit, it had fired thousands of rounds from the new CTAI developed 40 mm cannon, driven more than 5,000 kms, and achieved the battlefield mission assessments with flying colors. Lockheed Martin Warrior program Director Lee Fellows said he is expecting a deal towards the back end of next year. The company is keen to get the production contract signed and sealed but “we need to get it right, so it will take as long as it needs to," he added. "Getting it done at pace and quality aequally important.” Quantities, the mix of variants and affordability are among the items due to be discussed. Discussions on how to overcome issues of design authority ownership is also part of the build up to a production contract, said the officials. BAE holds the design authority on the existing legacy Warrior, but Lockheed Martin holds the approval for the extensive upgrade — particularly the new turret. “The expectation is there will be a collaboration with BAE. We are talking with them already, that's part of the negotiations,” said Fellows. Neither executive will comment on what sort of upgrade numbers the British Army is looking at. Roughly 740 vehicles were delivered to the British Army starting 1988 but a number were lost in Iraq and Afghanistan. A number of vehicles have been earmarked for battlefield support duties that don't require a new turret. At one time the number of hulls to be updated was in the region of 380, but suppliers at a company briefing in March said that as the British Army downsized and budgets became more challenging the figure slipped to around 265 or lower. The Lockheed Martin executive said that the next 18 months or so will bring further reliability growth trials, but that the major risks have been removed and testing had not unearthed any significant problems. The update is considered one of the Army's top priorities alongside other vehicle programs, including the Challenger 2 tank upgrade and procurement of the Boxer mechanized infantry vehicle from German company Artec. Lockheed Martin was awarded a development deal to upgrade Warrior vehicles back in 2011, but the program has been dogged with problems slowing down progress towards a production deal by several years. The update program includes a new turret fitted with the CTAI cannon, electronic architecture, a modular protection systems and other enhancements. It's a much needed update. The current vehicle's inability to fire on the move is just one of a number of shortcomings deemed to make the Warrior obsolete by current battlefield standards. https://www.defensenews.com/digital-show-dailies/dsei/2019/09/11/uks-warrior-fleet-upgrade-about-18-months-away-from-kickoff

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