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  • L'Espagne doublera ses dépenses militaires

    16 février 2018 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    L'Espagne doublera ses dépenses militaires

    Par Alejandro López 9 février 2018 Les dépenses de la défense vont doubler d'ici à 2024, a déclaré la ministre de la Défense, María Dolores de Cospedal, au Comité parlementaire espagnol de la défense. Le budget de la défense passera de 0,8% du PIB (8,7 milliards d'euros) à 1,53% (18,47 milliards d'euros). Pour limiter l'opposition populaire à la guerre et la colère contre l'augmentation des dépenses militaires, alors que l'austérité décime les services publics et rend la vie plus précaire pour des millions de travailleurs et de jeunes, Cospedal refuse de publier la lettre adressée à l'OTAN. Elle a affirmé qu'une partie du contenu était classifiée. L'ampleur réelle des dépenses militaires actuelles est aussi gardée secrète. Selon l'organisation pacifiste Centre Delàs d'Estudis per la Pau, toute une série de dépenses militaires sont exclues du budget de la défense. Si l'on inclut la sécurité sociale, les retraites et les assurances pour les militaires, les missions à l'étranger, les aides d'État à la recherche et au développement militaires dans les entreprises privées, le budget des gardes civils militarisés et les redevances de l'OTAN, les dépenses seraient de l'ordre de 18,8 milliards d'euros. D'ici à 2024, ce sera vraiment «le chiffre invraisemblable de 28 milliards d'euros par an», a déclaré le Centre. L'augmentation des dépenses militaires de l'Espagne répond à l'accord conclu au sommet de l'OTAN en mai dernier, sous la pression intense de l'administration Trump, pour que tous les membres de l'OTAN augmentent les dépenses de défense d'ici 2024 à 2% de leur PIB. Cospedal a admis que l'augmentation à 1,53% était en deçà de l'objectif de l'OTAN, mais a insisté sur le fait qu'elle «faciliterait la réalisation de cet horizon dans les années à venir» et qu'elle était conforme aux objectifs fixés par d'autres pays européens. Une idée de l'ampleur de la mise à niveau et du renouvellement de l'armée peut être faite à partir de la liste des nouveaux équipements qui seront achetés. 348 nouveaux véhicules d'infanterie blindée Piranha 5, conçus pour le combat rapproché, cinq frégates F-110, quatre sous-marins S-80, trois avions de de transport de ravitaillement en vol de carburant (MRTT), 23 hélicoptères NH-90, un véhicule aérien sans pilote Reaper (UAV) et un nouvel avion d'entraînement. En outre, l'armée va acquérir un nouveau système de Commandement et de Contrôle et rénover ses casernes, 17 hélicoptères Chinook seront modernisés, et l'Espagne financera le remplacement du chasseur F-18. Cospedal a confirmé que les dépenses militaires dans la participation de l'Espagne à 17 missions militaires dans le monde l'année dernière étaient de 835 millions d'euros, soit 8,2% de plus que l'année précédente. L'Espagne participera à la coopération structurée permanente (PESCO) de l'Union européenne (UE) sur la sécurité et la défense et dirigera le système de commandement et de contrôle pour les missions et opérations de l'UE. Le PESCO a été accepté en novembre dernier par 23 des 28 États membres de l'UE «pour développer conjointement les capacités de défense et les mettre à la disposition des opérations militaires de l'UE». L'engagement de l'Espagne avec PESCO reflète la tentative de l'élite dirigeante en Espagne et en Europe de défendre leurs positions économiques et militaires vis-à-vis des concurrents actuels et potentiels, dans une situation menacée par le Brexit et la politique de l'«Amérique d'abord» de l'administration Trump. Le gouvernement espagnol tente de surmonter la contradiction entre soutenir PESCO, dirigé par l'Allemagne, et l'OTAN, dirigée par les États-Unis, deux projets militaristes incompatibles à long terme. Cela a été reflété dans une résolution proposée par le gouvernement qui sera débattue lors d'une prochaine session parlementaire, qui appelle à améliorer les relations UE-É.-U. dans le domaine de la défense, tout en concluant que «nous Européens devons assumer plus que jamais la responsabilité de notre propre sécurité». La croissance du militarisme espagnol, comme ailleurs dans le monde, est la réponse de la classe dirigeante à l'augmentation des inégalités, à l'aggravation de la crise économique et aux conflits croissants entre les grandes puissances. Son objectif, récemment exprimé dans la nouvelle Stratégie de sécurité nationale des États-Unis, est la conquête de nouvelles sphères d'influence, de marchés et de matières premières – surtout en conflit avec la Russie et la Chine – et de détourner les tensions sociales vers l'extérieur. Le principal obstacle pour la classe dirigeante espagnole est l'hostilité traditionnelle de la population envers l'armée. Cela a été récemment révélé dans la tentative d'ouvrir un débat pour réimposer la conscription, à l'instar de la France sous le président Emmanuel Macron. Tous les principaux quotidiens ont publié des articles et des commentaires déplorant l'hostilité de la population à une telle mesure. Le principal chercheur promilitariste du Real Instituto Elcano, Félix Arteaga, s'est plaint à El Mundo: «Soulever ici la conscription serait un suicide politique, d'abord parce qu'il n'y a pas de besoin militaire pour le justifier, et ensuite parce que le concept d'obligation n'est pas aimé par la société espagnole. Il n'y a pas de mentalité ou de culture d'identité nationale et, bien sûr, personne ne croit qu'on devrait donner sa vie pour défendre le pays.» La capacité de l'élite dirigeante espagnole à poursuivre ses ambitions militaires est en grande partie due au rôle de Podemos, le parti de la pseudo-gauche, qui a été pratiquement silencieux sur ces développements ou bien les a ouvertement approuvés. Le mois dernier, Podemos a dissimulé une intervention espagnole accrue au Mali, où une «mission de formation» de l'UE se poursuit encore cinq ans après que des groupes djihadistes ont envahi le nord du pays en 2012, provoquant une vague de réfugiés, dont des milliers ont tenté de traverser la Méditerranée vers l'Europe, et beaucoup d'entre eux se sont noyés. Le 24 janvier, Cospedal a comparu devant la Commission de défense pour obtenir l'autorisation tardive d'approuver la prise de contrôle de la mission par l'Espagne et l'envoi de plus de troupes le 9 janvier. Elle a averti la commission qu'une participation accrue à l'intervention de l'UE était «fondamentale» et que l'Afrique du Nord était «un endroit stratégique» pour l'Espagne. Juan Antonio Delgado, le porte-parole de Podemos pour les affaires militaires, s'est plaint du fait que Cospedal eût «enfreint la loi» en envoyant les troupes avant l'approbation parlementaire. Il a révélé: «J'étais au Mali il y a trois mois et j'ai appris que l'Espagne reprendrait l'opération», avant de demander à Cospedal: «Durant tout ce temps, n'a-t-on pas eu le temps de demander une autorisation?» La question évidente est pourquoi Delgado lui-même n'a pas insisté sur la question... et quand est venu le vote [sur l'autorisation] à la commission il s'est simplement abstenu. Le secrétaire général de Podemos, Pablo Iglesias, a été plus explicite: il a attaqué Cospedal de la droite après la mort d'un pilote tué dans un accident d'avion en octobre dernier. Il lui a dit: «Le patriotisme est la défense des droits des professionnels de nos forces armées. Il est honteux que dans ce pays, certains qui parlent de notre patrie ne respectent pas les droits des travailleurs qui sont là pour nous protéger tous et dont la vie ne peut être mise en danger.» De telles déclarations prouvent que Podemos est un parti proguerre, se proposant comme une plate-forme politique fiable pour le militarisme espagnol. Depuis sa fondation, Podemos a créé des cellules dans l'armée et a fait un effort explicite pour articuler ses principales revendications. L'ancien chef d'état-major de la Défense, Julio Rodríguez Fernández, a été candidat de Podemos lors des récentes élections législatives et est le secrétaire général de Podemos dans la municipalité de Madrid, où il sera le principal candidat du parti aux élections de l'année prochaine. https://www.wsws.org/fr/articles/2018/02/09/spml-f09.html

  • Airbus explores A320neo military derivatives

    16 février 2018 | International, Aérospatial, C4ISR

    Airbus explores A320neo military derivatives

    Airbus has revealed that it is exploring the introduction of military derivatives of the A320neo family. Speaking at the Singapore air show, Fernando Alonso, head of military aircraft at Airbus Defence & Space, said that the new platform could undertake missions such as VIP transport, intelligence, surveillance and reconnaissance and maritime patrol. "We have the knowledge of converting the A330 into the A330 MRTT [multirole tanker transport], and have a more efficient process." Alonso says that the efficiency of new-generation engines will enable a more capable military derivative. Any future conversion will require between "six to eight months" to complete, he says. Airbus is in talks with a number of operators, including the armed forces of Asia-Pacific nations such as Indonesia, Malaysia, New Zealand, the Philippines, alongside European stalwarts France, Germany and the Netherlands. The airframer is also working to add new capabilities to its existing military platforms: the A400M, A330 MRTT and C295. It will allow A400M operators to drop up to 60 paratroopers from both sides of the aircraft simultaneously, while the A330 MRTT is expected to be ready to conduct automatic air-to-air refuelling "in less than three years". Airbus is also exploring the possibility of allowing the remodelled widebody to take on ISR missions. Airbus is still proceeding with an "armed version" of the C295 medium transport, with the derivative in the engineering, development and testing phase. Flight tests will begin in late 2018. "There are big opportunities for us in Asia-Pacific: big fleets are here, budgets are here. We are able to fulfill needs in a more agile way," says Alonso. https://www.flightglobal.com/news/articles/singapore-airbus-explores-a320neo-military-derivati-445670/

  • LEONARDO TO LEAD OCEAN2020 PROGRAM, THE FIRST AND MOST IMPORTANT EUROPEAN DEFENCE AGENCY RESEARCH TENDER FOR NAVAL SURVEILLANCE TECHNOLOGY

    16 février 2018 | International, Aérospatial, Naval, C4ISR

    LEONARDO TO LEAD OCEAN2020 PROGRAM, THE FIRST AND MOST IMPORTANT EUROPEAN DEFENCE AGENCY RESEARCH TENDER FOR NAVAL SURVEILLANCE TECHNOLOGY

    OCEAN2020, a European Defence Fund initiative, will boost technological research in the naval domain also by the integration of unmanned platforms in surveillance and interdiction missions Leonardo is a leader in systems integration and will lead a team of 42 partner companies including Saab, Safran, PGZ and MBDA, research bodies such as NATO CMRE and the defence ministries of five countries The first operational demonstration will take place in 2019 in the Mediterranean Sea. The demo will involve Leonardo's ‘Hero' and ‘Solo' unmanned helicopters, naval vessels and systems from a number of partners, including Italian Navy's vessels equipped with Leonardo's systems Leonardo was awarded the most important project related to the first European Defence Found's initiative, OCEAN2020, to boost Europe's defence capabilities, issued by the European Union under the ‘Preparatory Action on Defence Research' programme. The competitive selection was conducted by the European Defence Agency and will be contracted in the coming weeks. The OCEAN2020 team, which will be led by Leonardo, comprises 42 partners from 15 European countries. These include the Ministries of Defence of Italy, Greece, Spain, Portugal and Lithuania, with additional support from the Ministries of Defence of Sweden, France, the United Kingdom and Estonia and the Netherlands. European industrial partners include Indra, Safran, Saab, MBDA, PGZ/CTM, Hensoldt, Intracom-IDE, Fincantieri and QinetiQ. A number of research centres include Fraunhofer, TNO, CMRE (NATO) and IAI. “We are extremely pleased with this result, the OCEAN2020 initiative has a high level of strategic and technological-operational value” said Alessandro Profumo, CEO of Leonardo. “It is the leading technological research project dedicated to the very topical issue of maritime surveillance, which is of interest across Europe and to the Mediterranean region in particular. This success has been made possible thanks to the strong collaboration between all 42 team partners which we have the honour to lead.” OCEAN2020 is the first example of a cross-European military research programme to-date. The Leonardo-led bid required a thorough analysis of operational requirements and a technologically-innovative yet operationally-realistic proposal. The research project also will see the integration of unmanned platforms in surveillance and interdiction missions. The success in winning the tender both highlights, and will enhance, Leonardo's strength in naval products and integrated systems. The company's expertise in the domain includes command and control systems, unmanned aircraft, sensors, helicopters for naval applications, communications and weapon systems, on the surface and underwater. OCEAN2020 will see unmanned platforms of different type (fixed wing, rotary wing, surface and underwater) integrated with naval units' command and control centres, allowing for data exchange via satellite, with command and control centres on land. The joint and cooperative use of both manned and unmanned vehicles will also be demonstrated as part of the project. Leonardo would like to thank the Italian Navy which, as a key OCEAN2020 partner, has and will continue to make important contributions to the project. This includes the development of operational scenarios and making available naval assets and helicopters, which will take part in demonstrations. In addition to complex simulation work, OCEAN2020 project will involve two live demonstrations of maritime surveillance and interdiction operations, conducted by European fleets using unmanned aircraft, surface vessels and underwater systems. The first demo, scheduled to take place in the Mediterranean Sea in 2019, will be coordinated by the Italian Navy and will see Leonardo's ‘Hero' and ‘Solo' unmanned helicopters operate from Italian naval units alongside other European partners. The second demonstration, which will take place in 2020 in the Baltic Sea, will be coordinated by the Swedish Navy. The data collected by various systems during these two demos will be processed and sent to a prototype European command and control centre in Brussels. http://www.leonardocompany.com/en/-/ocean-2020

  • US warns EU against defense market protectionism

    13 février 2018 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    US warns EU against defense market protectionism

    BRUSSELS (AP) — The United States is warning the European Union not to use its deepened military cooperation as an excuse to protect Europe's defense industry, saying such practices could undermine NATO. The U.S. ambassador to NATO, Kay Bailey Hutchison, said Tuesday that "we do not want this (cooperation) to be a protectionist vehicle for EU." She said Washington is "going to watch carefully because if that becomes the case then it could splinter the strong security alliance that we have." EU leaders — 22 of whose nations are also members of the U.S.-led NATO alliance — agreed last year to jointly develop or purchase military equipment like drones. Washington is concerned the bidding process might exclude U.S. firms. http://www.businessinsider.com/ap-us-warns-eu-against-defense-market-protectionism-2018-2

  • Maxar Technologies MDA extends industry leadership in unmanned airborne systems for surveillance and intelligence services

    12 février 2018 | Local, Aérospatial

    Maxar Technologies MDA extends industry leadership in unmanned airborne systems for surveillance and intelligence services

    Richmond, BC - MDA, a Maxar Technologies company (formerly MacDonald, Dettwiler and Associates Ltd.), (NYSE: MAXR; TSX: MAXR), announced today that it has signed a contract with an unnamed international customer. MDA will provide turnkey, unmanned aircraft system (UAS) surveillance services. The contract includes options for additional years. MDA's UAS service will use a fleet of Schiebel CAMCOPTER® S-100 rotary-wing unmanned aircraft to provide surveillance information. MDA will be responsible for all aspects of the service including acquisition of all the systems and required infrastructure, training, airworthiness, logistics, supply chain, maintenance and all flight operations. The S-100 aircraft is a vertical takeoff and landing UAS, which does not require a prepared area or supporting launch or recovery equipment. It operates day and night and is a very capable platform for a wide range of different surveillance payloads to meet a broad set of mission requirements. MDA's UAS service will equip the S-100 fleet with L3 WESCAM MX-10 EO/IR payloads. The MX-10 is a high-performance, multi-sensor multi-spectral imaging system for tactical surveillance missions. It carries multiple sensors including both high-definition day modes and night infrared modes. The MX-10 is currently operational for twelve nations worldwide on the S-100 including Naval Shipborne customers leading to a low risk, proven solution. Mike Greenley, group president of MDA said, “MDA is a global leader and trusted partner in UAS surveillance services in challenging, complex and hostile environments. This program is a key plank in our growth strategy, offering UAS services in many different environments, and for a diverse set of missions.” About MDA MDA is an internationally recognized leader in space robotics, satellite antennas and subsystems, surveillance and intelligence systems, defence and maritime systems, and geospatial radar imagery. MDA's extensive space expertise and heritage translates into mission-critical defence and commercial applications that include multi-platform command, control and surveillance systems, aeronautical information systems, land administration systems and terrestrial robotics. MDA is also a leading supplier of actionable mission-critical information and insights derived from multiple data sources. Founded in 1969, MDA is recognized as one of Canada's most successful technology ventures with locations in Richmond, Ottawa, Brampton, Montreal and Halifax. MDA is Maxar Technologies company (TSX: MAXR; NYSE: MAXR). For more information, visit www.mdacorporation.com. About Maxar Corporate Maxar Technologies (formerly MacDonald, Dettwiler and Associates) is a leading global provider of advanced space technology solutions for commercial and government markets including satellites, Earth imagery, geospatial data and analytics. As a trusted partner, Maxar Technologies provides unmatched end-to-end advanced systems capabilities and integrated solutions expertise to help our customers anticipate and address their most complex mission critical challenges with confidence. With more than 6,500 employees in over 21 locations, the Maxar Technologies portfolio of commercial space brands includes: SSL, MDA, DigitalGlobe, and Radiant Solutions. Every day millions of people rely on Maxar Technologies to communicate, share information and data, and deliver insights that empower a better world. Maxar trades on the Toronto Stock Exchange and New York Stock Exchange as MAXR. For more information visit www.maxar.com. About Schiebel Founded in 1951, the Vienna-based Schiebel Group focuses on the development, testing and production of state-of-the-art mine detection equipment and the revolutionary CAMCOPTER® S-100 Unmanned Air System (UAS). Schiebel has built an international reputation for producing quality defense and humanitarian products, which are backed by exceptional after-sales service and support. Since 2010, Schiebel's composite division supplies high-tech customers with products of supreme carbon fiber technology – all quality-controlled to meet ISO 9001 standards. With headquarters in Vienna (Austria), Schiebel now maintains production facilities in Wiener Neustadt (Austria) and Abu Dhabi (UAE), as well as offices in Washington DC (USA) and Phnom Penh (Cambodia). Forward-Looking Statements This release contains forward-looking statements and information, which reflect the current view of Maxar Technologies Ltd. (the “Company”) with respect to future events and financial performance. The forward-looking statements in this regard include statements regarding the award of a contract with an unnamed customer. Any such forward-looking statements are based on the Company's current expectations, estimates, projections and assumptions in light of its experience and its perception of historical trends. The factors and assumptions underlying the forward-looking statements in this release include relevant contracts not being terminated. Any such forward-looking statements are subject to a number of risks and uncertainties that could cause actual results to differ materially from current expectations. The Company cautions readers that should certain risks or uncertainties materialize, or should underlying assumptions prove incorrect, actual results may vary significantly from those expected. The risks that could cause actual results to differ from current expectations include, but are not necessarily limited to: changes in certain priorities, mandates, funding levels, contracts and regulations; satellite failure; failure of third parties and subcontractors; and failure to anticipate changes in technology, technical standards and offerings or compliance with the requisite standards, or failure to maintain technological advances and offer new products to retain customers and market position. For additional information with respect to certain of these risks or factors, plus additional risks or factors, reference should be made to the Company's continuous disclosure materials filed from time to time with Canadian and U.S. securities regulatory authorities, which are available online under the Company's SEDAR profile at www.sedar.com, under the Company's EDGAR profile at www.sec.gov, or on the Company's website at www.maxar.com. For more information, please contact: Wendy Keyzer MDA Media Contact MDA Telephone: 1-604-231-2743 E-mail: wendy@mdacorporation.com Marissa Poratto MDA Investor Relations Telephone: 1-604-331-2044 E-mail: mporatto@maxar.com https://mdacorporation.com/news/pr/pr2018020901.html

  • Arrival of used Aussie fighters pushed back to summer 2019 or later

    12 février 2018 | Local, Aérospatial

    Arrival of used Aussie fighters pushed back to summer 2019 or later

    Senior defence official says Canada will take used Aussie FA-18s as they become available It will be 2022 before the Royal Canadian Air Force receives all of the used Australian fighter jets the Liberal government intends to purchase, says senior defence official. The plan was rolled out with much fanfare at the end of last year because the air force has faced — in the words of Defence Minister Harjit Sajjan — an "urgent capability gap" and is not able to meet its NATO and Norad commitments at the same time. Pat Finn, who is in charge of the materiale branch of National Defence, told CBC News in a recent interview a final agreement is still months away. He is confident, however, everything will come together. Delivery is "staggered over three years," Finn said. The Trudeau government announced in December it would buy 18 used Australian "classic" FA-18s as an interim measure to bolster the air force until the entire Canadian fleet of CF-18s is replaced, beginning in the mid-2020s. It had wanted to buy brand new Boeing Super Hornets, the newer, bigger, more advanced version of the FA-18 and CF-18. The plan was scuttled when the manufacturer, Chicago-based Boeing, filed a trade complaint against Canadian aerospace giant Bombardier. No price tag for the Australian deal was released at the time of the formal announcement, which was made by Sajjan and Public Works Minister Carla Qualtrough. Ongoing discussions Finn said those details are still being worked out. The Liberal government said in December the first used fighters, which were purchased by Australia around the same Canada bought its CF-18s, would arrive by January 2019. Finn said the delivery schedule is being finalized, but he anticipates receiving the first two warplanes by the summer of that year. Another one would follow by the end of the year, but much depends on the Royal Australian Air Force and how quickly it retires the fighters and the age of what's being offered. "They, of course, release aircraft as they get aircraft," Finn said. "We do not necessarily want the oldest aircraft, so we would like to have an ongoing discussion." He said there is some flexibility and if "summer '19 turns into" something a few months later because they can get a better jet, then it's something that can be negotiated. The Australian government is in the process of seeking permission to sell the planes because they were originally manufactured in the U.S. Once the Australian warplanes arrive in Canada, they will need to be given life-extension modifications that will bring them up to the standard of the CF-18s, which have been modified to continuing flying until 2025. It stands in stark contrast to the urgency with which the Liberals initially painted the shortage of fighter aircraft. "In 2025, the CF-18s will not be able to fly, and it is important that we move very quickly in filling this capability gap." said Sajjan in June 2016. Finn said the air force is managing the capability gap by making more CF-18s available for operations on a daily basis. "We're basically working right now to increase the availability of our current airplanes," he said. Experts say that would mean pouring more than expected into the maintenance budget in order to keep fighters on the flight line. Urgent purchase? One defence analyst said the government has a strange definition of urgent. "Nothing about the handling of this file lines up with the identification of it as an urgent need, either the interim or the permanent purchase," said Dave Perry, an expert in procurement at the Canadian Global Affairs Institute. He said he believes it will present a political headache for the Liberals come the next election. "The fact that this government may, at best, have a couple of second-hand aircraft before the next election after having identified an urgent need to acquire new fighter aircraft is just incredible," he said. When the Australian deal was announced, the government also laid out a timeline for the full replacement of the CF-18s, which were purchased in the 1980s, but extensively modified and upgraded in the early 2000s. Public Works recently held a consultation day with defence contractors, but Perry says no one seems to understand why it will take until the early 2020s to launch the competition. When the former Conservative government was struggling over whether to buy the F-35 stealth fighter, it conducted extensive research on the alternatives and possible types of warplanes Canada would need. That research, which conceivable could move things along faster, was largely discarded by the Liberals and is gathering dust on a shelf, Perry says. http://www.cbc.ca/news/politics/aussie-fighter-jets-1.4530875

  • Loi de programmation militaire 2019-2025: les failles du Budget des armées

    12 février 2018 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Loi de programmation militaire 2019-2025: les failles du Budget des armées

    Par Vincent Lamigeon La loi de programmation militaire 2019-2025 marque une remontée en puissance inédite depuis 25 ans, avec une priorité à la régénération des hommes et au renouvellement des matériels. Mais une bonne partie de l'effort financier est reportée au-delà du quinquennat. Et des manques persistent. Près de 300 milliards d'euros en sept ans pour les armées. La loi de programmation militaire 2019-2025 présentée le 8 février marque une remontée en puissance financière inédite depuis la fin de la Guerre froide. Le budget militaire doit ainsi passer de 34,2 milliards d'euros en 2018 à 50 milliards d'euros en 2025, pour atteindre les fameux 2% du PIB promis par Emmanuel Macron lors de sa campagne. L'augmentation se fera en deux temps : 1,7 milliard d'euros de plus par an jusqu'à 2022, puis 3 milliards par an de 2023 à 2025, avec un ajustement possible des deux dernières annuités en fonction de la situation économique. Que penser de cette "LPM de renouveau", selon les termes du ministère des armées ? A l'évidence, il s'agit d'un effort majeur. Sur la période 2019-2023, le budget moyen du ministère atteindra 39,6 milliards d'euros, soit 23% de plus que la moyenne 2014-2019. Les effectifs des armées vont repartir à la hausse, avec 6.000 postes en plus, dont 3.000 d'ici à 2023. L'hémorragie qui avait vu la défense perdre 60.000 postes de 2005 à 2015 est donc stoppée, avec une priorité marquée pour le renseignement (+ 1.500 postes et 4,6 milliards d'euros investis d'ici à 2025) et la cyberdéfense (+ 1.000 postes, 1,6 milliard d'euros). Même le général Pierre de Villiers, qui avait démissionné en juillet à la suite d'un désaccord budgétaire avec l'Elysée, a salué sur France 3 "une dynamique réelle", tout en se disant vigilant sur le respect des engagements. Renouvellement des équipements La force de cette LPM est d'avoir su trancher sur un point majeur : plutôt que de lancer des grands programmes, type second porte-avions, à forte résonance médiatique mais répondant moins aux besoins opérationnels immédiats, la loi se concentre sur la régénération des hommes et des matériels. Ceux-ci ont été durement éprouvés par des opérations extérieures et intérieures qui dépassent de 30% le niveau prévu par le Livre blanc de 2013. Priorité est donc donnée à la condition de vie des militaires et de leurs familles : 530 millions dans le cadre du "plan familles", et 11 milliards d'euros prévus pour les infrastructures de défense. L'effort est aussi sensible sur les petits équipements, peu médiatisés mais essentiels à la mission des soldats : treillis ignifugés, gilets pare-balles, casques, protection NRBC (nucléaire, radiologique, bactériologique et chimique). La maintenance, talon d'Achille des armées fraises est également soignée, avec 22 milliards d'euros consacrés à l'entretien des matériels d'ici à 2023. L'autre grande priorité de la LPM est le renouvellement d'équipements hors d''ge. Le programme Scorpion de renouvellement des blindés de l'armée de terre voit ainsi ses livraisons accélérées : 50% des véhicules multi-rôles Griffon et des engins de combats Jaguar seront livrés d'ici à 2025. Ceux-ci remplaceront les antiques VAB et autres AMX 10RC, même si plusieurs centaines de ces machines seront toujours en service en 2025. La Marine ? Elle se verra livrer quatre pétroliers ravitailleurs au lieu de trois, et aura droit à trois avions de patrouille maritime Atlantique 2 rénovés en plus (18 au lieu de 15). Côté armée de l'air, la commande d'avions ravitailleurs A330 MRTT passe de 12 à 15 exemplaires, dont une douzaine livrée d'ici à 2023. Ces appareils remplaceront les antiques C135FR, livrés en 1965. La dissuasion choyée Conformément au souhait d'Emmanuel Macron, le renouvellement de la dissuasion, dans ses deux composantes océanique et aéroportée, est aussi acté, un investissement de 25 milliards d'euros en cinq ans à la clé. Cette accélération permettra de financer le renouvellement du missile ASMP/A embarqué sur Rafale, le lancement du développement des nouveaux sous-marins lanceurs d'engins (SNLE 3G) et du futur missile balistique M51-3. Le coût annuel de la dissuasion va ainsi passer de 3,9 milliards à environ 6 milliards en 2025. La LPM marque enfin un effort important sur le segment spatial : 3 satellites d'observation CSO et un satellite d'écoute électromagnétique CERES seront mis sur orbite d'ici à 2025. L'effort financier énorme de la LPM a convaincu les industriels. "Ce projet de LPM marque un effort important de la nation pour ses armées", se félicite Eric Trappier, PDG de Dassault Aviation et président du Cidef (Conseil des industries de défense françaises), rappelant que cet investissement est le garant de l'"autonomie stratégique française", et de la santé d'une filière "compétitive, innovante, exportatrice et créatrice d'emplois stables à forte valeur ajoutée technologique (200.000 emplois environ)". Essentiel de l'effort après 2022 A bien y regarder, la LPM laisse quand même quelques questions ouvertes. D'abord, une bonne part de l'effort financier est reportée 2023 et 2025, soit hors quinquennat. La hausse annuelle du budget de défense devra alors quasiment doubler, passant de +1,7 milliard par an à +3 milliards. "Cela crée un certain flou : où en sera la situation économique en 2023 ?, s'interroge le député LR François Cornut-Gentille, rapporteur spécial sur le budget défense au sein de la commission des finances de l'Assemblée nationale. Il aurait fallu une montée en puissance plus progressive, avec une plus grande part focalisée sur le quinquennat actuel." De fait, la LPM ne précise pas le niveau exact des budgets militaires 2024 et 2025, qui devront prendre en compte "la situation macroéconomique à cette date". Cette précision ressemble fort à une porte ouverte à Bercy, qui n'en demandait pas tant. Autre faiblesse de la LPM : de nombreuses commandes et livraisons d'équipements sont prévues après 2022, voire après 2025, ce qui jette un doute sur leur confirmation. C'est le cas du programme dit HIL (hélicoptères interarmées légers) : ce nouvel appareil, basé sur le H160 d'Airbus Helicopters, devait remplacer trois flottes d'hélicoptères hors d''ge (Fennec, Alouette III...). Les armées devront attendre : le lancement du programme n'est annoncé qu'en 2022, pour de premières livraisons en 2028. Peu de livraisons de Rafale La LPM semble avoir aussi fermé la porte à une demande de l'armée de l'air de passer de 185 avions de chasse à 215 appareils. Le projet de loi prévoit un format qui restera à 185 appareils à l'horizon 2030. Cette prudence se retrouve dans les faibles livraisons de Rafale prévues : seulement 28 appareils destinés à l'armée de l'air et à la marine seront livrés en 7 ans, soit seulement 4 par an en moyenne. L'armée de l'air pourra un peu se consoler avec la rénovation de 55 Mirage 2000D. Une autre grosse déception concerne le financement des études amont. Le montant annuel doit passer de 730 millions à 1 milliard d'euros, mais cette augmentation sera étalée sur cinq ans. Cet effort apparaît trop modeste au vu des enjeux des armées à l'horizon 2030, notamment sur l'intelligence artificielle et la robotisation. Une DARPA à la française (ou à l'européenne), du nom de la cellule d'innovation avancée du Pentagone, ne serait pas de trop pour faire face aux ambitions américaines, russes ou chinoises. https://www.challenges.fr/entreprise/defense/loi-de-programmation-militaire-2019-2025-les-failles-du-budget-des-armees_566354

  • La quadrature du cercle de Trudeau

    12 février 2018 | Local, Aérospatial

    La quadrature du cercle de Trudeau

    ÉDITORIAL / Gouverner, c'est choisir. Ça ne fait pas que des heureux. Ça commence à donner des soucis à Justin Trudeau. Il n'y a pas d'issue facile à certains des litiges auxquels son gouvernement est confronté. L'exercice du pouvoir nourrit les rangs des mécontents ; à un moment donné, ils deviennent assez nombreux pour vous battre aux élections. Les libéraux n'en sont pas encore là, mais le premier ministre doit faire attention à l'accumulation d'accusations contre son gouvernement. Hier, le Canada a vu un contrat de 233 millions $ lui filer entre les doigts ; les Philippines ont annulé l'achat de 16 hélicoptères de l'usine québécoise Bell Helicopter. Ottawa hésitait à les vendre au régime de Manille qui s'en servirait pour mater des mouvements terroristes. Quand le président Rodrigo Duterte, un adepte de la ligne dure, a senti les craintes du Canada, il a demandé à ses dirigeants militaires de rompre l'entente et de trouver un autre fournisseur. Ces questions de principe sont difficiles à arbitrer. D'un côté, cette vente aurait assuré du travail à 900 personnes à Mirabel. Les Canadiens ignorent l'importance du commerce des armes au pays. Il fournit de l'emploi à plus de 100 000 travailleurs au pays et discrètement, le Canada s'est faufilé parmi les 10 premiers exportateurs au monde. C'est que les statistiques officielles ne disent pas tout. Une part des ventes consiste en des équipements d'appoint ou technologique. Ainsi, le Canada a déjà vendu des hélicos à la Colombie pour sa lutte contre des groupes révolutionnaires, mais seulement après avoir été modifiés. Ainsi, la vente n'apparaissait pas publiquement comme une de type militaire, même si c'était un secret de Polichinelle. Une autre transaction du genre, avec l'Arabie saoudite, continue de faire couler l'encre. Sous les conservateurs de Stephen Harper, Ottawa a permis en 2014 la vente de tanks légers pour 15 milliards $ et assurent de l'emploi à 3000 personnes de General Dynamics à Newmarket. En campagne électorale, M. Trudeau a diminué la portée de l'affaire, arguant que le Canada vendait « des Jeeps ». Mais personne ne reconnaîtrait un Jeep devant une photo de ces tanks légers, mais lourdement armés. Des organisations comme Amnesty International font pression contre ce contrat parce que selon leurs prétentions, le régime de Riyad se servirait de ces véhicules pour réprimer sa minorité chiite. La ministre des Affaires globales, Chrystia Freeland, a soutenu hier que des preuves vidéo de 2016 n'étaient pas concluantes, sans rendre public le rapport à cet effet. Les « Jeeps » de Justin Trudeau, puis cette vente avortée d'hélicoptères aux Philippines : le Canada est-il trop vertueux ? Se met-il la tête dans le sable ? Différents sondages indiquent que la population est partagée. Ajoutons au dossier l'approbation du pipeline Kinder Morgan entre l'Alberta et la Colombie-Britannique. Difficile de réconcilier les prétentions vertes du gouvernement Trudeau et le feu vert qu'il offre aux oléoducs... Comment rétablir la quadrature du cercle ? En fait, c'est impossible. Ottawa doit arbitrer entre les intérêts des uns et des autres, d'une province contre l'autre, d'une question de principe contre des emplois et une économie florissante. Les conservateurs penchaient systématiquement pour l'économie. Ils pratiquaient une forme d'aveuglement volontaire. Quant aux libéraux..., au moins disent-ils avoir soupesé le tout ; croyons-les sur parole, jusqu'à preuve du contraire. Parfois, les circonstances peuvent faire pencher d'un côté ou de l'autre. C'est l'arbitrage difficile du pouvoir. https://www.ledroit.com/opinions/pierre-jury/la-quadrature-du-cercle-de-trudeau-feba1bdc2307d1b066a537683911da28

  • Les militaires du monde s’intéressent aux recherches sur le givre de l’UQAC

    12 février 2018 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR

    Les militaires du monde s’intéressent aux recherches sur le givre de l’UQAC

    Vingt-deux conseillers militaires de dix-neuf pays sont dans la région ces jours-ci pour visiter le Laboratoire international des matériaux antigivre (LIMA) de l'UQAC, le seul laboratoire au monde qui se spécialise sur la question. Car le givre est un ennemi contre lequel bombes, obus, balles et autres projectiles sont généralement inefficaces, alors que sa présence peut constituer une sérieuse menace. « On a beaucoup de conseillers militaires étrangers qui sont des pilotes, ou qui sont rattachés d'une façon comme d'une autre à l'aviation », précise le capitaine Christian Courtemanche, officier de liaison diplomatique au sein des Forces canadiennes. « Le dégivrage d'avion, et le dégivrage d'ailleurs de vaisseaux maritimes et tout, c'est quelque chose qui intéresse tous les pays, surtout avec les changements climatiques des dernières décennies. » Et contrairement à ce qu'on pourrait croire, le givre n'est pas un problème limité aux pays froids. « Le problème de givrage en aviation ce n'est pas seulement pour les pays nordiques parce que ça se passe à haute altitude », ajoute le lieutenant-colonel Marc Ferron, directeur de liaison avec l'étranger. « Donc ça affecte pas mal toutes les forces armées représentées ici. » L'intérêt que portent les militaires aux travaux du LIMA réjouit le directeur du laboratoire. "Ils voient ce qu'on est en mesure de faire ou de proposer. Donc je pense que ça peut dans le futur, amener à certaines collaborations." Christophe Volat, directeur du LIMA C'est ce que croit aussi le lieutenant-colonel Ferron. « Les attachés militaires sont très impressionnés par ce qu'ils ont vu », assure-t-il, soulignant que son rôle est justement de favoriser ce genre d'échanges. http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1083357/givre-uqac-armee

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