16 octobre 2018 | International, Aérospatial

U.S. Navy extends sustainment and support contract with Rockwell Collins for F/A-18 avionics displays

  • Navy experiencing 99 percent availability rates as a result of the program demonstrates success of Public Private Partnership between Rockwell Collins and U.S. Navy Depots

CEDAR RAPIDS, Iowa (Oct. 16, 2018) – Rockwell Collins and the U.S. Navy Naval Supply Systems Command Weapon Systems Support (NAVSUP WSS) have renewed an agreement for continued support on avionics displays for the Navy's F/A-18 fleet of over 1,200 aircraft. The contract is a four-year extension of the performance-based logistics (PBL) contract which started more than 15 years ago.

To date, the existing PBL agreement with Rockwell Collins has provided the Navy with over 99 percent availability rates, eliminated all backorders on parts since 2005 and performed a turnaround time of less than 48 hours for most replacement hardware.

As part of the initial program, a public-private partnership was established. The partnership creates shared industry and government incentives and allows the government to perform work at two Navy depot locations. Today, more than 60 percent of the work is completed through these depot partnerships. Additionally, Rockwell Collins provides obsolescence and configuration management, engineering support and program management. These capabilities facilitate proactive management of Rockwell Collins equipment installed on the aircraft, enabling mission readiness.

“The longstanding relationship we have with NAVSUP WSS and Navy repair depots has been crucial in the success of this program,” said Aaron Maue, senior director, Government Service Solutions for Rockwell Collins. “As we move forward, we'll continue to work together to optimize results and deliver the long-term value that PBLs provide.”

Rockwell Collins has over 20 years of experience in PBL contracting with a 100 percent program renewal rate. The company's proven track record in PBL contracts has shown they improve reliability and readiness, and by integrating the logistics chain, significant results for performance can be achieved.

About Rockwell Collins
Rockwell Collins (NYSE: COL) is a leader in aviation and high-integrity solutions for commercial and military customers around the world. Every day we help pilots safely and reliably navigate to the far corners of the earth; keep warfighters aware and informed in battle; deliver millions of messages for airlines and airports; and help passengers stay connected and comfortable throughout their journey. As experts in flight deck avionics, cabin electronics, cabin interiors, information management, mission communications, and simulation and training, we offer a comprehensive portfolio of products and services that can transform our customers' futures. To find out more, please visit www.rockwellcollins.com.

https://www.rockwellcollins.com/Data/News/2018-Cal-Yr/GS/20181016-US-Navy-extends-sustainment-support-contract-F-18-avionics.aspx

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  • Londres lance une force ‘européenne’ de protection maritime dans le Golfe. Les Français répondent présent

    22 juillet 2019 | International, Naval

    Londres lance une force ‘européenne’ de protection maritime dans le Golfe. Les Français répondent présent

    Une montée en puissance lente La présence va être renforcée peu à peu. Aux côtés du HMS Montrose (F-236), une frégate de type 23 déjà sur place, la Royal Navy a envoyé sur place le HMS Duncan (D-37), un destroyer de Type 45 destroyer), qui devrait sur zone dans quelques jours, d'ici « le 29 juillet ». Ce sera la « première étape dans ce processus de montée en puissance ». Objectif : protéger les navires battant pavillon britannique (tankers pétroliers, transporteurs de gaz liquéfié, cargos...) naviguant dans le détroit d'Ormuz. Jérémy Hunt a tenu à cependant à avertir que cet effort n'était pas militaire. « Nous faisons cela, non pas accroitre la tension, mais parce que nous estimons que la liberté de navigation est importante. Ce que nous recherchons est la désescalade. » Une force européenne, la France répondra présent « La coalition proposée sera placée sous le leadership européen » a précisé Jérémy Hunt. Plusieurs pays ont été contactés pour participer à cette force, dont le format n'est pas précisé exactement. La France et l'Allemagne notamment a précisé le ministre britannique, ayant indiqué avoir parlé avec ses homologues Jean-Yves Le Drian et Heiko Maas. Les Pays-Bas et la Norvège — deux pays avec une industrie pétrolière — auraient aussi été contactés selon nos informations. La France répondra présent. La ministre de la Défense française Florence Parly l'a assuré ce lundi après-midi après un entretien téléphonique avec son homologue britannique Penny Mordaunt. Il y a une « pleine solidarité » entre la France et le Royaume-Uni « alors qu'un pétrolier britannique est toujours retenu par l'Iran ». « La liberté de navigation dans le Golfe est un enjeu majeur de sécurité pour les Européens » a-t-elle indiqué. « Nous souhaitons travailler ensemble à la garantir. » Une force bien distincte de l'effort américain Cette force agira en coordination avec les autres forces, notamment américaines présentes dans la zone. « On ne peut pas exclure les Américains. Nous agirons en coordination avec eux ils ont des moyens de ravitaillement en mer ou d'information » qui sont utiles à l'opération. Mais cette force sera bien distincte. Le chef de la diplomatie britannique a tenu cependant à le préciser devant la Chambre des communes, il ne s'agit pas pour les Britanniques de s'associer aux efforts américains en cours visant à briser l'Iran. « Cela ne fait pas partie de l'effort maximum des Américains sur l'Iran, car nous sommes engagés dans l'accord sur le nucléaire iranien. » Des règles d'engagement élaborées Les règles d'engagement sont en cours d'élaboration, mais le ministre n'a pas tenu devant la chambre à en donner tous les détails. Les navires marchands devront aussi faire un effort pour accroitre leur sécurité. « On pourra pas assurer un risque zéro, mais on pourra le réduire. » Tous les navires battant pavillon britannique transitant par le détroit d'Ormuz devront ainsi communiquer la date de leur passage pour « nous permettre d'offrir la meilleure protection possible ». D'autres mesures pourraient aussi être nécessaires. Un élément doublement stratégique Ce lancement est intéressant. On avait connu des Britanniques beaucoup plus atlantiques et moins européennes. Aussi quand Jérémy Hunt, un ministre tory bon teint, annonce une « European-led maritime force », menée en « coalition » (1) on se pince presque pour se dire qu'on ne rêve pas. Même le plus audacieux Européen n'aurait jamais imaginé une situation où Londres réclame une opération ‘européenne'. C'est assez ironique qu'il fallait le Brexit (et Donald Trump) pour que les Britanniques se souviennent qu'avoir une force européenne peut avoir autant d'intérêt qu'une force euro-atlantique. Mais c'est une affaire de haute politique. Il s'agit pour les Britanniques de bien se distinguer des efforts américains en cours contre l'Iran. Le chef du Foreign Office l'a répété à plusieurs reprises, interrogé par les députés de la Chambre des communes : cette force sera bien distincte de l'effort américain. Un geste de puissance douce Et placer cette force sous commandement de l'OTAN serait un signe immédiat d'hostilité. Le placer sous commandement européen est un geste de ‘puissance douce'. L'Europe peut afficher qu'elle ne vise que la protection des navires, comme elle l'a fait dans l'Océan indien, contre les pirates somaliens, de concert d'ailleurs avec des navires iraniens. Et parmi les députés britanniques, cette force européenne de lutte contre la piraterie (commandée par les Britanniques depuis Northwood) est un « véritable succès ». Les députés britanniques l'ont rappelé lors du débat à la chambre. Une campagne en cours N'oublions pas cependant un élément principal : Jérémy Hunt est en campagne actuellement pour briguer le poste de chef du parti conservateur et dans le même temps celui de Premier ministre. Il a intérêt à la fois à durcir le ton, mais aussi à affirmer sa différence avec Boris Johnson sur un point essentiel : la coopération avec l'Europe. En défendant la mise en place d'une force européenne dans le détroit d'Ormuz, il affirme sa détermination. En la plaçant sous l'emblème de l'Europe, il affiche la nécessité d'avoir une approche plus mesurée qu'un hard deal. Car, dès aujourd'hui, les Britanniques peuvent et auront besoin des Européens. Un besoin d'Europe Soyons clairs. Même dynamique, la flotte britannique ne suffira pas à assurer la protection des navires soit battant pavillon britannique, soit propriété ou armé par une compagnie britannique. Il faut une coalition d'Européens. Au passage, cela permet à la marine britannique de retrouver un rôle et une mission de premier plan, depuis qu'elle ne participe plus ni à la force anti-piraterie de l'UE déployée dans l'Océan indien, ni dans les opérations en Méditerranée. Le QG d'opération de Northwood va pouvoir ainsi retrouver une vocation maritime qu'il avait perdue avec le départ de l'opération EUNAVFOR Atalanta pour un QG espagnol (pour cause de Brexit). (Nicolas Gros-Verheyde)https://www.bruxelles2.eu/2019/07/22/londres-lance-une-force-europeenne-de-protection-maritime-dans-le-golfe-les-francais-repondent-present/

  • Ces startups du renseignement poussées dans les bras étrangers

    2 octobre 2019 | International, Sécurité

    Ces startups du renseignement poussées dans les bras étrangers

    Par Anne Drif Comme Linkurious et Earthcube, plusieurs entreprises innovantes du renseignement et de la défense sont sollicitées par des investisseurs étrangers, dont le fonds de la CIA In-Q-Tel. En France, elles n'ont pas ou peu d'alternatives de financement. "Il faut arrêter Hollywood !" l'che, amer, un entrepreneur français devant le déluge d'images sur l'innovation des armées qui anime la communication du ministère de la Défense depuis quelques semaines. Le "Flyboard Air" de Franky Zapata a failli battre pavillon américain . D'autres projets moins cathodiques sont poussés à prendre un drapeau étranger, faute de trouver les financements adéquats en France. La faille est désormais bien identifiée par les investisseurs étrangers, qui ont ciblé ouvertement ces derniers mois les startup françaises du secteur de la défense et de la sécurité. Le fonds de la CIA, In-Q-Tel, s'est intéressé de près à Linkurious, la startup qui a aidé dans l'affaire des "Panama Papers" en détectant les interconnexions entre personnes à partir de signaux faibles pour les banques, l'armée ou Bercy. Investisseurs américains ou qataris Le fonds d'investissement américain , qui vient de s'installer en Europe, a également approché Earthcube . Cette solution d'intelligence artificielle qui permet d'identifier en quelques secondes des micro pixels sur des images satellites est utilisée par la Direction du renseignement militaire. La société Elika, qui innove dans la linguistique opérationnelle pour permettre aux forces armées de communiquer dans un langage interallié a elle aussi reçu des propositions de fonds américains et qataris. Certaines - par exemple Dataiku, qui travaille pour Tracfin -, ont déjà basculé. La startup d'intelligence artificielle a bouclé un quatrième tour de table de 101 millions de dollars auprès de fonds anglo-saxons de premier ordre, comme Iconiq Capital, proche du CEO de Facebook, Mark Zuckerberg. Des startup trop connotées De fait, les startup de la défense et du renseignement se lancent gr'ce aux subventions et aux contrats industriels noués avec la Direction générale de l'armement ou la nouvelle Agence d'innovation de la défense, mais peinent très vite à grandir avec des solutions de financement hexagonales. "Si on veut conserver un ADN tricolore, l'écosystème de financement reste à inventer. Les investisseurs français sont hésitants à l'idée de mettre de l'argent dans notre secteur", témoigne Arnaud Guérin, le cofondateur d'Earthcube. Chez Numalis, où l'on gère une méthode de calcul capable de corriger les systèmes critiques des missiles, des fusées ou des centrales nucléaires, on cherche aussi de l'agent frais. La startup, qui mobilise des subventions de BPI et reçoit l'aide d'un fonds régional, a tenté de convaincre des fonds de capital-risque et d'amorçage. En vain. Désintérêts "Nous n'y sommes pas arrivés, explique Arnault Ioualalen, le fondateur. Si l'on ne trouve pas d'acteur français, nous nous efforcerons de nous tourner vers des Européens. Mais les fonds classiques réfléchissent à cinq ans, un horizon beaucoup trop court pour la deep-tech." Les grands fonds français expliquent leur appréhension. "Nous ne pouvons pas investir dans ce qui touche de près ou de loin au commerce d'armes, explique Jean-Marc Patouillaud, managing partner de Partech. Le nombre limité d'acteurs, de clients, la nature des cycles et des processus de vente sont des facteurs de risques, sans compter le droit de regard des pouvoirs publics sur toute transaction." Coup de fil du ministère des armées Même constat de Benoist Grossmann, le directeur général d'Idinvest. "La cybersécurité et la géosurveillance sont peu matures, et il existe plein d'autres opportunités dans d'autres secteurs. Aux Etats Unis, c'est différent, le marché de la défense est beaucoup plus profond", ajoute-t-il. Quand les fonds français osent quand même s'intéresser au secteur, "la première chose qu'ils sondent est Bercy au titre du contrôle des investissements... Dans l'heure, ils reçoivent un coup de fil de la DGA !" témoigne un entrepreneur. En réalité, ce problème n'est pas nouveau. En témoigne la création de Definvest, le fonds de 50 millions d'euros monté l'an dernier par bpifrance pour le compte du ministère des Armées. Mais ce dernier ne répond que partiellement aux besoins, car il intervient uniquement... aux côtés de fonds privés, et ne prend jamais la main. Par le passé, d'autres tentatives semi-publiques avaient déjà échoué . Pré-carré des industriels La défiance est la même du côté des banques. "Nous avons fait le choix de ne pas lever de fonds étrangers, mais nous ne trouvons pas de financement bancaire, même pour 500.000 euros. Nous tentons donc de fonctionner avec des prêts d'honneur de Total, Airbus et Michelin. C'est forcément limité", déplore Karine Joyeux, la présidente d'Elika. Pour les startup, les verrous ne sont pas que financiers. "Ce que nous font comprendre en creux les institutions de la Défense, c'est qu'elles ne veulent pas voir l'émergence de startups qui viendraient concurrencer les grands groupes installés, s'agace un entrepreneur du secteur. L'armée pousse à ce que nous intégrions nos technologies dans ces grands groupes, mais nous voulons garder notre indépendance. Et ce n'est pas ce qui va pousser à créer des technologies de rupture !" Du coup, certaines startup préfèrent l'autofinancement, comme Linkurious. "Nous avons fait le choix de ne pas lever de fonds pour garder notre indépendance", explique le président exécutif Sébastien Heymann. Vers un abandon du secteur défense pour le civil D'autres jeunes pousses renoncent et se réorientent purement et simplement vers la seule clientèle civile. C'est le "pivot" opéré par Flaminem, pourtant présenté comme le futur concurrent français de la société américaine d'analyse de données Palantir. "Nous restons attentifs au marché régalien, mais ce n'est pas un domaine qui réagit suffisamment vite à notre échelle", explique Antoine Rizk, le CEO de Flaminem. La startup s'est donc entièrement tournée vers le vaste marché de la lutte contre la fraude et le blanchiment des banques. Moins sulfureux, mais plus "bankable". https://start.lesechos.fr/startups/actu-startups/ces-startups-du-renseignement-poussees-dans-les-bras-etrangers-16216.php

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