9 novembre 2018 | Local, Aérospatial

Updated - Dassault makes it official – Rafale is out of Canadian fighter jet competition

DAVID PUGLIESE, OTTAWA CITIZEN

Dassault Aviation has officially confirmed to Agence France-Presse that the firm has pulled out of Canada's future fighter program. The company had planned to offer the Rafale but decided against competing the aircraft because of the extensive Canadian requirements for interoperability with U.S. forces, according to a number of news reports, citing sources. The Canadian government confirmed the withdrawal after the news report became public. “On November 8, the French government officially notified Canada of its withdrawal from the competitive process to replace Canada's fighter jet fleet,” said Public Services and Procurement Canada spokesperson Rania Haddad. “We will continue to work closely with the remaining eligible suppliers to ensure they are well positioned to participate in the ongoing competition.”

https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/dassault-makes-it-official-rafale-is-out-of-canadian-competition

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  • Le stratagème du ministre Harjit Sajjan pour dégoter des respirateurs

    23 avril 2020 | Local, Sécurité, Autre défense

    Le stratagème du ministre Harjit Sajjan pour dégoter des respirateurs

    (Ottawa) Le ministre de la Défense Harjit Sajjan a pu déjouer les velléités protectionnistes de l'administration Trump et obtenir 200 respirateurs destinés au Canada qui étaient retenus à Boston gr'ce aux liens qu'il a pu établir avec le Pentagone au cours des cinq dernières années. Publié le 21 avril 2020 à 4h00 Selon des informations obtenues par La Presse, les respirateurs en question sur lesquels les autorités canadiennes voulaient mettre la main ne devaient plus quitter le territoire américain à la suite de la décision du président des États-Unis Donald Trump d'invoquer le Defence Production Act (DPA), une loi qui remonte à la guerre de Corée et qui permet à l'administration d'imposer des conditions aux manufacturiers américains, par exemple le type de produits qu'ils fabriquent en priorité, et d'en limiter les exportations. Le président Trump a récemment invoqué cette loi pour empêcher la société américaine 3M d'exporter des masques N95 vers le Canada et des pays d'Amérique latine. Cette décision, qui a soulevé l'ire des autorités canadiennes, et en particulier du premier ministre de l'Ontario Doug Ford, a toutefois été partiellement infirmée une semaine plus tard, et l'entreprise a pu reprendre ses exportations vers le Canada. En coulisses, le ministre Sajjan et ses conseillers ont pu contourner les obstacles érigés par le président américain afin d'obtenir les 200 respirateurs flambants neufs en demandant aux Forces armées canadiennes de procéder à leur achat. « Le ministre et son équipe ont persuadé le Pentagone de les envoyer au Canada. On leur a dit qu'il fallait que la commande soit faite par les Forces armées canadiennes et le Pentagone, en raison des alliances militaires existantes, avait l'autorisation de procéder à l'envoi des respirateurs », a expliqué une source gouvernementale. La Presse a accordé l'anonymat à cette source parce qu'elle n'avait pas l'autorisation de discuter publiquement de ce dossier. « C'est tout de même remarquable ce qui a été fait dans ce dossier. [...] C'est d'autant plus vrai que les relations canado-américaines représentent tout un défi en raison de la crise et que les choses risquent d'empirer encore au sud de la frontière », a ajouté cette source digne de foi. D'un commun accord, le Canada et les États-Unis ont annoncé en fin de semaine que la frontière entre les deux pays allait demeurer fermée pour les voyages non essentiels pour une autre période de 30 jours, soit jusqu'au 21 mai. Ces 200 respirateurs font partie des quelque 400 appareils obtenus par le gouvernement fédéral qui ont été distribués aux provinces au cours des dernières semaines, selon nos informations. Il a été impossible d'obtenir le nombre de respirateurs qui a été remis à chacune des provinces par Ottawa. Au bureau du ministre Sajjan, un proche collaborateur n'a pas voulu commenter l'intervention en coulisses du ministre, préférant braquer les projecteurs sur l'ensemble du gouvernement fédéral durant la crise de la pandémie de COVID-19. « Le ministre a d'excellentes relations avec son homologue de la Défense aux États-Unis. Il s'agit d'un travail d'Équipe Canada », a notamment affirmé ce proche collaborateur, qui a requis l'anonymat. Récemment, le premier ministre Justin Trudeau a annoncé que le gouvernement fédéral avait conclu des ententes avec des entreprises canadiennes comme Thornhill Medical et CAE, entre autres, afin d'acheter 30 000 respirateurs fabriqués au Canada. À la reprise des travaux de la Chambre des communes, lundi, M. Trudeau a indiqué que l'on s'attend à ce qu'une première commande de respirateurs soit livrée en mai. M. Trudeau a d'ailleurs dû expliquer aux Communes pourquoi une agence fédérale avait jeté aux ordures quelque 2 millions de masques N95 et 440 000 gants qui se trouvaient dans un entrepôt de la Réserve nationale stratégique d'urgence (RNSU), qui a pignon sur rue à Regina, au printemps dernier, comme l'a révélé la semaine dernière une enquête de la CBC. La RNSU, qui relève du gouvernement fédéral, permet aux provinces et aux territoires d'obtenir des équipements médicaux qui s'y trouvent en cas de crise sanitaire comme une pandémie. Le premier ministre a indiqué que ces équipements étaient périmés depuis au moins cinq ans, mais il a affirmé que l'on doit revoir les protocoles d'utilisation afin de remettre ces équipements aux provinces pour les utiliser avant qu'ils atteignent la date limite d'utilisation de cinq ans. Cela devrait permettre à l'agence de renouveler son stock en quantité suffisante pour affronter les crises comme celle que l'on vit en ce moment. https://www.lapresse.ca/covid-19/202004/20/01-5270187-le-stratageme-du-ministre-harjit-sajjan-pour-degoter-des-respirateurs.php

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    8 janvier 2019 | Local, Sécurité

    Defence department still wounding anesthetized animals in ‘live tissue training’

    David Pugliese, Ottawa Citizen The Defence Department has cut down on its use of rodents and pigs for research and experiments but says realistic instruction for its medical personnel still requires live animals to be wounded during training and later killed. In 2018 the department used 882 animals, such as mice, rats and pigs, for training and experimentation, down from the 4,000 animals used in 2009, according to figures provided by the Department of National Defence and government records obtained by Postmedia. The animals are used by Defence Research and Development Canada for assessment of emerging chemical and biological threats and by military personnel for what is known as “live tissue training,” according to a 2016 briefing for Chief of the Defence Staff Gen. Jon Vance. In such a scenario the animals are anesthetized and then wounded. Military medical staff treat the wounds in order to gain experience. After the training the animals are killed. “The Department of National Defence currently uses live tissue where necessary to provide advanced military medical training for specific operational requirements,” the department stated in an email to Postmedia. But the DND is trying to reduce the use of animals as much as possible by using different experimental techniques and making use of simulators that can replicate a human patient, according to the 2016 briefing note. That has allowed for the drop to 2,000 animals in 2015 from 4,000 in 2009, the documents noted. “The life-saving experiences, confidence and skills acquired by our young medical technicians using live tissue remain critical components of their curriculum,” Vance was told. Various animal rights groups have been trying over the years to convince the DND and Canadian Forces to stop any kind of testing on animals and to use the simulators instead. The Animal Alliance of Canada has an on-going letter-writing campaign to try to convince Defence Minister Harjit Sajjan to put an end to using animals. The organization noted that Canada is one of the few NATO nations that continues to use animals. Most NATO countries are using high-tech simulators which, unlike animals, accurately mimic human physiology and anatomy. In its response to Postmedia the DND stated that it is “actively working to assess and validate the effectiveness of simulation technologies as part of our objective to find equal or superior alternatives to live tissue training in casualty care training.” It noted that Health Canada regulations stipulate that new drugs or medical techniques can't be used on humans without going through pre-clinical trials “that scientifically test their efficacy and toxicity using non-human models.” The Canadian military has a long history of experimenting on animals, exposing them to various chemical and biological warfare agents and more recently developed weapons. In the 1980s the use of animals became controversial after details of a number of military experiments were made public. Monkeys were used at defence facilities in Suffield, Alta., for experiments involving nerve gas antidotes. In 1983 researchers at the University of Ottawa made headlines after their experiments for the DND on dogs became known. Twenty specifically bred beagles were exposed to high levels of radiation to make them vomit. They were then killed and their organs removed for study. The DND research was aimed at finding a cure for nausea. In 2012, Defence Research and Development Canada subcontracted testing of a new taser projectile to a U.S. university. The projectiles were fired at pigs, according to documents obtained by Postmedia outlining experiments on “conducted energy weapons.” That same year, a study in the journal Military Medicine revealed that Canada was only one of six NATO countries still using animals in its experiments. dpugliese@postmedia.com Twitter.com/davidpugliese https://nationalpost.com/news/defence-department-still-experimenting-on-animals-but-numbers-have-been-reduced

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    30 décembre 2022 | Local, Aérospatial

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    On a appris récemment dans les médias que le gouvernement canadien pourrait considérer l’option d’attribuer un contrat de gré à gré à la société Boeing pour l'acquisition de 8 à 12 avions de patrouille et de surveillance P-8 Poseidon, une plateforme qui est basée sur le Boeing 737. Cet achat, dont le coût est estimé à plus de 5 milliards de dollars, viserait à remplacer les avions CP-140 Aurora de l’Aviation royale canadienne.

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