6 février 2024 | International, C4ISR

Ukraine's Zelenskiy orders creation of separate military force for drones

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    23 mars 2021 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    APAC Defense Budgets Least Affected By COVID-19 | Aviation Week Network

    As a result of the relatively limited economic impact of the COVID-19 pandemic in Asia-Pacific (APAC) compared to other regions around the world, Aviation Week analysts expect that defence budgets throughout the region will continue to expand at robust rates over the next five years, following a brief slowdown. 

  • Cyber innovation at the forefront of UK’s approach to modern warfare

    23 mai 2019 | International, C4ISR, Sécurité

    Cyber innovation at the forefront of UK’s approach to modern warfare

    Defence Secretary Penny Mordaunt has announced £22 million in funding for Army cyber operations centres Speaking this evening at the NATO Cyber Defence Pledge Conference in London, Defence Secretary Penny Mordaunt will address the need for the UK and NATO members to recognise offensive cyber as central to modern warfare. As the UK has already demonstrated against Daesh in the Middle East, it can be a vital tool to keep people in the UK and overseas safe from virtual and physical threats. The military continues to develop its cyber capabilities as part of the £1.9 billion investment into the National Cyber Security Strategy, focused on boosting the UK's cyber security. Recent UK innovations have included the creation of the National Cyber Security Centre which brings together government, intelligence agencies and the private sector into one organisation. The state-of-the-art Defence Cyber School, which marked its first anniversary in March this year, is also training the next generation of cyber experts. The Defence Secretary will today expand that commitment, announcing £22 million in funding to stand up new Army cyber operations centres across the UK. Defence Secretary Penny Mordaunt will say: We know all about the dangers. Whether the attacks come from Russia, China or North Korea. Whether they come from hacktivists, criminals or extremists. Whether its malware or fake news. Cyber can bring down our national infrastructure and undermine our democracy. It's time to pay more than lip service to cyber. We must convince our adversaries their advances simply aren't worth the cost. Cyber enemies think they can act with impunity. We must show them they can't. That we are ready to respond at a time and place of our choosing in any domain, not just the virtual world. We need coherent cyber offense as well as defence. So today I can announce we will be investing £22m to create new cyber operations centres. Putting the Army at the forefront of information warfare, the centres will draw together cyber capability from a range of sources – including both national intelligence and open source data – to give the Army the competitive edge across all environments. The cyber centres will provide the Army with 24/7 information and analysis, dispel misinformation and give the UK Armed Forces and our allies the upper hand on emerging digital threats. The centres are likely to be used to support overseas operations, humanitarian missions, and efforts to protect UK digital communications on home soil. The centres will work with existing Army capabilities, such as 77 Brigade – a modern and information-focused British Army unit – but will also have regular contact with joint and other national security organisations. Major General Tom Copinger-Symes, General Officer Commanding Force Troops Command: These new cyber centres will allow the Army and Defence to transform the way we use data, at speed, so that we can compete with our adversaries in a way fit for the 21st Century. Combining artificial intelligence with our military analysts will help us better understand threats and exploit opportunities, in turn enabling us to get the truth out much more rapidly, quashing the noise of disinformation from our enemies. While details on locations are yet to be confirmed, building in support of the centres is due to begin next year, with operations expected to commence in the early 2020s. The MOD is embracing transformation at an ever-faster rate and investments in truly high-tech innovation, such as in the provision of cutting-edge cyber centres, that will develop the Armed Forces of the future. https://www.gov.uk/government/news/cyber-innovation-at-the-forefront-of-uks-approach-to-modern-warfare

  • Comment les Rafale et véhicules aériens ont réduit le déficit commercial de la France en 2019

    15 juin 2020 | International, Aérospatial

    Comment les Rafale et véhicules aériens ont réduit le déficit commercial de la France en 2019

    Les exportations d'armements ont dopé la balance commerciale de la France en 2019. Selon des données dévoilées le 15 juin par l'Observatoire économique de la défense, les exportations de matériels de guerre ont atteint un niveau historique. En 2019, la France a réussi à diminuer son déficit commercial de 3,9 milliards d'euros. Comment ? Notamment gr'ce au succès de ses armements à l'international. Les exportations de matériels de guerre et produits liés ont atteint un record décennal de 11,3 milliards d'euros (+34 %), selon le bulletin du mois de mai de l'Observatoire économique de la défense (OED). Les véhicules aériens ont particulièrement contribué à ces résultats. Quatrième meilleur secteur en excédent commercial Le succès des armes françaises à l'export n'est pas nouveau. Début juin, le ministère des Armées rapportait un haut niveau de prises de commandes. Cette fois, on connaît la valeur totale des exportations, le type de biens exportés et également les zones géographiques vers lesquelles ils sont expédiés. Avec 2,7 milliards d'euros d'importations, l'excédent commercial lié aux livraisons de matériels de guerre s'élève à 8,5 milliards d'euros en 2019 (+2,1 milliards d'euros et +32,8 % par rapport à 2018). “Cet excédent sectoriel est une des principales sources d'atténuation du déficit commercial de la France”, fait remarquer l'Observatoire économique de la défense. Seuls trois secteurs dépassent cet excédent commercial en France : en premier l'aéronautique civile (+29,6 milliards d'euros), l'agro-alimentaire des boissons (+13,2 milliards) et l'industrie manufacturière des parfums et des cosmétiques (+12,5 milliards). L'aviation de défense repart Après une stagnation entre 2017 et 2018, les exportations d'avions et d'autres véhicules aériens repartent avec une augmentation de 24,4 % entre 2018 et 2019. Cette catégorie représente à elle seule 2,8 milliards d'euros, soit 25 % de l'ensemble des exportations de matériels de guerre. Les systèmes de propulsion (turboréacteurs, turbopropulseurs) enregistrent également une belle performance : leurs exportations ont cru de 34 % à 2,3 milliards d'euros, soit 20 % de la valeur totale exportée par la France. “Ces exportations sont principalement à destination, dans l'ordre, du Proche et Moyen-Orient, de l'Union européenne, de l'Amérique et de l'Asie”, note l'OED. L'Observatoire économique de la défense ne détaille pas les produits livrés mais l'avion de combat Rafale de Dassault Aviation a sans doute contribué à ces résultats. En 2019, les livraisons de cet appareil vers l'étranger ont explosé à 26 exemplaires. Belle croissance pour les instruments d'optique Derrière, les avions et les systèmes de propulsion les armes et les munitions comptent pour 2,1 milliards d'euros (+34,7 %), soit 18 % des exportations françaises de matériels de guerre. “Près de trois quarts de ces exportations sont des bombes, des grenades, des torpilles ou des missiles”, décrit l'OED. Les chars, les véhicules blindés, les instruments d'optique, de mesure et de précision représentent moins d'argent. En revanche ces catégories affichent les plus fortes croissances. Les exportations de véhicules blindés décollent de +56,8 % (1,1 milliard d'euros). Les instruments ont quant à eux progressé de 47 % (700 millions d'euros). “Il peut s'agir de télémètres ou encore d'appareils pour la navigation à usage militaire. 80 % des exportations sont à destination du Proche et Moyen-Orient, de l'Afrique et de l'Asie (hors Proche et Moyen-Orient)”, détaille l'OED. Pour le secteur maritime, l'année 2019 n'a pas connu de grandes livraisons à l'international. Les navires de guerre affichent une contre-performance de -20,4 % et n'ont compté que pour 128,3 millions d'euros dans les exportations. Les appareils de détection et de radiosondage (radars, sonars et leurs composants) affichent une croissance de 59 % à 1,8 milliards d'euros. Selon l'OED, ces matériels sont principalement exportés vers le Proche et Moyen-Orient. Le Proche et Moyen-Orient, principaux clients de la France De manière générale, le Proche et Moyen-Orient concentrent 42,4 % des exportations françaises (4,8 milliards d'euros, +205 %). Les résultats sont plus serrés entre les autres zones géographiques : l'Amérique représente 11,4 % des exportations (1,3 milliard), derrière l'Afrique (13,8 %, 1,6 milliard), l'Asie (15,7 %, 1,8 milliard) et l'Europe (16,7 %, 1,8 milliard). Pour les importations, la préférence européenne joue aussi. “La majorité des importations françaises de matériels de guerre et produits liés provient de l'Union européenne : 56,2 %, soit un 1,5 milliard d'euros”, fait remarquer l'OED tandis que l'Amérique représente 27,3 % des importations (0,8 milliard). https://www.usinenouvelle.com/editorial/comment-les-rafale-et-vehicules-aeriens-ont-reduit-le-deficit-commercial-de-la-france-en-2019.N975531

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