15 août 2023 | Local, Aérospatial

The Pilot Project Podcast: Featuring Paul Hodgson, intake management officer with Canadian Forces Recruiting Group - Skies Mag

In episode 20 of the Pilot Project Podcast, Paul Hodgson shares his advice for successfully joining the RCAF as a pilot.

https://skiesmag.com/news/pilot-project-podcast-featuring-paul-hodgson-intake-management-officer-canadian-forces-recruiting-group/

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    30 mars 2022 | Local, Aérospatial

    Assessing the costs and benefits of Canada's 12-year F-35 odyssey

    There was no fake cockpit, no smiles or thumbs up as Procurement Minister Filomena Tassi and Defence Minister Anita Anand made the announcement that Canada was going with the F-35.

  • Interview de fin d’année avec le Ministre de la Défense nationale, Harjit Sajjan

    17 décembre 2019 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Interview de fin d’année avec le Ministre de la Défense nationale, Harjit Sajjan

    Par Nicolas Laffont À l'occasion de la fin d'année et peu après le Discours du Trône, 45eNord.ca a discuté de l'année écoulée et de ses futures priorités avec le ministre de la Défense nationale, Harjit Sajjan. Processus d'acquisition D'entrée de jeu le ministre Sajjan se dit satisfait cette année des avancées faites dans le domaine de l'approvisionnement. «Nous avons des projets comme celui des navires de combat de surface qui avance très bien, mais on a également le processus en lui-même qui est plus rapide. Le projet des véhicules de soutien devait prendre cinq ans, mais nous avons été en mesure d'annoncer l'attribution d'un contrat cet été». La livraison des premiers véhicules doit intervenir aussi tôt que fin 2020. «Nous avons aussi le nouvel avion de recherche et sauvetage qui s'en vient [le CC-295 d'Airbus], c'est une autre étape importante pour les Forces armées canadiennes». Inconduites et extrémisme Reconnaissant clairement qu'il y a «encore du travail à faire», le ministre de la Défense fait savoir que dès qu'un incident se produit, «il est pris très au sérieux. Les Canadiens doivent comprendre que notre organisation est «focusé» à répondre vigoureusement à ce genre de situation». «Le travail est en cours et pendant que nous faisons tout notre possible pour créer un environnement de travail plus inclusif, nous voulons aussi nous assurer que notre réponse soit toujours en phase avec la situation». Réserve en force Le Canada sera de plus en plus fragile face aux changements climatiques. Déjà les effets s'en font sentir, avec une augmentation sensible d'évènements climatiques de grande ampleur. En raison de ces changements climatiques, les Forces armées canadiennes se déploient de plus en plus au pays, pour combattre les feux de forêts ou les inondations, «et cela ne fait qu'empirer». La présence de la Réserve et de ses réservistes sera donc plus forte à l'avenir, en raison évidemment du lien entre les unités et leur communauté. «À chaque fois que j'ai visité les troupes et que l'on parle de l'intégration des réservistes avec les forces régulières, les opérations LENTUS sortent du lot. Les réservistes amènent en plus leur propre expérience acquise dans le civil. Je me souviens d'un endroit où l'officier commandant connaissait très bien les lieux parce qu'il travaillait dans le coin et il a pu faire des évaluations rapides et efficaces au point où des vies ont clairement été sauvées.» Les Nations Unies oubliées ? En 2018-2019, le Canada a envoyé une force opérationnelle au Mali pour évacuer des blessés et aider le transport tactique et logistique de la mission des Nations Unies (MINUSMA). La mission s'est achevée à l'été 2019 et s'il se dit «très fier» du travail accompli par les hommes et femmes des Forces armées canadiennes dans la région, le ministre Sajjan reste prudent quand on lui parle de contributions supplémentaires (pourtant annoncées!). «Nous sommes en Ouganda quelques jours par mois pour fournir un transport aérien tactique aux Nations Unies. Mais nous devons prendre une décision avec en tête où nous pouvons avoir le meilleur impact», explique Harjit Sajjan. «Avant d'aller au Mali, nous nous sommes posés cette question de où avoir le meilleur impact. N'oublions pas que pour être efficace, il est important que les nations apportent des capacités de haute valeur, comme nos hélicoptères d'évacuation médicale». Le ministre révèle que des discussions sont en cours avec le Secrétaire général des Nations Unies afin de déterminer quelle pourrait être la prochaine contribution canadienne. «Le travail est en cours, et dès que nous en saurons plus, nous informerons les Canadiens. [...] Nous regardons quelles autres capacités nous pouvons fournir, surtout en lien avec l'Initiative Elsie afin d'avoir plus de femmes dans les opérations de paix, et aussi [en lien] avec les Principes de Vancouver initiés par le général Romeo Dallaire, sur la prévention du recrutement et de l'utilisation d'enfants soldats. L'OTAN, les nouveaux engagements L'analyse réalisée pour établir la nouvelle politique de Défense canadienne a permis d'établir les priorités et l'une d'elle était l'OTAN. Le Canada a donc annoncé de multiples opérations et déploiement sous l'égide de l'alliance transatlantique. Dans cette perspective, la nouvelle lettre de mandat du premier ministre au ministre de la Défense cite l'opération IMPACT au Moyen-Orient, la présence avancée renforcée de l'OTAN en Lettonie, et la mission de l'OTAN en Irak. Et, toujours dans le même esprit, le Canada a annoncé le 4 décembre qu'il augmentait son engagement dans le cadre de l'initiative de préparation de l'OTAN en fournissant 6 avions de chasse additionnels et une frégate de plus, à la demande du Secrétaire général. Par conséquent, la contribution canadienne pourra s'élever au total, si besoin, à 12 avions de chasse CF-18, une force opérationnelle expéditionnaire aérienne, un avion de patrouille maritime, trois frégates, un sous-marin, un bataillon d'infanterie mécanisée, un hôpital mobile et un peloton spécialisé en décontamination chimique, biologique, radiologique et nucléaire. Par ailleurs, on apprenait cette semaine que le ministre de la Défense Harjit S. Sajjan, accompagné de deux parlementaires de l'opposition, se rendra en Italie et au Koweït, du 15 au 19 décembre 2019, pour assister à la cérémonie de passation de commandement du 2e Groupe maritime permanent de l'OTAN, dont le Canada assure le commandement, et pour rendre visite aux membres des Forces armées canadiennes en déploiement. Plus de contributions ? Plus d'argent ? Revenant sur le fait que le Président américain Donald Trump demande, dès que l'occasion se présente, à ses alliés d'augmenter drastiquement leurs dépenses en matière de Défense, le ministre Sajjan rappelle qu'en réalité la précédente administration demandait déjà cela. «En fait, c'est ce que la précédente administration demandait déjà lorsque j'ai effectué ma première visite en tant que ministre de la Défense lorsque le président Obama était là. C'est d'ailleurs pour cette raison que nous avons réalisé une étude approfondie pour étonner même quelque peu nos alliés avec notre plan, cette première politique de Défense qui avait enfin de l'argent attaché avec elle». Même si le président Trump répète à outrance que le Canada est «un peu délinquant» en ne respectant pas sa promesse d'atteindre les 2% de son PIB consacré à la Défense, il est clair pour nos voisins du sud que l'argent ne fait pas tout. «Nous n'avons même pas à leur dire, ce que nous apportons concrètement comme contributions», indique M. Sajjan. «Ils le savent déjà, parce qu'on le fait avec eux. Comme par exemple commander le groupement tactique en Lettonie ou la mission de l'OTAN en Irak. Et n'oublions pas non plus nos contributions en dehors de l'OTAN comme l'Opération NEON où nous aidons au renforcement des sanctions contre la Corée du Nord, avec l'aide des États-Unis. Ils savent aussi la contribution que nous apportons avec l'Opération CARIBBE, cette opération d'interdiction de drogues avec la Garde côtière américaine. Je sais que c'est quelque chose qui est immensément apprécié vu tout ce que est saisi et qui aurait fini aux États-Unis». Finalement, le ministre Sajjan rappelle de nouveau que même si les chiffres ne font pas tout, ils y sont cependant. La nouvelle politique de Défense promet ainsi une augmentation de 70% d'ici 20 ans du budget de la Défense nationale, et ce, sans inclure le coût des opérations qui vient en plus. «La politique de Défense porte strictement sur les politiques et l'approvisionnement dont ont besoin les Forces armées canadiennes. Les opérations ne font pas parties de la politique de Défense et sont une dépense séparée, en plus de ce que nous avons déjà promis». Une chose est sûre cependant, «le seul focus qui est et ne changera jamais pour moi est l'emphase à mettre sur nos hommes et nos femmes en uniforme. Les soutenir eux et leurs familles», de conclure le ministre de la Défense. http://www.45enord.ca/2019/12/interview-fin-annee-ministre-defense-nationale-harjit-sajjan/

  • Canada Unprepared for Military Aggression Via Arctic, Say Defence Experts

    6 février 2020 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Canada Unprepared for Military Aggression Via Arctic, Say Defence Experts

    BY RAHUL VAIDYANATH Modernizing outdated North Warning System not funded as part of defence budget No sooner had a gathering to discuss modernizing the defence of North America taken place than two Russian strategic bombers approached Canadian airspace from the Arctic. The menace underscores the message to the Canadian government and public that the country is at greater risk than it has been in decades. North American Aerospace Defence Command (Norad) reported the Russian activity on Jan. 31, just two days after the Canadian Global Affairs Institute (CGAI) hosted a major defence conference in Ottawa. “They [the Russians and Chinese] have the weapons systems and we are increasingly seeing the intent, so we haven't caught up to that yet,” University of Calgary political science professor and conference panelist Rob Huebert said in an interview following the incident. The Russian aircraft stayed in international airspace and didn't enter U.S. or Canadian sovereign airspace, but it nevertheless highlighted the threat. Huebert says what's been holding Canada back is a decades-long multi-faceted problem of attitudes. Canada is accustomed to playing the “away game” instead of the “home game,” meaning it prefers to face its threats as far away from its borders as possible. Thus the protection of the North American continent requires a change of mindset given the advanced capabilities of the Russians and Chinese. It's also naive on Canada's part to think it can simply talk to Russia and China and get them to play nice. “We have to be a lot more honest with Canadians,” Huebert said. A government can favour certain initiatives, and the current one has shown it can generate broad public buy-in for its environmental initiatives. But even if the public isn't clamouring for better military capabilities—as seen in the lack of interest the topic garnered during the election run-up—experts say the government can no longer ignore the military threat from Russia and China. “What this government has shown no willingness to deal with is a much more comprehensive understanding of security that encapsulates both environmental security and military security,” Huebert said. For example, the Liberals didn't put forth their Arctic policy until a day before the election was called. ‘People have to recognize there is a real threat' Canadian governments have put a lower priority on defence spending for decades, and that has left a consistent drop in capability compared to potential rivals. A case in point is that Canada opted in 2005 to not be a part of the U.S. ballistic missile defence program. Contrast that attitude with the Russians or the Chinese and their imperialist goals. Russia wants to destroy us and China wants to own us, said John Sanford of the U.S.'s National Maritime Intelligence Integration Office, at the CGAI forum. A power play is shaping up between the United States, China, and Russia, and the Arctic is the epicentre of the military conflict. That makes it Canada's business, according to defence experts. “People have to recognize there is a real threat,” said conference opening speaker Commodore Jamie Clarke, Norad's deputy director of strategy. “We are defending our entire way of life.” At risk is Canada's economy and infrastructure, not to mention that of the United States. At the heart of the matter is an outdated detection and deterrence system with no comprehensive replacement in the works. https://www.theepochtimes.com/canada-unprepared-for-military-aggression-via-arctic-say-defence-experts_3228565.html

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