17 septembre 2024 | International, Terrestre
31 juillet 2019 | International, Aérospatial, Sécurité
By: Kelsey Reichmann
A new report warns that the cybersecurity vulnerabilities related to military space systems, specifically terminals and command-and-control systems, deserves renewed attention from NATO countries.
The report, titled “Cybersecurity of NATO's Spaced-based Strategic Assets,” was produced by Chatham House, which is part of the Royal Institute of International Affairs, a policy institute in London. The paper, by Beyza Unal, was released July 1.
“There is an urgent need to study and address cyber-related challenges to strategic assets within NATO and its key member countries, particularly the cyberthreat to space-based command and control systems,” the report read. “The increasing vulnerability of space-based assets, ground stations, associated command and control systems, and the personnel who manage the systems, has not yet received the attention it deserves.”
The report highlights cybersecurity vulnerabilities to space systems used by countries in the NATO alliance, notably singling out commercial products used in military operations as a particular risk. These vulnerabilities can come from back-door encryption, supply chain security, and personnel and procedural practices, according to the report. NATO uses space assets to defend territory, peacekeeping missions, humanitarian assistance and disaster relief, counterterrorism, and conflict prevention.
“There is an increasing need to apply higher-grade military hardening and cyber protection specifications to civilian capabilities that have the potential to be used in support of military applications,” the report read. “If military standards are not met, items procured from commercial industry with design flaws may expose NATO's systems to additional vulnerabilities."
The report also points to the importance of securing satellite terminals.
“Terminals located in ground stations constitute a critical vulnerability, as a terminal is an access point to a satellite and is usually not protected by authentication in order not to hinder operational actions,” the report said. “Terminals house software systems that can be compromised and require patching and upgrading.”
Data flowing between satellites, especially ground stations, can become vulnerable, according to the report.
“Adversaries infiltrating ground- or space-based systems could exploit weak software implementation, or the incompatibility of network or data transfer protocols in the chain,” the report read. “While the absence of data is easy to detect, the manipulation of data or erosion of confidentiality at such an interface is potentially more difficult to discern.”
Among the report's recommendations is that NATO strengthen its cyber defense through increased collaboration between the public and private sector. This would allow for more timely information sharing of cyberthreats.
The report also urges NATO to emphasize that commercial manufacturers meet basic cybersecurity standards and possibly more stringent military protection standards.
“In the future, military systems will be increasingly connected to non-military systems,” the report stated. “This has important implications for the laws of armed conflict, as the combination of civilian, commercial and military capabilities in the cyber domain and space raises the risk that civilian capabilities used for military purposes qualify as legitimate military targets.”
https://www.fifthdomain.com/international/2019/07/30/the-next-cybersecurity-concern-for-nato-space/
 
					17 septembre 2024 | International, Terrestre
 
					17 octobre 2019 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité
Les questions de défense ont dominé le conseil des ministres franco-allemand organisé à Toulouse. Un accord pour harmoniser les exportations d'armes a été annoncé. Face à l'accroissement des tensions dans le commerce international, les deux dirigeants ont aussi envoyé un message fort à Airbus. Par Grégoire Poussielgue Publié le 16 oct. 2019 à 19h15 Priorité à la défense. Le climat, les droits d'auteur et l'innovation ont, entre autres, été au menu du conseil des ministres franco-allemand qui s'est tenu mercredi à Toulouse, mais les questions de défense ont occupé une place prépondérante. Dans l'enceinte de la préfecture de Haute-Garonne, Emmanuel Macron et Angela Merkel ont pu lever les points de friction et aller plus loin dans leur politique commune de programmes d'armement. Les « blocages importants ont été levés » sur les programmes de développement du char et de l'avion de combat du futur, ont annoncé les deux dirigeants. La date de janvier 2020 a été retenue pour notifier les crédits tant attendus par les industriels de l'aéronautique qui visent la réalisation de prototypes à l'horizon 2025. La question sensible des exportations d'armes a aussi trouvé une issue. La France et l'Allemagne ont annoncé un accord « juridiquement contraignant sur les règles de contrôle d'exportations d'armement pour les programmes développés en commun ». Cet accord était indispensable pour mener à bien les programmes communs en matière d'armement. Un « résultat concret qui permettra davantage de sécurité », s'est félicitée la chancelière allemande. Un accord obtenu non sans mal car, depuis un an, les tensions sont fortes. Après l'assassinat, il y a tout juste un an, du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, l'Allemagne a suspendu ses ventes d'armes vers l'Arabie Saoudite, ce que la France n'a pas fait. Avec l'invasion du Kurdistan syrien, les pays européens ont suspendu leurs exportations d'armes vers la Turquie. Symbole fort sur l'économie Entre Emmanuel Macron et Angela Merkel, il fallait aussi un geste symbolique fort pour marquer la solidité d'un couple franco-allemand « souvent mis à l'épreuve », comme le dit l'Elysée, et ce avant le Conseil européen de la fin de la semaine. Entre le dossier brûlant du Brexit et le rejet de la candidate française, Sylvie Goulard, à la Commission européenne , sans oublier les tensions commerciales croissantes avec les Etats-Unis, l'environnement européen traverse une zone de fortes turbulences. La relation franco-allemande n'y échappe pas. « J'entends parfois dire que la relation franco-allemande est difficile, c'est la situation du monde qui est difficile. S'il n'y avait que nous, les choses seraient plus simples et avanceraient plus vite », a dit le président français après le conseil. Pour le premier conseil des ministres franco-allemand depuis la signature, en janvier dernier, du traité d'Aix-la-Chapelle , qui renforce leur coopération, la chancelière allemande et le président français ont aussi manié le symbole. Avant les rencontres bilatérales et le conseil des ministres à la préfecture de Toulouse, les deux dirigeants ont longuement visité la chaîne de montage de l'A350 sur le site Airbus de Toulouse. Un symbole de « l'excellence européenne » selon le président français et un fer de lance de la coopération franco-allemande depuis un demi-siècle. Rassurer les salariés Après l'augmentation des droits de douane décidée par les Etats-Unis, il s'agissait aussi de rassurer les salariés français et allemands travaillant sur le site de Toulouse. « Nous tenions à venir aux côtés d'Airbus pour dire notre confiance dans l'entreprise et tout ce qui est devant elle. Vous allez construire le futur de cette entreprise. Il y a parfois des moments de doute et d'inquiétude mais c'est une entreprise formidablement solide », a déclaré Emmanuel Macron à l'occasion d'une rencontre avec les salariés. Angela Merkel y est aussi allée de son couplet. « Nous ferons tout pour garantir le succès de cette entreprise dans les années à venir », a-t-elle dit. https://www.lesechos.fr/monde/europe/defense-merkel-et-macron-trouvent-un-accord-pour-renforcer-leur-cooperation-1140681
 
					23 novembre 2023 | International, Aérospatial
This series of orders represent the growing global demand for IAI's long range loitering munition family and demonstrates IAI's unique capability in this market segment.