4 septembre 2024 | International, Terrestre

Thales in Belgium and Polska Amunicja sign a MoU to collaborate on the production of 70mm rockets

This MoU is an important step for Thales in Poland, being the starting point of the feasibility study for the transfer of production of certain components of the 70mm rocket...

https://www.epicos.com/article/865376/thales-belgium-and-polska-amunicja-sign-mou-collaborate-production-70mm-rockets

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  • U.S. approves possible $15 billion sale of THAAD missiles to Saudi Arabia

    29 novembre 2018 | International, Terrestre

    U.S. approves possible $15 billion sale of THAAD missiles to Saudi Arabia

    WASHINGTON (Reuters) - The U.S. State Department has approved the possible sale of a THAAD anti-missile defence system to Saudi Arabia at an estimated cost of $15 billion (11.48 billion pounds), the Pentagon said on Friday, citing Iran among regional threats. The approval opens the way for Saudi Arabia to purchase 44 Terminal High Altitude Area Defense (THAAD) launchers and 360 missiles, as well as fire control stations and radars. “This sale furthers U.S. national security and foreign policy interests, and supports the long-term security of Saudi Arabia and the Gulf region in the face of Iranian and other regional threats,” the Pentagon's Defense Security Cooperation agency said in a statement. Saudi Arabia and the United States are highly critical of what they consider Iran's aggressive behaviour in the Middle East. Iran also has one of the biggest ballistic missile programs in the Middle East, viewing it as an essential precautionary defence against the United States and other adversaries, primarily Gulf Arab states and Israel. THAAD missile systems are deployed to defend against ballistic missile attacks. Saudi-owned al Arabiya television reported on Thursday that the kingdom had agreed to buy Russian S-400 surface-to-air missile systems, an announcement that came as Saudi King Salman made during his visit to Russia, the first by a Saudi monarch. Full article: https://uk.reuters.com/article/uk-usa-saudi-missiles/us-approves-possible-15-billion-sale-of-thaad-missiles-to-saudi-arabia-idUKKBN1CB2L9

  • Unmanned SkyGuardian to cross Atlantic for RIAT debut

    3 juillet 2018 | International, Aérospatial

    Unmanned SkyGuardian to cross Atlantic for RIAT debut

    BY: CRAIG HOYLE General Atomics Aeronautical Systems' MQ-9B SkyGuardian medium-altitude, long-endurance remotely-piloted air system (RPAS) will make it first transatlantic journey early next month, before appearing at the UK's Royal International Air Tattoo. The aircraft – which forms the basis for the UK Royal Air Force's future Protector RPAS – is scheduled to land at RAF Fairford in Gloucestershire on the evening of 11 July, and is due to appear in the static display at the 13-15 July RIAT event. Expected to last more than 20h, the non-stop sortie will commence from General Atomics' flight-test and training centre in Grand Forks, North Dakota. On 25 June, the UK Civil Aviation Authority detailed a series of planned airspace restrictions that will be made in support of the SkyGuardian's arrival. These will be activated "for the safety of the remotely-piloted aircraft and other airspace users", it says. "Temporary danger areas will be activated by NOTAM with potentially less than 24 hours' notice," the CAA says. "Each danger area will be managed by an air traffic control unit." During flight testing, the SkyGuardian has demonstrated its ability to remain airborne for more than 48h. "The civilian aircraft, which is certificated and registered through the US Federal Aviation Administration, has been issued permission to operate within UK airspace," the CAA says. RAF operations with at least 20 Protector RG1s are due to commence during the 2020s, with the type – to be certificated for use in non-segregated airspace – to replace the service's current armed Reapers. https://www.flightglobal.com/news/articles/unmanned-skyguardian-to-cross-atlantic-for-riat-debu-449768/

  • Le Brexit déjà en marche dans la politique européenne de défense

    28 janvier 2019 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité, Autre défense

    Le Brexit déjà en marche dans la politique européenne de défense

    (B2 – exclusif) Peu importe les émois à Westminster et les tourments de Downing Street, ou la conduite sans ceinture du Prince Philippe, dans le domaine des opérations de stabilisation menées par l'Union européenne (au titre de la PSDC), le départ des Britanniques est désormais bien engagé et devrait se terminer bientôt Un mouvement engagé Le transfert du QG de l'opération anti-piraterie Première concernée, la plus emblématique, l'opération anti-piraterie de l'UE (alias EUNAVFOR Atalanta) va déménager de Northwood (près de Londres) à la Rota et à Brest, le commandant britannique cédant sa place au commandant espagnol avec un second français. Le QG de La Rota est en pleine préparation, le QG secondaire de Brest — qui accueille la liaison avec la marine marchande — également. Les officiers ont commencé à rejoindre leur poste. Le « tuilage » est en cours, selon nos informations (lire : La revanche de Trafalgar). Le changement de commandement en Bosnie-Herzégovine Deuxième concernée, l'opération EUFOR Althea en Bosnie-Herzégovine. Plus discrète, après avoir été l'opération phare (de l'OTAN sous le nom IFOR) et de l'Union européenne, elle ne rassemble plus aujourd'hui que 600 hommes maximum. Elle n'en est pas moins importante, car un « poste d'observation » important de ce qui se passe dans les Balkans, notamment en matière de retour des combattants étrangers. Un Français va prendre la tête de l'opération, à partir du QG de l'OTAN à Mons (le SHAPE). Un petit noyau de Français est aussi prévu à Sarajevo au sein de l'état-major de la force (lire : Le retour de la France dans l'opération de l'UE en Bosnie-Herzégovine). L'abandon d'un poste de numéro 2 en Somalie Enfin, au sein de la mission civile EUCAP Somalia chargée d'assurer le conseil et la formation des Somaliens pour la sécurité maritime, le poste de numéro 2 assuré par un Britannique est en voie de changer de main, selon nos informations. Les Britanniques ne pouvant assurer de poste de commandement des opérations européennes. Le retrait du planning des battlegroups De même, en matière de force de réaction rapide de l'UE, les Britanniques se sont retirés du tour d'astreinte des battlegroups (lire : La prise d'astreinte française au battlegroup 2019 se prépare). Du personnel détaché au titre d'un pays tiers Des Britanniques resteront dans quelques unes de ces missions et opérations qu'ils estiment ‘stratégiques', en particulier celles déployées en Somalie et dans l'Océan indien. Mais en tant que pays tiers, dès que le Brexit sera consommé. Un officier britannique de la marine marchande devrait ainsi être positionné à Brest, chargé d'assurer le lien (précieux) avec toutes les structures britanniques de la marine marchande. Et dans la mission EUCAP Somalia, Londres entend détacher un de ses officiers pour occuper le poste de chef des opérations. Une transition en douceur Dans toutes ces opérations et missions, le départ des Britanniques est désormais non seulement acté, mais leur remplacement est assuré, sans difficulté. Il est difficile désormais, voire quasi impossible, de faire machine arrière. Les Britanniques ont perdu leur tour. Difficile de faire machine arrière Si le Brexit devait être repoussé, il ne changera pas les changements opérés dans les commandements : la relève est déjà en place. Les Britanniques qui occupaient ces positions ont déjà (ou vont) retrouver d'autres fonctions dans l'armée britannique, l'OTAN ou d'autres opérations multinationales. Et dans les générations de force actuelles, ce serait un pari insensé pour les planificateurs britanniques de miser sur une possible annulation ou prolongation longue du Brexit pour faire de nouvelles offres de participation importante. Quelques leçons du départ A cette transition en douceur, si en douceur qu'elle passe inaperçue, on peut tirer d'ores-et-déjà quelques leçons. Premièrement, contrairement à ce qu'avaient affirmé certains dignitaires britanniques, assis confortablement dans leurs sièges en cuir dans des ministères londoniens, et quelques observateurs, peu au fait du fonctionnement réel de l'Union européenne, l'apport britannique dans les missions et opérations de l'Europe de la défense reste modeste. Il peut être facilement compensé, avec juste un peu de bonne volonté de quelques pays membres. Deuxièmement, le départ britannique consacre en fait le retour français dans des opérations et missions qu'ils avaient, ces dernières années, un peu délaissées. Au final, il reste tout de même un pincement au cœur. Les officiers de sa Royale Majesté, croisés durant ces années, m'ont toujours fait bonne impression, avec ce mélange de courtoisie, de rudesse, d'ironie et d'enthousiasme qui fait le charme et l'efficacité de l'armée outre-Manche. Dommage... (Nicolas Gros-Verheyde) https://www.bruxelles2.eu/2019/01/28/le-brexit-deja-en-marche-pour-la-defense/

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