14 septembre 2022 | Local, Aérospatial

Technical issues behind delays affecting Canada's new search and rescue planes

Software problems affecting the plane’s cockpit systems are among the problems plaguing the $2.2-billion C-295 project

https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/technical-issues-behind-delays-affecting-canadas-new-search-and-rescue-planes

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  • JOUER LES MÉCHANTS PROFITE À TOP ACES

    22 octobre 2019 | Local, Aérospatial

    JOUER LES MÉCHANTS PROFITE À TOP ACES

    JEAN-FRANÇOIS CODÈRE L'armée de l'air américaine a choisi vendredi sept entreprises, dont la montréalaise Top Aces, pour venir « jouer les méchants » lors de ses entraînements. Le contrat pourrait permettre à Top Aces de doubler sa taille et devrait confirmer qu'elle deviendra bientôt le premier opérateur privé au monde d'avions de chasse F-16. Fondée il y a 15 ans par trois anciens pilotes de chasse canadiens, Top Aces offre aujourd'hui aux armées canadienne et allemande des services d'entraînement pour leurs pilotes. Top Aces fournit ses propres pilotes, sélectionnés parmi les meilleurs de leur profession, et ses propres avions afin de servir d'adversaires. Le marché est prometteur. De 100 à 150 millions de dollars qu'il représentait jusqu'à tout récemment à l'échelle mondiale, il pourrait bientôt toucher les 3 milliards, gr'ce notamment à l'entrée en scène des Américains. Eux aussi ont découvert l'intérêt de sous-traiter le rôle de l'ennemi : coûts inférieurs et des heures d'entraînement plus productives pour les pilotes. « Un pilote qui joue à l'adversaire est limité et il n'utilise pas ses heures de vol à son plein potentiel », rappelle Didier Toussaint, cofondateur et chef des opérations de Top Aces. CONTRAT AMÉRICAIN Vendredi, l'armée américaine a retenu sept entreprises à l'occasion d'un appel d'offres pour un contrat-cadre d'une valeur maximale de 6,4 milliards US. Ces sept entreprises seront donc admissibles à participer aux appels d'offres à venir de 12 bases américaines. « Chacune de ces bases représente un contrat plus important que celui que nous avons pour l'ensemble du Canada. » — Didier Toussaint, cofondateur et chef des opérations de Top Aces Avec ses 29 appareils F-16 achetés de l'armée israélienne, Top Aces devrait être l'entreprise la mieux équipée du lot. Elle est déjà la plus importante en matière d'heures de vol effectuées. Elle devrait donc principalement se concentrer sur les bases aux besoins les plus évolués, celles qui abritent des F-35, par exemple. À elle seule, cette expansion américaine représente un investissement de 450 millions US pour Top Aces. En plus des appareils, il faudra embaucher des pilotes, des ingénieurs et des mécaniciens. Une cinquantaine de pilotes américains ont déjà reçu des promesses d'embauche. Un ancien officier américain de haut rang quittait le bureau de M. Toussaint au moment où La Presse y est entrée. Il venait de passer un entretien d'embauche. Top Aces s'apprête à accueillir de nouveaux investisseurs institutionnels, « dont certains québécois », qui lui permettront de franchir cette étape. Clairvest, de Toronto, et JPMorgan ont déjà une place dans son capital. D'autres bonnes nouvelles pourraient aussi survenir au cours de la prochaine année. Le Royaume-Uni est à la recherche de services du même genre, tout comme l'Australie, dont Top Aces a été le fournisseur pendant une période d'essai de deux ans. MOINS COÛTEUX Si les services de Top Aces représentent des économies pour les armées de l'air, ce n'est pas en raison du coût du personnel. Les pilotes sont rares et l'entreprise doit les payer à leur valeur, dit M. Toussaint. L'économie vient plutôt des appareils. En attendant ses F-16, Top Aces fournit ses services à l'armée canadienne avec 16 appareils Alpha Jet, des avions d'abord conçus pour l'entraînement et qui coûtent moins cher à manœuvrer que les F-18 de l'armée. Leurs performances moindres ne sont pas vraiment significatives dans la plupart des contextes, explique M. Toussaint. « On n'est pas à 50 % des F-18, on est plutôt autour de 90 %. C'est le dernier 10 % qui coûte cher. » — Didier Toussaint, cofondateur et chef des opérations de Top Aces Environ 2000 heures de vol sont encore effectuées par des F-18 qui servent d'adversaires dans les contextes où la performance de l'appareil est critique. Top Aces s'occupe du reste. Les jeunes pilotes, moins expérimentés, gagnent à affronter des avions inférieurs dirigés par des pilotes plus expérimentés, indique d'abord M. Toussaint. Les Alpha Jet sont aussi convenables dans des simulations impliquant de nombreux appareils, où la performance de chacun est moins importante. Finalement, l'entreprise fournit aussi des services à la marine, aux forces spéciales et à l'armée de terre. Les soldats s'entraînent à commander des frappes aériennes et la nature de l'appareil qui répond à leurs commandes importe peu. Quant à la marine, elle s'exerce à tirer sur des cibles en forme de missiles traînées par des avions d'affaires Learjet, au bout d'un c'ble. Si l'interminable saga du renouvellement de la flotte d'avions de chasse finit par aboutir, le Canada se retrouvera équipé d'avions encore plus performants que les F-16 que détiendra Top Aces. Encore là, pas de souci, selon M. Toussaint. « Ce qu'on réplique, ce sont des avions ennemis, essentiellement russes ou chinois pour être clair. Nos F-16, qui seront bien équipés, vont faire le travail. » http://plus.lapresse.ca/screens/b56ec892-2a8d-495c-8972-04df52fe2b08__7C___0.html

  • Davie and Irving shipyards are in the midst of a lobbying blitz in Ottawa

    18 octobre 2018 | Local, Naval

    Davie and Irving shipyards are in the midst of a lobbying blitz in Ottawa

    BY TIM BOUSQUET In recent days, Unifor Marine Workers Federation Local 1, which represents Irving Shipyard workers, has been conducting a “Ships Stay Here” campaign that included getting Halifax council to support its efforts. The union fears that some of the shipbuilding work contracted to Irving will be shifted to Davie Shipyard in Quebec. Alex Cooke of the Canadian Press contacted the federal government to ask about that fear: In an emailed statement to The Canadian Press last week, the Department of National Defence spokeswoman Ashley Lemire said the government intends to announce any changes to planned maintenance on Halifax-class frigates in the coming weeks. “Given the planned work for the Royal Canadian Navy, an option with two maintenance and repair facilities to conduct this work beginning in the 2020 timeframe is being considered,” Lemire said. “Keeping these frigates operational is a priority for us, and being able to ensure all the maintenance is done when required is essential.” Lemire added that Irving is the prime contractor for the Canadian Surface Combatant project, which she said will result in an estimated $30 billion in build contracts for Irving Shipbuilding into the 2040s. However, “a spokesperson for Davie Shipbuilding strongly takes issue with comments that the Quebec company is stealing work from Halifax,” reports Jacob Boon for The Coast: “It's being portrayed as if Quebec will steal jobs, contracts from Irving,” says Fred Boisvert, vice-president of public affairs for Davie. “Where if you look properly, closely, there's nothing like it happening at all.” ... Boisvert says that's all a bit rich. No one in their right mind could believe there are production gaps at Irving, he says, given the sum total of $65 billion in federal contracts the shipyard has secured. “Guys, guys, you got $65 billion,” he says. “I mean, please, you won't get a tear from me. You're flush with contracts. You've got 20 years stability in terms of that shipyard.” Davie has laid off some 1,000 workers itself over the past year due to dwindling federal contracts. “We're bleeding people here,” says Boisvert. Both companies have been on a lobbying blitz in Ottawa. Davie has hired consultant Naresh Raghubeer of Elmvale Strategies Inc. to lobby the federal government with regard to “shipbuilding work for National Defence, Canadian Coast Guard, Transport Canada, as well as exports.” Raghubeer has made 32 reportable lobbying contacts this year, 11 of them in September alone (October reports are not yet published). The September contacts include conversations with multiple lobbyist targets at once (the reports don't say if they were in-person or conference calls), including with MPs Joel Lightbound, Steve MacKinnon, Remi Masse, Michel Picard, Luc Berthold, Steven Blaney, Gerard Deltell, Bernard Genereux, Jacques Gourde, Richard Marte, Alain Rayes, Jean-Yves Duclos (the minister of Employment and Social Development), Marc Garneau (the minister of Transport Canada), and François-Philippe Champagne (the minister of Infrastructure Canada). As well, in September Raghubeer talked with Senators Pierre-Hugues Boisvenu, Claude Carignan, Jean-Guy Dagenais, Larry Smith, Pierre Dalphond, Denis Dawson, Eric Forest, Rosa Galvez, and Andre Pratte. Raghubeer's September lobbyist efforts also including conversations with a range of political functionaries, including (twice with) Martin Belanger, the Policy Advisor to the Office of the Leader of the Official Opposition; Taras Zalusky, the Policy Advisor to Carla Qualtrough, the minister of Public Services and Procurement Canada; Mathieu Bouchard, a Senior Advisor at the Prime Minister's Office (PMO); Dominic Cormier, a Policy Advisor to the PMO; John Ma, a Policy Advisor to Harjit Singh Sajjan, the minister of DND; (twice with) Shane McCloskey, a Policy Advisor to Marc Garneau, the minister of Transport Canada; Christina Rettig, a Policy Advisor at the PMO; George Young, the Chief of Staff to Jonathan Wilkinson, the minister of Fisheries and Oceans Canada (DFO); Marc-Andre Leclerc, the Chief of Staff of the Leader of the Official Opposition; Sriram Raman, a Policy Advisor to François-Philippe Champagne, the minister of Infrastructure Canada; Marc Roy, the Chief of Staff to to Marc Garneau, the minister of Transport Canada; Jenny Demers, a Policy Advisor to Jean-Yves Duclos, the minister at ESDC; and Olivier Duchesneau, Chief of Staff to minister Duclos. For its part, lobbying efforts on behalf of Irving Shipyard are conducted by James Irving, the co-CEO of the shipyard. Irving reported 70 lobbying contacts in 2018, but just six of those were in September. Unlike Raghubeer, who speaks with multiple people at once, Irving tends to speak to one or two people at a time. James Irving's September contacts were with Taras Zalusky, the director of Policy, Procurement and Parliamentary Affairs Public Services and Procurement Canada; John Ma, a Policy Advisor to Harjit Singh Sajjan at DND; Eric Dagenais, the Assistant Deputy Minister at Innovation, Science and Economic Development Canada; John Knubley, the Deputy Minister at Innovation, Science and Economic Development Canada; Elliott Hughes, the Director of Policy at DND; Christina Rettig, a Policy Advisor at the PMO; and Justin To, the Director of Policy at the PMO. https://www.halifaxexaminer.ca/featured/davie-and-irving-shipyards-are-in-the-midst-of-a-lobbying-blitz-in-ottawa

  • L’appel d’offres pour le remplacement des CF-18 lancé bientôt

    6 juin 2019 | Local, Aérospatial

    L’appel d’offres pour le remplacement des CF-18 lancé bientôt

    NORMAND BOIVIN Au cours des prochaines semaines, un mois au maximum, le Canada devrait lancer le processus d'appel d'offres pour le remplacement de sa flotte de CF-18. Le major-général Alain Pelletier est en train de mettre la touche finale aux travaux qui l'ont tenu occupé au cours des deux dernières années pour le choix du prochain chasseur, tout en s'assurant de maintenir la capacité opérationnelle de la flotte actuelle. « Nous sommes toujours en discussions avec les quatre fournisseurs en lice », a expliqué au Quotidien, lors de son passage dans la région mardi, celui qui est devenu, en mai, le nouveau commandant de la 1re Division aérienne du Canada. Même si le F-35 est le seul avion furtif de cinquième génération, le major-général affirme que les offres seront analysées en fonction de la capacité du futur chasseur à répondre à la mission que va se donner le Canada et du nombre d'années de service qu'il sera en mesure de fournir – 35 à 40 ans –, plutôt que de génération. Dassault a retiré son Rafale de la course. Furtif, oui ou non ? Les F-18, comme les F-16 ou les F-15, sont des avions de quatrième génération et sont facilement détectables par les radars. Le F-35 et le F-22 sont les seuls avions de chasse de cinquième génération, c'est-à-dire qu'ils ont une faible signature radar, ce qui les rend pratiquement indétectables. Entre les deux, le Typhoon, fabriqué par Eurofighter, est un appareil qu'on dit de 4,5e génération. Il n'est pas complètement furtif, mais a des caractéristiques qui diminuent sa signature radar. On peut le détecter, mais son écho est plus petit et peut être confondu avec autre chose. Il y a aussi des changements sur le Super Hornet. Boeing fait des tests pour diminuer sa signature radar par des contre-mesures électroniques et certaines peintures qui, semble-t-il, absorbent les ondes radar au lieu de les réfléchir. « Avec l'évolution des technologies, ce genre de dénomination tient moins la route, car on parle maintenant de 4,6 et même 4,7e génération. Nous avons nos exigences et nous discutons avec nos quatre fournisseurs », affirme le major-général Pelletier. Le F-18 Super Hornet de Boeing, le Gripen du Suédois SAAB et le Typhoon européen sont donc encore dans la course avec le F-35 Lightning de Lockheed Martin. Une fois que le Canada aura déposé la version finale de ses exigences, le major-général Pelletier estime que les quatre avionneurs devraient soumettre leurs offres à la fin de 2021. S'ensuivra une période de négociations devant aboutir à la livraison des premiers appareils quelque part en 2025, pour la mise en service au début de 2026. Lorsque les 88 nouveaux chasseurs auront été livrés et que les CF-18 prendront leur retraite, ils auront presque 50 ans. D'ici là, ajoute Alain Pelletier, le Canada va tout mettre en œuvre pour s'assurer que nos vieux CF-18 continueront d'être en mesure de remplir leurs missions de protéger l'espace nord-américain et d'assurer la paix ailleurs dans le monde. Ainsi, les avions, qui avaient été achetés au début des années 80 pour servir jusqu'en 2010, ont déjà subi des modifications pour les mettre à niveau avec de nouveaux systèmes d'armement et pour augmenter leur vie utile d'abord jusqu'en 2017, puis en 2025. À cause de la décision du gouvernement fédéral d'annuler la commande initiale des F-35 pour retourner en appel d'offres, ils devraient donc bénéficier de nouveaux investissements pour prolonger leur vie jusqu'en 2032. https://www.lesoleil.com/actualite/le-fil-groupe-capitales-medias/lappel-doffres-pour-le-remplacement-des-cf-18-lance-bientot-15e1736dc05d467a2f07b9381c5dd023

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